Article premier : la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public.
Article 2 : la République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte.
Voilà les deux phrases que l’on retrouve dans tous vos journaux ou presque. Aujourd’hui, tous vos quotidiens commémorent la promulgation de la Loi de séparation de l’Église et de l’État instituant ce qu’on appelle aujourd’hui la « laïcité à la française ». De nombreuses questions se posent sur l’actualité de cette loi et tout d’abord celle de la nécessité ou non de la réformer. C’est devenu un enjeu politique entre le 1er ministre et le ministre de l’intérieur mais aussi à gauche. Une autre question est celle des conditions pour que la laïcité fonctionne. C’est un enjeu démocratique majeur comme le rappelle Henri Pena-Ruiz dans L’Humanité qui insiste sur « le caractère universel de la loi commune, le fait qu’elle ne doit promouvoir que ce qui est commun à tous, un service public de qualité notamment. Si dans les banlieues et ailleurs, des services publics tombent en déshérence, c’est l’affaire de l’État. »
Revenons aussi sur la méthode globale dont pourtant vos journaux ne parlent presque plus. Juste une réflexion au passage. La loi sur l’éducation votée il y a quelques moisa inclus, si je ne m’abuse, comme principe intangible la fameuse « liberté pédagogique » dont j’ai dit toute l’ambiguïté qu’elle portait. Mais que fait le Ministre aujourd’hui en disant qu’il interdit la « méthode globale » et qu’il donne l’ordre aux inspecteurs de vérifier qu’elle n’est plus utilisée ? N’est-ce pas remettre en question cette sacro-sainte « liberté pédagogique » ? ce n’est pas la liberté de conscience dont on parlait plus haut mais c’est quand même une petite contradiction, vous ne trouvez pas ?
A lundi
Bonne Lecture...
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Libération du 09/12/05
Grand angle : Cas d'écoles
Laura et Francis sont un couple de jeunes instituteurs. L'un enseigne dans une cité, l'autre dans un quartier aisé : ils croisent leur expérience de premier poste et racontent deux mondes que tout oppose.
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La laïcité, une loi d'actualité
Alors qu'aucune commémoration en haut lieu n'est prévue, les élus locaux se mobilisent pour fêter les cent ans d'une loi brûlante.
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«Une entrée en démocratie»
Denis Pelletier est directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études (EPHE), spécialiste d'histoire contemporaine des religions, codirecteur du livre les Catholiques dans la République (éditions de l'Atelier, 2005).
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Loi de 1905. Editorial
Sublime
La plus belle phrase jamais proférée dans l'idiome français compte sept mots et a été publiée le 9 décembre 1905 par le Journal officiel : «La République assure la liberté de conscience.» D'emblée, la loi qui avait cette sentence pour article premier a atteint au sublime.
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Le toilettage, la question qui fâche
L'UMP se déchire sur une éventuelle révision. Le PS s'y met.
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La laïcité pas étrangère à nos voisins
Malgré des lois différentes, les pays d'Europe ont peu ou prou la même approche.
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Un sikh enturbanné interdit de permis
Certains dénoncent une contagion de la loi sur les signes religieux à l'école.
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Le Figaro du 09/12/05
Colonisation : Chirac lance une réflexion de trois mois
Le président de la République a confié à Jean-Louis Debré une mission sur les prérogatives du Parlement en matière d'histoire et de mémoire nationales. Cette réflexion qui doit apaiser les esprit après la polémique sur la loi mentionnant le «rôle positif» de la colonisation, devrait fournir ses conclusions dans trois mois.
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Colonisation : Matignon cherche l'apaisement
Pour Dominique de Villepin, «ce n'est pas au Parlement d'écrire l'histoire».
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Les députés UMP ne sont pas disposés à «se renier»
Plusieurs parlementaires de la majorité justifient le texte qui a provoqué la polémique.
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Cent ans de laïcité française
Le 9 décembre 1905 était promulguée la loi de séparation des Eglises et de l'Etat, au terme de débats passionnés au Parlement. Au fil du siècle, ce texte allait s'imposer pour devenir l'un des principaux fondements de la République.
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La laïcité, un pont vers l'avenir de notre civilisation
par Alain Pozarnik Grand Maître de la Grande Loge de France. Dernier ouvrage paru : L'Agir et l'Etre initiatiques (Dervy).
L'idéal de la laïcité germe lentement entre le XVIIIe siècle, dit siècle des Lumières, et le 9 décembre 1905, date de la promulgation de la loi de séparation entre l'Eglise et l'Etat français. Deux principes fondamentaux sont énoncés : «La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...» et «la République ne reconnaît, ni ne subventionne aucun culte...».
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Etat et religions : indifférence ou coopération ?
Par Christine Boutin
La coïncidence entre le centenaire de la loi de 1905 et la manifestation violente du malaise social qu'a traversé toute la France nous oblige à nous poser la question de la place des religions dans notre société. L'isolement croissant des personnes et la difficulté d'entrer en relation avec autrui nous mettent face à une réalité : nous vivons actuellement une crise du sens, de la reconnaissance, et de la confusion des rôles. Alors, dans ce contexte, faut-il reléguer le fait religieux à un sentiment individuel que la sphère publique doit ignorer, ou faut-il lui reconnaître une dimension sociale dont notre société a besoin ? Le fait religieux appartient-il au passé ou est-il au contraire un acteur incontournable de la paix sociale ?
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L'Humanité du 09/12/05
La laicité, facteur d’égalité des droits
On s’attendait à un anniversaire digne d’une dame de cent ans. On guettait, mois après mois, semaine après semaine, l’annonce d’une célébration officielle de cette grande idée qu’est la laïcité française. Même en ce 9 décembre, jour de promulgation de la loi de séparation des Églises et de l’État, le palais de l’Élysée ne daigne pas ouvrir ses portes pour fêter l’événement comme il se doit. Pas de discours solennel du président de la République, pourtant invité à le prononcer sous la coupole de l’Académie des sciences morales et politiques, institution choisie par le gouvernement pour commémorer, dans la discrétion, la loi de 1905. Les dissensions entre Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy sur la révision ou non du texte fondateur de la laïcité expliquent-elles un anniversaire non assumé ? Les désaccords ne permettent certes pas la sérénité. Mais au-delà, le malaise du chef de l’État et de son gouvernement semble davantage dû à leur ambiguïté de devoir célébrer une conquête qui, selon ses concepteurs, est intimement liée à la question sociale, qui n’a jamais été autant bafouée que ces dernières années.
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La religion contre la paix sociale
Une partie de la droite libérale veut modifier la loi de 1905 pour donner aux religieux un rôle social qu’elle refuse à l’État.
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Marie-George Buffet appelle au « renouveau de la laïcité »
Marie-George Buffet, dans une déclaration, réaffirme que la laïcité est « le ciment de notre vivre-ensemble. Un vivre-ensemble sans cesse à réinventer, à faire vivre ». Pour elle, « la laïcité nous fait défaut.
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« La laïcité n’est pas une vieille lune »
Pour le philosophe Henri Pena-Ruiz, membre de la commission Stasi, l’État devrait s’attacher à promouvoir le volet social de la laïcité.[…]
La laïcité, c’est l’union de tout le peuple (du grec « laikos ») sur la base de trois principes. D’abord, la liberté de conscience. Ensuite, la stricte égalité de droit des croyants, des athées et des agnostiques. Je m’étonne à cet égard d’entendre Nicolas Sarkozy ou Manuel Valls évoquer « l’égalité des religions » mais jamais l’humanisme athée. Il n’y a pas que des croyants en France, loin de là. Enfin, troisième principe : le caractère universel de la loi commune, le fait qu’elle ne doit promouvoir que ce qui est commun à tous, un service public de qualité notamment. Si dans les banlieues et ailleurs, des services publics tombent en déshérence, c’est l’affaire de l’État.
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Exercice citoyen au lycée Clément-Marot
À Clément-Marot, Cahors (Lot), lycée général et lycée professionnel réunis, les élèves des classes de 1re ont planché - avant tout de façon citoyenne - pendant près de trois mois sur la laïcité et ses valeurs. Une manière pédagogique et civique de célébrer le centenaire de la loi de 1905. « Célébrer, et non commémorer, car la notion et les valeurs de laïcité deviennent toujours plus pertinentes dans le monde actuel », tient à préciser Bernard Delpech, cheville enseignante de ce travail collectif rendu possible par les heures d’Éducation civique, juridique et sociale (ECJS) avec le concours du Centre d’éducation à la santé et à la citoyenneté présent dans l’établissement. Environ 120 élèves se sont portés volontaires, ainsi que les enseignants, pour s’inscrire dans un processus de rencontres-discussions précédées de travaux de documentation.
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EDITORIAL PAR PATRICK LE HYARIC
Indispensable laïcité
La loi de séparation des Églises et de l’État, dont nous fêtons aujourd’hui le centenaire, constitue un pilier solide et vivifiant de notre République. Elle est une loi permettant de faire éclore les mille fleurs de la liberté. Elle marque l’indépendance de l’État vis-à-vis des Églises et des religions, qui elles-mêmes disposent de leur propre liberté. Elle permet que des droits égaux et inaliénables soient reconnus à tous les citoyens, qu’ils croient au ciel ou qu’ils n’y croient pas. Elle garantit la liberté de conscience. En cela, la loi de 1905 constitue une avancée d’essence révolutionnaire, promue par la gauche, emmenée par de grands hommes politiques comme Aristide Briand et Jean Jaurès.
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Ce que dit la loi de 1905
La loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l’État a été publiée au Journal officiel du 11 décembre 1905. Elle comporte quarante-quatre articles, dont les deux premiers que nous publions portent sur les principes fondamentaux.
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Le Parisien du 09/12/05 ( payant)
Réparer les ratés de la méthode globale
LA METHODE globale ou semi-globale, c'est bien fini. La circulaire, annoncée par le ministre de l'Education, Gilles de Robien (nos éditions d'hier), signifiant la fin de cette méthode d'apprentissage de la lecture à l'école sera envoyée dès la semaine...
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La Croix du 09/12/05
Loi de 1905, l'inventaire du centenaire
La loi de séparation des Églises et de l'État adoptée le 9 décembre 1905 a 100 ans. À cette occasion, «La Croix» propose un tour d'horizon de l'actualité de la question laïque, les avancées et les points de blocage. Le débat reste ouvert sur la nécessité d'adapter le régime des cultes aux réalités nouvelles
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20 minutes du 09/12/05
Loi sur la laïcité: touche pas à mon icône
La loi sur la séparation des Eglises et de l’Etat fête ses 100 ans aujourd’hui et fait débat au sein de la droite
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Le dur métier d’enseigner les religions à l’école publique
Parler de religion à l’école publique, ce bastion de la laïcité, est un exercice difficile. « Dès qu’on aborde les questions religieuses, certains élèves sont crispés, ils manifestent qu’ils savent mieux que nous », explique à l’AFP Yves Chame, professeur d’histoire-géo en banlieue parisienne. Une enseignante francilienne confirme : « Les élèves sont à fleur de peau quand il s’agit d’étudier la Bible plutôt que le Coran. ». Un formateur de l’Institut de formation des maîtres de Paris souligne néanmoins que « les enseignants ont évolué » et qu’« aujourd’hui le Coran ou d’autres livres saints sont largement visités », notamment par le biais d’« exposés des élèves sur leur religion ».
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Ouest-France du 09/12/05
L'islam remet-il en cause la laïcité ?
La loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État fête son centenaire. Au début du siècle dernier, l'islam était absent de l'Hexagone. Aujourd'hui, deuxiè-me religion de France, il se présente comme un défi à la laïcité. Anthropologue, spécialiste du monde arabe et de l'islam, Malek Chebel explique pourquoi.
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Colonisation : le recul gouvernemental
Le « rôle positif » de la colonisation, voté par la majorité, met le gouvernement dans l'embarras et l'oblige à faire marche arrière. Hier, Dominique de Villepin, sous la pression de l'opposition, a affirmé que les députés n'ont pas à écrire l'histoire.
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Le Monde daté du 09/12/05
Il y a 100 ans, l'Etat se séparait de l'Eglise
Brandie comme un symbole de la République, la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat, qui fonde la "laïcité à la française", fête ses 100 ans vendredi 9 décembre, dans un contexte sensible où le modèle d'intégration des musulmans est remis en question.
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La loi sur la séparation des Eglises et de l'Etat fait toujours débat
Dominique de Villepin place la loi de 1905 au "coeur du pacte républicain"
Nicolas Sarkozy veut "toiletter" la loi de 1905
Jean-Louis Debré demande de ne pas rouvrir "des crises qui sont latentes"
François Hollande accuse les partisans de la réforme
Jean Glavany estime dangereuse une révision de la loi
Le Parti radical appelle au "respect scrupuleux" de la loi
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Alain Finkielkraut renonce à se rendre à un colloque
Alain Finkielkraut a renoncé à participer à un colloque sur la laïcité, organisé par le conseil régional Rhône-Alpes. L'écrivain devait prendre la parole, jeudi 15 décembre à Lyon, sur le thème "Le sacré, le laïque et le profane". Un appel au boycottage de son intervention avait été mis en ligne sur le site musulman oumma.com, jeudi 8 décembre. Les signataires lui reprochent ses déclarations au quotidien israélien Haaretz dans lequel il décrivait les émeutes dans les banlieues comme "une révolte à caractère ethnico-religieux" (Le Monde du 24 novembre). "Assez de complaisance à l'égard du raciste Finkielkraut", dit ce texte signé par plusieurs universitaires et militants associatifs. Le site d'extrême droite france-echos.com a lancé un mot d'ordre inverse : "Oui à la conférence d'Alain Finkielkraut ! Assez de complaisance à l'égard des officines du racisme anti-France et antifrançais !"
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Déclaration universelle sur la laïcité au XXIe siècle : texte, commentaires et signatures
Le texte de cette Déclaration est, exprès, un texte en tension. En effet, il se présente sous une forme proclamatrice, convictionnelle, et en même temps il se veut fondamentalement un texte de débat. Nous n'avons pas voulu rédiger une analyse académique – que beaucoup d'entre nous effectuent par ailleurs. En même temps, nous concrétisons notre approche non dogmatique en livrant à la suite de la Déclaration quelques-uns des commentaires approbatifs et/ou critiques qu'elle a suscités.
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Polémique sur la colonisation : Jacques Chirac annonce la création d'une mission
Une "mission pluraliste pour évaluer l'action du Parlement dans les domaines de la mémoire et de l'histoire", telle est la proposition du président de la République, Jacques Chirac, pour que "les esprits s'apaisent" à la suite de la polémique sur la colonisation.
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Le Nouvel Obs Permanent du 09/12/05
La loi de 1905 a cent ans
Après des débats houleux, la loi de séparation des Eglises et de l'Etat fondait la laïcité française.
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La loi de 1905,
un long aboutissement
Avec la loi de 1905, la France accouche dans la douleur de la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Mais le travail avait commencé quelques années avant, avec une série de législations anticléricales. Et la laïcité était en gestation depuis plus d'un siècle.
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"Nous ne reprochons rien
à la loi de 1905"
par Jean-Arnold de Clermont,
pasteur et président
de la Fédération protestante
de France.
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"Un peu facile
de célébrer cette loi"
par Monseigneur Michel Dubost,
évêque d'Evry Corbeil-Essonnes.
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"On s'est battu autour de la loi"
par Alain Boyer,
historien spécialiste du droit
des religions en France
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Une sélection dans les dépêches du 09/12/05
Sarkozy s'en prend au "découpage scolaire rigide" de la carte scolaire
Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy s'en est pris vendredi au système de la carte scolaire, qualifié de "découpage scolaire rigide" qui, selon lui, "renforce encore la ségrégation" sociale.
"Un découpage scolaire rigide renforce encore la ségrégation et fait fuir toutes les familles soucieuses de la réussite scolaire de leurs enfants", a dit le ministre de l'Intérieur devant l'association des maires des grandes villes de France.
"Pourquoi ne pas imposer des objectifs de mixité sociale dans le découpage scolaire, du moins à partir du collège, et organiser les transports en conséquence?", a demandé M. Sarkozy.
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Méthode globale: l'Unsa "félicite" Robien de gagner un combat sans bataille
Le syndicat des enseignants de l'Unsa-Education, le SE, a "félicité" vendredi le ministre de l'Education Gilles de Robien "pour la victoire totale qu'il a remportée avant même d'avoir livré bataille" en abandonnant officiellement l'usage de la méthode globale de lecture.
"En effet, la méthode globale n'est plus utilisée dans les écoles de France depuis plus de 15 ans", a expliqué le syndicat dans un communiqué.[…] "Les enseignants ont mieux à faire en cette fin de trimestre que de participer à la chasse au dahu", a conclu le syndicat.
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Le Snalc "se réjouit" de l'abandon officiel de la méthode globale de lecture
Le Syndicat national des lycées et collèges (Snalc-CSEN) s'est "réjoui" jeudi dans un communiqué de l'abandon officiel de la méthode globale, imposée "depuis des années à l'école primaire".[…] e syndicat a demandé à M. de Robien de "poursuivre dans la voie des réformes en mettant un terme à l'omnipotence des +sciences de l'Education+", au sein des IUFM et en "redonnant au concept de transmission des savoirs disciplinaires la priorité sur tout autre objectif".
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La loi 1905, "devenue une préoccupation électorale", selon l'Unsa-Education
Le centenaire de la loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat "est devenue une préoccupation électorale" a ironisé vendredi soir l'Unsa-Education dans un communiqué.
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Des parents d'élèves de Saint-Denis dénoncent les absences d'enseignants
Des parents d'élèves occupaient vendredi des locaux de l'Education nationale à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour dénoncer "l'Etat qui ne respecte pas lui-même l'obligation scolaire" dans les écoles en ne remplaçant pas les enseignants absents, a déclaré la FCPE à l'AFP.
Selon Hélène Audoin, membre du bureau local de la principale fédération de parents d'élèves, la FCPE, une "vingtaine de parents" occupent ces locaux, information confirmée par l'Education nationale.
"On accuse en ce moment les parents d'être démissionnaires, on menace de leur supprimer les allocations familiales en cas d'abstentéisme mais nous accusons l'Etat de ne pas respecter lui même l'obligation scolaire à Saint-Denis", a déclaré à l'AFP Mme Audoin.
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L'hyperactivité, un trouble petit à petit reconnu à l'école
Le trouble de l'hyperactivité, longtemps associé à un comportement de l'enfant "mal élevé" à l'école, commence doucement à être pris en charge en milieu scolaire, même si ses symptômes sont encore mal identifiés.
Submergée par les problèmes d'attention de son fils à l'école, une mère de famille du Val-d'Oise, Christine Gétin, a réagi récemment en créant une association et des livrets d'information inédits pour les enseignants.
Cette dernière initiative lui a valu d'être soutenue par le ministère de l'Education nationale et de pouvoir aider profs et parents "souvent perdus face à l'hyperactivité". Née en février 2002 et intitulée "HyperSupers-TDAH France (TDAH: trouble de l'attention/Hyperactivité)", son association compte aujourd'hui plus de 800 membres.
"Pour mon fils j'ai mis 15 ans à savoir quel était le problème. Il a pris de la Ritaline -un psychostimulant classé au tableau des stupéfiants - mais a arrêté car en vieillissant il devenait très anxieux", raconte Christine Gétin.
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Une collégienne exclue pour avoir comparé une enseignante à un "macaque"
Une collégienne de 12 ans a été exclue définitivement de son établissement à Aubervilliers pour avoir traité de "macaque" un autre élève et l'avoir, dans le même temps, comparé à une enseignante du collège, a-t-on appris vendredi auprès de sa famille.
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Pour en savoir plus
L’indispensable café pédagogique
Le site de VousNousIls (Rubrique dépêches de l’éducation AFP)
La maison des enseignants
Les dépêches AFP-Éducation sur le site Voila.fr
Le site Yahoo Actualités, rubrique éducation
vendredi, décembre 09, 2005
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