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- 180 jours – Violence scolaire - Prépas – décrochage - grand soir -
180 jours
Le ministre de l'éducation nationale, Vincent Peillon, a estimé dimanche 16 septembre sur BFMTV que l'année scolaire, qu'il juge trop courte, devrait être allongée. "Il faut que nous remontions vers 180" jours pour l'école primaire, a-t-il déclaré, alors que les écoliers français ont actuellement 144 jours de classe par an.
Comment arriver à180 jours d’école ? Majoritairement, les Français ne souhaitent pas que la demi-journée de cours supplémentaire ait lieu "le samedi matin pour des tas de raisons et donc ce serait sans doute le mercredi matin, même si dans certains endroits certains veulent pouvoir déterminer eux-mêmes", a-t-il indiqué. Il a évoqué la possibilité d'une "souplesse" au niveau d'un département ou d'un établissement. "Je souhaite qu'il y ait quatre jours et demi à la rentrée 2013 et ce sera le mercredi matin", a-t-il ajouté.
On notera que la thématique de l’“accélération” touche aussi le ministère de l’ Éducation Nationale. Car ces annonces se font sans attendre la fin de la concertation pour la refondation de l’École dont les débats se terminent à la fin du mois. Le rapport du groupe de pilotage de cette concertation devrait, quant à lui, être remis au ministre le 10 octobre prochain pour qu’ensuite une loi d’orientation et de programmation soit proposée à la discussion parlementaire. On peut s’en étonner, mais, si l’on veut que la rentrée 2013 porte déjà les signes du changement, il y aura sûrement besoin d’accélérer. Concertation ou accélération ? Comment tenir les deux bouts de la corde ?
Violence scolaire
Comme le souligne Luc Cédelle sur son blog “En acceptant, en mars 2010, de présider le conseil scientifique des « états généraux de la sécurité à l’école » mis en place par le ministre Luc Chatel, l’universitaire Eric Debarbieux, figure des défenseurs de la place de la pédagogie dans l’école française, avait pris un double risque : celui de froisser ses amis en passant pour une tardive mais nouvelle prise de guerre de « l’ouverture » façon Nicolas Sarkozy, et celui de devenir une pure caution de communication destinée à masquer la dégradation du service public.”. Mais Vincent Peillon vient de le délivrer de cette malédiction en le nommant lundi 17 septembre, délégué ministériel “chargé de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire".
L'idée est de créer "une nouvelle entité", a expliqué Eric Debarbieux, "Ce ne sera pas quelque chose de théorique", il s'agit au contraire de voir "comment on transmet la connaissance sur la violence à l'école dans l'action publique, au niveau national, académique, local. C'est la connaissance au service de l'action", a-t-il précisé. Eric Debarbieux va présenter jeudi 20/09 une enquête sur la violence scolaire à l'école primaire.
Par ailleurs, le ministre avait annoncé dès le mois de juin la création d’un corps d’assistants de prévention et de sécurité (APS). D'ici à la fin du mois, 500 APS auront été recrutés par les chefs d'établissement, les rectorats ayant préalablement fait remonter les besoins au ministère. Ces APS seront affectés dans les établissements les plus exposés aux phénomènes de violence. Rappelons que selon la dernière enquête du ministère sur le sujet, la moitié des incidents déclarés concerne 10% des établissements.Une circulaire du 6 septembre (BO n°32) précise les missions de ces assistants de prévention et de sécurité. Placés sous l'autorité du chef d'établissement, les APS “participent à l'action éducative, en complémentarité avec les autres personnels” et, “en cas d'incidents graves”, avec “les équipes mobiles de sécurité (EMS)”, ces équipes mixtes, faites de personnels de l'Éducation nationale et de policiers ou gendarmes, mises en place en 2009. Le texte précise aussi leurs autres missions : sensibilisation des élèves au respect de l'autorité, information des personnels sur les facteurs de risques, gestion des situations de tension grave, participation à la “prise en charge des élèves très perturbateurs”. Vont-ils leur administrer aussi quelques cours de “morale laïque” ?
Prépas
Etait-ce un ballon d’essai ? Le 17 septembre dernier plusieurs journaux dont Le Monde annonçaient que le gouvernement envisageait la fin de la gratuité des classes prépas. Mais dès le lendemain, l’information était démentie et le ministère de l’enseignement supérieur indiquait que cette possibilité n’était pas finalement envisagée…
D’après le Monde, cette mesure aurait pu rapporter 9 millions d'euros si les familles s'acquittent des 181 euros demandés à chaque étudiant qui s'inscrit en licence à l'université. Et 13 millions d'euros si les droits d'inscription étaient alignés sur ceux payés par les étudiants en master, soit 250 euros. Mais l’argumentation est aussi sociale. Faire payer pour les prépas serait considéré comme une mesure d’équité. "Ce serait une mesure logique, estime le sociologue Eric Maurin, interrogé par Le Monde Si l'on prend en compte l'argent public qui est investi dans le postbac, on constate de grandes différences." De fait, selon les statistiques fournies sur le site du ministère de l'éducation nationale, quand l'Etat consacre 15 240 euros à chaque élève de prépa, il ne dépense que 10 180 euros pour l'étudiant d'IUT et d'université (qui, lui, paie des droits d’inscription. Et cette gratuité profite majoritairement à ceux qui en ont le moins besoin. Une enquête montre en effet qu’il n’y a que 15% d’enfants d’ouvriers alors qu’ils forment la moitié de la population active. Les enfants de cadres supérieurs représentent, quant à eux, environ la moitié des élèves, alors que leurs parents constituent 16% des actifs. Une telle mesure (assortie bien sûr d’aménagements pour les boursiers par exemple) n’est donc pas illogique
Mais très vite, on a assisté à de nombreuses protestations (notamment chez les enseignants). Le ministère a pu penser que cela allait être vécu comme une attaque contre les classes moyennes. Comme le disait Sylvain Grandserre dans Rue des Écoles sur France Culture à propos de la réforme du système éducatif : “Comment remettre en question un système qui vous a fait réussir… ?”
Décrochage
Les classes de troisième et de seconde constituent une période charnière propice au décrochage scolaire, selon une enquête publiée mercredi à l'occasion de la 5ème journée de refus de l'échec scolaire.
Il s’agit d’une enquête, réalisée en mai et en juin 2012 auprès de 186 jeunes interrogés par questionnaire au sein de structures comme les micro-lycées et les missions locales. L'enquête pointe un engrenage: faible motivation pour l'école, découragement lié aux mauvais résultats, manque de confiance en soi... Par ailleurs, 37% citent un problème personnel. La moitié des jeunes disent qu'il leur a manqué à l'école quelqu'un qui les motive et leur donne confiance. Au moment du choix d'orientation en 3ème, 71% estiment avoir été mal conseillés et 59% disent avoir subi cette orientation.
Pour la sociologue Catherine Blaya, interrogée par le Nouvel Obs “Le décrochage est l’aboutissement d’un processus qui démarre dès la maternelle”. Le sociologue Daniel Thin parle, lui, d’un “casier scolaire” de ces jeunes dont les difficultés d’adaptation dès la maternelle se cumulent, année après année, jusqu’au collège où rien ne va plus. Pour Catherine Blaya, qui intervenait lors de cette journée du refus de l’échec scolaire, il y aurait “quatre types d’élèves à risque. Le rebelle, qui a des troubles du comportement, qui se méfie de l’adulte, et refuse de travailler. Le dépressif, en retrait, dont le manque d’intérêt pour l’école se développe progressivement, mais à bas bruit. Le découragé, peu intéressé par l’école, qui n’arrive pas à se projeter dans l’avenir. Enfin le déviant caché, égocentrique, qui recherche avant tout l’approbation de ses pairs ”. Elle rappelle aussi que “la France n’est pas seule touchée, évidemment. L’ensemble des pays industrialisés est concerné par un phénomène multifactoriel, mais dans lequel l’école joue un rôle important. La recherche montre que le climat scolaire, la façon dont les jeunes se sentent ou non soutenus par les professeurs, le sentiment de justice ou d’injustice, tout cela joue beaucoup dans le décrochage. ”
Grand soir
Pour finir cette chronique, donnons la parole à Louis Maurin interrogé par Rue89 . C’est le principal animateur de l’observatoire des inégalités , un site que je recommande. Dans cette interview, il revient sur la logique inégalitaire de l’École française. “ Toutes les études le montrent, rappelle t-illa France est le pays qui a le système qui On a massifié l’école, on l’a démocratisée en ouvrant le collège et une partie du lycée, mais on n’a pas modernisé notre enseignement, contrairement à ce qu’ont fait la plupart des pays du monde.”. Et il poursuit “Notre système éducatif reste un système ultra-académique, ultraformel, élitiste, anxiogène et évaluatif. C’est malheur aux perdants, à ceux qui ratent une marche, ne sont pas prêts assez tôt, c’est-à-dire les catégories sociales les plus défavorisées.”. Si les changements tardent à venir, selon lui, c’est aussi parce que “même à gauche, certains n’ont pas intérêt à changer l’école ”. Pourtant, il appelle de ses vœux une profonde transformation de l’École qui n’oublie pas les plus modestes et les “vaincus du système”. Mais, dit-il “je ne suis pas sûr que la volonté politique soit là. Qui a envie de s’opposer aux lobbies des conservateurs de l’école, les différentes sociétés des agrégés, les défenseurs des grandes écoles, toutes ces associations qui ont une audience médiatique inconsidérée par rapport à leur représentation ? Il n’existe malheureusement pas de lobbies des mères de famille caissières, des parents ouvriers non diplômés, des jeunes de Segpa . Je ne crois pas au Grand Soir de l’école. Il faudrait pouvoir agir dans la durée, sur dix ans, et modifier progressivement l’école en s’appuyant sur les enseignants, dont la grande majorité sont pour le changement.” .
Et l’on peut d’ailleurs rajouter que quelquefois l’attente du “grand soir pédagogique” et d’un changement social sensé suffire à rendre l’école plus juste, est le meilleur moyen de s’exonérer de commencer à changer ses pratiques, ici et maintenant.
Changer la société pour changer l’école, certes, mais aussi changer l’école pour changer la société…
Bonne Lecture...
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Libération.fr du 19/09/12(certains articles payants)
Universités : plus de concertation que de millions
La ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a présenté hier des mesures modestes sur les effectifs et la gouvernance
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A la fac, la précarité passe au niveau supérieur
L’université, synonyme d’échec pour beaucoup, sera une priorité pour le ministère.
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«J’ai été obligé de faire un emprunt»
«Je travaille 15 heures par semaine depuis que j’ai commencé mes études. J’étais gardien de nuit durant ma licence de Staps [sciences et techniques des activités physiques et sportives, ndlr] à Limoges. Maintenant que je vis à Paris, je suis cinq jours à la fac, puis deux jours à Decathlon. Je gagne 600 euros par mois - 60% de mon budget. Pour le reste, j’ai ma bourse et l’APL, car mes parents ne peuvent pas m’aider. C’est plus dur en région parisienne à cause du loyer : 314 euros pour un studio universitaire de 16 mètres carrés ! J’ai aussi dû faire un emprunt pour un ordinateur.
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«200 euros de budget et 480 euros de loyer»
«J’ai commencé à travailler quand j’ai pris un appartement à Bordeaux pour finir ma licence d’éco-gestion, car mes parents habitaient loin. Ils ne me donnaient que 200 euros par mois. Or j’avais un loyer de 480 euros pour 20 mètres carrés. Je ne touche pas de bourse, mais je suis exonérée des frais d’inscription.
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«J’ai eu la chance de vivre chez mes parents»
«J’ai eu plusieurs petits boulots durant mes études. Mais ce que je gagnais, c’était de l’argent de poche. Comme je vivais chez mes parents, à Nancy, je n’avais pas de loyer, donc pas de gros frais. L’an dernier, à l’Institut universitaire de formation des maîtres, je travaillais dans une cantine, trois jours par semaine entre midi et deux. Mes parents me donnaient 200 euros par mois. Et comme je n’étais pas boursière, ils payaient aussi la moitié des frais d’inscription à la fac. Au final, j’avais 400 euros pour vivre. Les journées étaient longues, car je n’avais pas de pause entre midi et deux. Mais au final, je ne me plains pas. Ce n’est pas à cause de ça que j’ai loupé mon concours en tout cas ! Je sortais pas mal, je pouvais m’acheter tous les bouquins dont j’avais besoin pour réviser, et me faire plaisir, m’offrir des produits de beauté…
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«Gérer 30 heures de cours et 25 de salariat»
«J’ai un CDI de 20 heures par semaine chez Casino, mais plus proche des 25, voire des 30 avec les heures sups. Cela me rapporte entre 680 et 800 euros par mois. L’été et les vacances scolaires, je passe à temps complet. Mes deux premières années universitaires, j’ai travaillé chez Carrefour. En tant que boursier échelon 1, je touche 160 euros par mois. Je n’ai pas droit à un logement étudiant, car il y a trop de demandes et ceux dont les familles résident dans les communes limitrophes n’y ont pas accès. Avant, j’habitais chez ma mère à Vénissieux. Mais j’ai emménagé dans le VIIe arrondissement pour me rapprocher de mon travail. Mon loyer est de 490 euros pour 40 mètres carrés. Je touche 265 euros d’aide au logement (APL).
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A Bordeaux et Poitiers, deux agressions de profs gâchent la rentrée scolaire
En deux jours, deux enseignants ont été frappés, renforçant le malaise de la profession.
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Le Figaro du 19/09/12 (certains articles payants)
Dix-neuf universités en déficit
L'État va déléguer des fonctionnaires pour épauler les facultés dans leur gestion.
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Le Monde.fr (certains articles payants) du 19/09/12
La lutte contre la violence à l’école passe à gauche
Avec sa politique sécuritaire, l’ex-majorité s’était arrogée le thème de la lutte contre la violence à l’école. Durant la campagne présidentielle, le "Monsieur jeunesse" de François Hollande, alias Vincent Peillon, avait promis que ce terrain serait réinvesti par la gauche.
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Scolarisation des enfants roms : un « mieux »… dans les textes
Le débat autour de la situation des Roms a quitté le prisme sécuritaire pour rejoindre le prisme scolaire.
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Enseignement supérieur : mille postes affectés en 2013 à la réussite en licence
Mille postes seront affectés à la réussite en licence à la rentrée universitaire 2013, a annoncé la ministre de l'enseignement supérieur, Geneviève Fioraso.
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"Aucune université ne sera mise sous tutelle financière", assure la ministre de l'enseignement supérieur
Alors que 1,5 million d'étudiants, sur un total de 2,4 millions, font leur rentrée universitaire, Geneviève Fioraso, la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, doit tenir, mardi 18 septembre, sa conférence de presse de rentrée.
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Révolution technologique à l'université Par Paul Seabright, Ecole d'économie de Toulouse
A la rentrée universitaire, un visiteur entrant dans un amphithéâtre pourrait être frappé par le peu de changement qu'il y a eu dans la technologie de l'enseignement depuis un quart de siècle. Les professeurs parlent toujours devant un public assis sur des rangées de bancs, à l'aide d'une écriture projetée derrière eux. Certes, le tableau est moins souvent noir que blanc, et il est parfois devenu un écran.
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Le gouvernement envisage la fin de la gratuité des classes prépas
La formation la mieux encadrée, la plus onéreuse par étudiant pour l'Etat, celle qui ouvre les portes des très grandes écoles et, du même coup, les postes les plus en vue du pays est gratuite. Aucun droit d'inscription n'est demandé aux étudiants en classe préparatoire aux grandes écoles, quand l'inscrit à l'université s'acquitte de 181 euros.
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Violence à l’école : « mais que fait donc le délégué ministériel ? »
En acceptant, en mars 2010, de présider le conseil scientifique des « états généraux de la sécurité à l’école » mis en place par le ministre Luc Chatel, l’universitaire Eric Debarbieux, figure des défenseurs de la place de la pédagogie dans l’école française, avait pris un double risque : celui de froisser ses amis en passant pour une tardive mais nouvelle prise de guerre de « l’ouverture » façon Nicolas Sarkozy, et celui de devenir une pure caution de communication destinée à masquer la dégradation du service public.
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Vers un Conseil national des programmes version 2012
Le Conseil national des Programmes pourrait bien renaître de ses cendres. Le ministre Vincent Peillon a annoncé jeudi 13 septembre qu’il remettrait en place une instance chargée de préparer les programmes sur lesquels plancheront les générations à venir d’élèves.
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Une élève handicapée obtient gain de cause après une mobilisation de parents d'élèves
La mobilisation aura été payante. Depuis mercredi, la mère d'une jeune handicapée moteur, ainsi qu'un collectif de parents sympathisants occupaient jour et nuit une salle du collège La Milliaire à Thionville, en Moselle. Motif de leur colère : Marie Roy, 12 ans, était scolarisée dans des conditions inadaptées, avec des élèves souffrant de troubles cognitifs, sans aucun rapport avec son propre handicap.
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Vincent Peillon prône l'allongement de l'année scolaire en primaire
Le ministre de l'éducation nationale, Vincent Peillon, a estimé dimanche 16 septembre sur BFMTV que l'année scolaire, qu'il juge trop courte, devrait être allongée. "Il faut que nous remontions vers 180" jours pour l'école primaire, a-t-il déclaré, alors que les écoliers français ont actuellement 144 jours de classe par an.
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Morale laïque ou instruction civique
Vincent Peillon, le ministre de l'éducation nationale, a annoncé une concertation sur la question de la création de cours de "morale laïque" à l'école au nom du "redressement intellectuel et moral" de la France. Malgré les bonnes intentions, cette proposition reste intellectuellement bancale et scolairement contestable.
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L’Humanité du 19/09/12
Education nationale : Quelle politique éducative mettre en place ?
Les grands débats de la Fête de l'Humanité. Alors que le gouvernement annonce une « refondation » de l’école, quel projet pour le système éducatif ? Échange entre Bernadette Groison, secrétaire générale de la FSU, Michel Hervieu, vice-président de la FCPE et Brigitte Gonthier-Maurin, sénatrice (Front de gauche) des Hauts-de-Seine.
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Peillon veut traquer les violences
Le ministre a annoncé la création d’un observatoire intégré à l’éducation nationale.
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Un collège plombé par les déficits
Le collège Rosa-Luxemburg d’Aubervilliers a 220 000 euros d’impayés. Le personnel se mobilise pour obtenir des mesures d’urgence.
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Vincent Peillon souhaite rallonger l'année scolaire de 36 jours
Le ministre de l’Éducation nationale, qui fait de la réforme des rythmes scolaires le cœur de sa concertation pour la refondation de l'école, a estimé dimanche sur BFMTV que l'année scolaire, qu'il juge trop courte, devrait être allongée pour durer environ 180 jours en primaire.
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Le Parisien (certains articles payants) du 19/09/12
Comment arriver à 180 jours d’école?
Semaines plus longues et vacances plus courtes. Voici les scénarios pour coller à la volonté du ministre de faire passer l’année scolaire de 144 à « environ 180 jours ».
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Faut-il augmenter le nombre de jours de classe ?
Le ministre de l'Education Nationale suggère de faire passer de 144 à 180 de nombre de jours de classe pour les écoliers qui, estime-t-il, « ont des journées trop longues et une année scolaire trop courte, peu propice aux apprentissages».
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Val d'Oise : des lycéens en difficulté poussés à la démission selon la FCPE
Un vent de polémique souffle sur le le lycée Edmond Rostand à Saint-Ouen l'Aumône. Des élèves du Val d'Oise auraient été poussés à démissionner de leur lycée selon une information de France Bleu 107.1. La fédération des parents d'élèves FCPE a mis la main sur 56 lettres de démissions signées par des élèves ou par leur famille, parfois sans aucun motif. Les délégués de la FCPE ont reçu un pli anonyme par la poste.
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La Croix du 19/09/12
L’argent de poche, monnaie courante malgré la crise
Ils ont 13,15, 16 ans… Ils reçoivent de l’argent de poche « sans contrepartie », ou contre bonnes notes ou menus services… Il y a autant de familles que de règles en matière d’argent.
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Les échos (certains articles payants) du 19/09/12
Geneviève Fioraso : «Je souhaite redonner de la lisibilité au paysage scientifique»
Je souhaite redonner de la lisibilité au paysage scientifique et l'inscrire dans une stratégie nationale qui donne des objectifs et une vision à chacune de ses composantes. Nous discuterons de ces perspectives cet automne à l'occasion des assises de la recherche.
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Rentrée universitaire : les priorités de la ministre de l'Enseignement supérieur
Geneviève Fioraso doit préciser ce matin à l'occasion de la rentrée universitaire ses chantiers prioritaires et donner de premières pistes pour leur réalisation. Ceci, dans un contexte budgétaire extrêmement tendu et alors que les attentes tant des étudiants que du monde universitaire sont fortes.
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Le gouvernement envisagerait de mettre fin à la gratuité des classes prépas
Le gouvernement envisage de supprimer la gratuité des classes préparatoires aux grandes écoles, affirme « Le Monde » ce mardi. Selon le quotidien, une telle mesure rapporterait environ 9 millions d'euros si des droits d'inscriptions étaient fixés à 181 euros, comme en licence, ou bien 13 millions d'euros, si les droits étaient alignés sur le master (250 euros). De possibles frais d'inscription en STS (section de technicien supérieur) et en BTS sont aussi évoqués.
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20 minutes du 19/09/12
La troisième et la seconde, classes propices au décrochage scolaire
Les classes de troisième et de seconde constituent une période charnière propice au décrochage scolaire, selon une enquête Trajectoires/Afev publiée mercredi à l'occasion de la 5ème journée de refus de l'échec scolaire.
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Le décrochage scolaire, thème de la journée de refus de l'échec des élèves
Le décrochage scolaire, un phénomène qui touche chaque année 150.000 jeunes et que le gouvernement veut diviser par deux, sera au coeur de la 5ème journée du refus de l'échec scolaire organisée mercredi par l'association Afev.
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Une enseignante aspergée de gaz lacrymogène à Amiens
Les enseignants d'un lycée professionnel d'Amiens ont suspendu les cours ce mardi après l'agression de l'une d'entre eux, aspergée de gaz lacrymogène alors qu'elle se trouvait en salle de cours avec ses élèves, a-t-on appris auprès du rectorat d'Amiens, précisant que les cours reprendraient mercredi.
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Rue89 du 19/09/12
Inégalités : « Même à gauche, certains n’ont pas intérêt à changer l’école »
Notre système éducatif est un des plus discriminants et anxiogène. Louis Maurin (Observatoire des inégalités) dénonce le lobby et l’idéologie élitistes.
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35 élèves par classe ? On va vous expliquer pourquoi c’est trop
Au lycée Pablo Picasso de Fontenay-Sous-Bois (Val-de-Marne), nous avons repris les cours le mercredi 12 septembre. Avant, nous étions en grève. Les profs d’abord, puis les élèves qui, en début de semaine ont bloqué le lycée pour protester contre le bourrage des classes voulu par le rectorat.
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Ouest-France du 19/09/12
Brest. La gale frappe au Lycée naval
Un peu plus de dix cas de gale ont été diagnostiqués au Lycée naval de Brest ces derniers jours. Et une vingtaine d’autres sont considérés comme des cas probables.
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Soirées d'intégration : quand parle-t-on de bizutage ?
Qui dit rentrée universitaire, dit aussi soirées ou week-ends d'intégration. Depuis 1998, le bizutage y est formellement interdit. Mais où se situe la frontière entre les jeux bon-enfants visant à intégrer les petits nouveaux et le bizutage pouvant être puni par la loi ? Qui peut être tenu pour responsable ? Que faire si on est victime de bizutage ? Décryptage avec Marie France Henry, présidente du Comité National contre le bizutage.
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Échec scolaire. Tous les ans 150 000 jeunes quittent l'école sans diplôme
Chaque année, 150 000 jeunes quittent prématurément le système scolaire sans qualification. L'Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev), qui regroupe plus de 7000 étudiants en charge de soutien scolaire, alerte face à cette hémorragie. C'est en 3e et en seconde que les jeunes décrochent.
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Le Journal du Dimanche du 19/09/12
Peillon va créer un observatoire de la violence scolaire
Vincent Peillon a annoncé dimanche sur BFMTV la création "dans les semaines qui viennent" d'un observatoire de la violence scolaire à l'intérieur de l'Education nationale. S'il existe actuellement en France un Observatoire international de la violence à l'école, l'idée du ministre de l'Education nationale est de créer "une nouvelle entité" qui "ne sera pas quelque chose de théorique", a expliqué à l'AFP Eric Debarbieux, qui dirigera cette future structure.
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Classes prépas : la fin de la gratuité n'est qu'"une piste"
Selon Le Monde daté de mardi, le gouvernement envisagerait de supprimer la gratuité des droits d'inscription en classes préparatoires aux grandes écoles. Il pourrait ouvrir ce dossier dès le "début d'année prochaine " afin de rétablir l'équité entre les étudiants post-bac. La mesure pourrait rapporter à l'Etat entre 9 et 16 millions d'euros. Le ministère de l'Enseignement supérieur a cependant précisé que "rien n'a été ouvert, ni arrêté".
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Le Nouvel Obs Permanent du 19/09/12
Vers la fin de la gratuité des classes prépas ? Pourquoi j'y suis favorable
La question n'est visiblement plus taboue au sein du gouvernement. Geneviève Fioraso, la ministre de l'Enseignement supérieur, a affirmé qu'elle n'excluait pas de faire payer les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE). Une réforme souhaitable et même indispensable, selon notre contributeur François Garçon, enseignant-chercheur.
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Journée de mobilisation contre le décrochage scolaire
Ce 19 septembre, l'AFEV consacre sa cinquième journée du refus de l'échec scolaire à ceux qui abandonnent l'école sans aucun diplôme.
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Quatre questions sur le décrochage scolaire
Catherine Blaya, professeur en sciences de l'éducation à l'université de Nice, est l'un des intervenants de la 5ème journée du refus de l'échec scolaire organisé par l'AFEV
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Ecole : on "décroche" de plus en plus depuis 15 ans
C'est d’autant plus préoccupant que les "décrocheurs" galèrent plus en France qu’ailleurs, s’inquiète l’OCDE. La baisse du nombre de redoublements serait un facteur d’explication.
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L’Express.fr du 19/09/12
Des élèves en difficulté poussés à quitter leur lycée?
La direction d'un lycée du Val d'Oise est accusée par la FCPE d'avoir poussé des élèves en difficulté à "démissionner" de l'établissement pour améliorer ses résultats au bac. L'inspection d'académie dément.
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Geneviève Fioraso: "20 à 25% des universités démarreront 2013 avec une trésorerie négative"
Rencontre avec la ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche. Si elle juge sévèrement ses prédécesseurs - normal -, elle évoque aussi ouvertement les dossiers tabous.
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Classes prépa payantes: "Une piste dans les cartons depuis longtemps"
Dans l'entourage de la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, on reconnaît que la fin de la gratuité des classes préparatoires aux grandes écoles est étudiée. Il s'agirait avant tout de les inciter à s'inscrire en parallèle à l'université.
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L'Observatoire des violences scolaires de Peillon laisse sceptique les chefs d'établissement
Après deux agressions d'enseignants en milieu scolaire la semaine dernière, Vincent Peillon a annoncé la création d'un observatoire de la violence, au sein de son ministère. Une annonce qui laisse sceptique Philippe Tournier, secrétaire général du syndicat des chefs d'établissement.
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Le Café Pédagogique du 19/09/12
LPC : Un rapport officiel reconnaît "des difficultés" mais s'obstine
Peut-on sauver le soldat LPC ? Pour l'Inspection générale, qui publie un rapport sur "la mise en oeuvre du livret personnel de compétences au collège" (LPC), il le faut absolument. Pourtant le rapport montre que, de sa validation aventureuse à sa cohabitation loupée avec le brevet, le déploiement du LPC est en échec. "Réussite technique" pour le rapport des inspecteurs Brigitte Hazard et Roger-François Gauthier, le déploiement du LPC ne permet quand même pas un réel suivi des élèves et encore moins leur évaluation. Alors pourquoi s'obstiner ? Il y a des raisons...
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Concertation académique : Halte là, les résistants sont bien là !
Le consensus est-il plus facile à construire quand on se rapproche du terrain et des ses exigences ? La réunion académique de concertation parisienne montre que non. Chacun vient avec ses convictions et ses oeillères. Au final, les enseignants ont peu écouté les territoriaux. Le bloc des enseignants acquis aux réformes et celui des représentants de la FSU s'opposent dans une joute qui laisse peu de temps pour faire intervenir les non-alignés. Sur le terrain, la refondation est attendue avec autant d'espoirs que de mobilisation préventive.
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5ème Journée du refus de l'échec scolaire
L'AFEV organise le 19 septembre sa 5ème journée du refus de l'échec scolaire. L'association, spécialisée dans le soutien scolaire, a choisi cette année le thème du décrochage. "Nous tenterons de comprendre ce qui conduit un jeune à décrocher dans son parcours scolaire (le décrochage scolaire n’arrive pas d’un coup, c’est le fruit d’un processus, et d’une conjonction de facteurs sociaux, personnels et bien sûr scolaires). Nous analyserons les conséquences de cette rupture. En effet, décrocher ce n’est pas seulement sortir prématurément su système scolaire c’est aussi, pour le jeune, quitter la norme, se dé-socialiser de ses pairs, se positionner souvent en tension parfois en rupture avec sa propre famille. C’est surtout, au regard de la place déterminante du diplôme dans notre société, se retrouver, de fait, dans une situation où il va être extrêmement difficile voire impossible de s’insérer professionnellement.
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Touteduc (accès payant) du 19/09/12
Chicago : Suspension de la grève des enseignants de Chicago
Les 700 délégués ont voté la suspension du mouvement après avoir examiné un texte provisoire et "les enseignants ont décidé de retourner au travail immédiatement".
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Pourquoi certains enseignants décrochent-ils ? (recherche québécoise)
On parle beaucoup du décrochage scolaire, "mais il existe une autre forme de décrochage dont il est moins souvent question : le décrochage des enseignants", estime Frédéric Sauvé qui vient de soutenir à l'université de Montréal un mémoire de maîtrise sur "l’attrition des enseignants au Québec". Il y rend compte de ses entretiens avec 26 "ex-enseignants". Pour lui, il n'y a pas de causalité simple, mais "un long processus au cours duquel ils ont pris conscience du fait qu’ils n’étaient pas en mesure de se réaliser pleinement dans le cadre du travail enseignant (...) ils se sont sentis malhabiles, dévalorisés ou même incompétents, et tout cela malgré qu’ils aient déployé de nombreux efforts pour s’adapter".
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Éducavox du 19/09/12
Quelles compétences numériques de base ?
ARSENIC (Association Régionale de Soutien aux Espaces Numériques de l’Information et de la Communication en PACA) est l’auteur d’un dossier sur les compétences numériques de base publié en juillet 2012 (35 pages, en pdf). La réflexion qui a prévalu à l’élaboration de ce document de travail est d’aborder ces concepts sous l’angle de la culture numérique avec une approche conceptuelle.
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Les TICE : plus que la technologie, ce sont les usages qui importent
Sébastien Reinders est Conseiller pédagogique TIC à Technofutur TIC basé à Gosselies. Chargé de différentes missions, il a accepté de revenir pour nous sur la place réelle du numérique dans le paysage scolaire en Belgique francophone et sur les différents projets en cours.
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Médiapart (accès payant) du 19/09/12
Vers l'enseignement du «fait laïque»? Par claude lelièvre
Au cours de la campagne présidentielle, François Hollande a évoqué que l’on pourrait enseigner le « fait laïque » à l’Ecole, à l’instar du « fait religieux ». Le moment est peut-être venu de commencer à passer à l’acte.
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Slate.fr du 19/09/12
Et si on rémunérait les profs à la performance
De la puissance de l’aversion aux pertes appliquée à l'éducation.
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Comment fabriquer de meilleurs profs
Aux Etats-Unis aussi, l'éducation fait l'objet d'un âpre débat. Certains pensent qu'il suffirait de virer les mauvais enseignants pour améliorer le système. A contrario, de nouvelles études montrent qu’ils peuvent apprendre à devenir bons.
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Huffington Post du 19/09/12
Peut-on encore former des enseignants? Par Emmanuel Davidenkoff
Peut-on encore former des enseignants ? C'est sous ce titre que deux chercheurs publient un des livres sur l'école les plus éclairants de la rentrée. Un des plus inquiétants aussi. Car l'histoire de la formation des enseignants exhibe les fractures toujours béantes qui parcourent la société, le corps enseignant, les syndicats, et l'institution.
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Assistants spécialisés, création d'un observatoire... Vincent Peillon s'attaque à la violence scolaire
Quatre agressions de professeurs en une semaine, c'est beaucoup.... C'est en tous cas suffisant pour faire réagir le ministre de l'Éducation nationale, qui a décidé, en plus de la création de 500 postes d'assistants de prévention et de sécurité (APS), de créer un observatoire de la violence scolaire. Vincent Peillon a annoncé dimanche sur BFMTV que cet observatoire serait mis en place "dans les semaines qui viennent". L'objectif est de "mieux connaître les réalités" de la violence en milieu scolaire, mais aussi de "mettre en place un dispositif de prévention", a expliqué le ministre:
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ÉducPros du 19/09/12
Bruno Jeauffroy (président de l’UPS) : "Rendre les classes prépas payantes ne fera pas gagner beaucoup d’argent à l’Etat"
Traiter tous les étudiants sur un pied d’égalité : telle est la motivation du gouvernement qui envisagerait la fin de la gratuité des classes prépas, d’après le Monde, lundi 17 septembre. Mesure d’équité ou fausse bonne idée ? Bruno Jeauffroy, professeur en classe préparatoire scientifique et président de l’UPS (Union des professeurs de spéciales) donne son avis à EducPros.
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Geneviève Fioraso (ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche) : "Le redéploiement des moyens entre universités aura lieu en dialogue avec les présidents"
A l'occasion de la conférence de rentrée de Geneviève Fioraso mardi 18 septembre 2012, EducPros remet en avant l'interview de la ministre, accordée fin août 2012. Allocation autonomie pour les étudiants, difficultés financières des universités, poursuite du Grand emprunt... Geneviève Fioraso fait le point pour EducPros sur les grands dossiers de l'enseignement supérieur et de la recherche, alors que la phase d'auditions a débuté dans le cadre des Assises de l'enseignement supérieur.
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VousNousIls du 19/09/12
Enseignants : les erreurs à éviter
Nouvelles classes, nouveaux élèves, nouveau programme : un défi pas toujours évident à gérer ! Comment faire pour que l'année soit un "sans faute" ? Tout d'abord, en évitant quelques erreurs...
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Premiers pas délicats pour les enseignants stagiaires
Des milliers de professeurs débutants ont effectué leur rentrée, lundi dernier, avec une nouveauté cette année : une décharge de 3h hebdomadaires pour se former et pallier l'année de stage supprimée par le précédent gouvernement. VousNousIls est allé à leur rencontre.
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mercredi, septembre 19, 2012
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