Si vous cherchez mes publications à partir d’un moteur de recherche, vous pouvez tomber sur des textes publiés sur le site de Contrepoints. Je tiens à dire avec force que je m’élève contre les pratiques de ce site et donc je ne cautionne pas du tout ces publications. J’ai déjà eu l’occasion de m’adresser aux “responsables” de ce site mais sans réel succès. C’est la raison de cette rapide mise au point.
D’abord, ce site se présente ainsi « Contrepoints est un journal en ligne qui couvre l'actualité sous
l'angle libéral.» Autant vous dire qu’on est très loin de mes valeurs et de
mes convictions ! La lecture des soutiens de
l’association qui édite cette pseudo “revue” en ligne me conforte encore
plus dans le fait que je n’ai rien en partage avec ces personnes.
On pourrait se dire que finalement les analyses que je
défends sont plus fortes que
l’étiquette accolée par ce site et que je devrais me réjouir que mes
textes soient repris à plusieurs endroits. Mais je tiens à éviter d’éventuelles
confusions et à ce que les choses soient les plus claires possibles...
Les principales licences Creative Commons (en Français) |
Cela va m’amener à modifier la licence Creative Commons que
j’utilisais jusque là. Cette licence, dont la référence figurait en bas de chacun
des articles publiés sur mon blog indiquait que j’accepte le partage de mes
textes. Mais à deux conditions : qu’il n’en soit pas fait un usage
commercial et que le partage se fasse dans les mêmes conditions. Je précise
dans la colonne de gauche de mon blog que les usages sont aussi d’indiquer par
un petit message à l’auteur que son texte a été repris sur un autre site.
Dans le cas présent, l’intégralité du texte n’est pas
respectée. Les titres ont été modifiés et les liens (qui font partie intégrante
de mon écriture web) ne sont pas repris. Certes, il est indiqué en bas de la
page “Sur le Web” pour renvoyer vers l’article initial mais cela reste ambigu
et prête à confusion.
Je vais donc maintenant modifier la licence et indiquer « Pas de modifications » (dernier cas de figure de l'image ci contre) pour limiter les dérives telles que celles que je viens de constater. Précisons tout de suite aux journalistes que cela n’empêche pas le droit de citation !
Pour ne pas trop se prendre au sérieux, on peut dire aussi que je passe de la licence 3 à la licence 4 ! (à votre santé...)
Je vais donc maintenant modifier la licence et indiquer « Pas de modifications » (dernier cas de figure de l'image ci contre) pour limiter les dérives telles que celles que je viens de constater. Précisons tout de suite aux journalistes que cela n’empêche pas le droit de citation !
Pour ne pas trop se prendre au sérieux, on peut dire aussi que je passe de la licence 3 à la licence 4 ! (à votre santé...)
Sur l’autre restriction, je n’ai aucune information sur la
dimension commerciale mais je tiens à dire que je ne souhaite pas que mon nom
et mon travail soient associés à la notoriété éventuelle d’un tel site. Je m’arrête là car cela ne mérite pas de longs
développements et je crains même, en en parlant, de contribuer paradoxalement à
cette notoriété !
Mais je tenais à dire que tout cela ne me semble pas
respectueux des quelques règles qui existent et témoigne en tout cas de
pratiques peu déontologiques.
Le web n’est pas le Far West...
Philippe Watrelot
Le 14 aout 2017
Chronique éducation de Philippe Watrelot est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
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