Voici une revue de presse sommaire de la semaine qui vient de s’écouler (quotidiens et hebdomadaires) . Peu d’articles à se mettre sous la dent en cette période de vacances.
A noter cependant l’annonce d’une grève intersyndicale le jeudi 20 janvier pour demander le retrait du projet de loi sur l’éducation du Ministre F.Fillon.
On peut aussi s’intéresser à la loi sur le patronyme qui aura des répercussions dans l’école (à lire dans l’Humanité). Au cas où on l’aurait oublié c’est Noël et beaucoup de journaux s’interrogent à cette occasion sur le statut de l’enfant et aussi sur la laicité. On pourra lire plusieurs articles intéressants sur ces deux sujets.
Bonne lecture
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Libération
Ces mille privations qui pourrissent le collège (20/12/04)
Malgré l'échec de la grève du 7 décembre, des enseignants, excédés par la pénurie de moyens, continuent de se mobiliser pour faire pression sur le rectorat.
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Après le boulot, les parents font leurs devoirs... scolaires (21/12/04)
Les devoirs scolaires sont aussi l'affaire des parents, qui y consacrent de plus en plus de temps, selon une étude de l'Insee sur «l'aide aux devoirs apportée par les parents» publiée ce matin[téléchargeable sur le site de l’INSEE , comparant ces résultats aux données collectées dix ans plus tôt. Ainsi au primaire, avec dix-neuf heures par mois à eux deux, les parents passent en moyenne une demi-heure de plus qu'il y a dix ans à calculer, rédiger ou conjuguer aux côtés de leurs enfants...
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Le Figaro
Comment la laïcité bouscule les catholiques (25/12/04)
L'année 2005 sera celle des repositionnements laïques et religieux. Avec la loi sur les signes religieux à l'école, les débats ont déjà été largement entamés, au moins sur le plan politique. Ils se poursuivront avec l'anniversaire de la loi de 1905. Mais les lacunes culturelles en matière de fait religieux creusent les fossés et stigmatisent les comportements. Un climat tendu qui pousse les catholiques – après avoir longtemps prôné l'enfouissement – à manifester une plus nette visibilité dans la société.
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Le bloc-notes
Le sapin de Noël, symbole menacé ?
C'est l'histoire d'un sapin de Noël. Comme chaque année, la gardienne d'origine tunisienne du lycée Van Dongen de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) l'avait installé et décoré dans le hall. Mais, cette fois, il a été retiré à la demande d'une poignée d'élèves, au nom de la laïcité. Le proviseur a expliqué avoir «peiné à convaincre» les contestataires, qu'il refuse de désigner plus précisément. Toutefois, devant la protestation de la majorité des lycéens, l'arbuste a été réintroduit subrepticement jeudi dernier, dans le réfectoire. Seuls les demi-pensionnaires peuvent le voir.
S'arrêter sur cet épisode. Il révèle le terrorisme que peut exercer, au coeur de l'école, une minorité hostile aux traditions françaises. Il dévoile, surtout, la lâcheté de la communauté éducative, qui feint de ne pas saisir les vraies motivations des plaignants et n'ose défendre notre patrimoine culturel. Après avoir réinstallé l'arbre plus discrètement, elle s'est justifiée ainsi : «L'utilisation du sapin comme symbole de vie et de renaissance, après le solstice d'hiver, est bien plus ancienne que le christianisme.»
Nous y voilà. La présence d'un sapin de Noël dans un lycée a pu être assimilée à une violation de la loi sur l'interdiction des signes religieux ostensibles, au même titre que le voile islamique. Et ni le proviseur ni sa hiérarchie n'ont dénoncé cette provocation.
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L'Humanité
La prison à la place du collège (21/12/04)
Samuel, le collégien ghanéen de Pau, arrêté dans son établissement, est désormais emprisonné à Fleury-Mérogis pour refus d’embarquement.
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Accéder partout... mais dans dix ans(23/12/04)
Dix ans et pas un de plus : les transports collectifs n’auront pas plus de délai pour réaliser les aménagements nécessaires à la libre circulation des personnes handicapées. Ainsi en ont décidé les députés, hier, lors du débat en deuxième lecture du projet de loi sur le handicap. Éducation, emploi, bâtiments et transports : la journée tout entière a été consacrée à la question de l’accessibilité des personnes handicapées à la vie de tous les jours. Un volet du projet des plus attendus, tant les sénateurs avaient provoqué la colère des associations en le vidant de son contenu, lors de son passage en première lecture.
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Éducation Front syndical reconstitué (23/12/04)
Le front intersyndical dans l’éducation nationale s’est reconstitué avec un appel commun lancé mardi par les principales fédérations enseignantes pour une « journée nationale de grève et de manifestations » dans la troisième semaine de janvier 2005, la première depuis le 25 mai. Cette action est destinée à « exiger l’abandon » du projet de loi d’orientation sur l’école qui, disent-elles, « ignore les attentes exprimées lors de multiples débats », et à demander « l’ouverture d’une véritable négociation pour élaborer une loi ambitieuse pour l’avenir des jeunes ». Les fédérations dénoncent en outre « les mesures de carte scolaire, de suppressions de postes et de fermetures de classes résultant du budget 2005 ». L’appel, qui concernera tous les personnels de l’éducation nationale, y compris administratifs, de la maternelle jusqu’à l’université, a été lancé par la FSU, l’UNSA éducation, le SGEN-CFDT, la FERC-CGT et la FAEN, c’est-à-dire par l’essentiel des formations syndicales du secteur.
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Au supermarché du rêve (24/12/04)
Françoise galère. « Les enfants ont tellement de choses ! On n’attend même plus les grandes occasions comme les fêtes et les anniversaires pour leur faire des cadeaux, c’est toute l’année. Résultat : ils sont submergés de jouets et on ne sait plus ce qui leur ferait plaisir. » Pour faire ses choix, Françoise se fie aux âges indiqués sur les boîtes. Mais c’est qu’en plus « ils sont difficiles ». Difficiles ou pas, les bouts de chou ont souvent le dernier mot. À sept ans, Roberto flashe sur une énorme boîte des Power Rangers, produit dérivé du dessin animé du même nom. Un coup de foudre savamment préparé par la télévision, qui mitraille les spots au cours de pages publicitaires de plus en plus longues. « Combien ça coûte ? » demande la maman à un vendeur débordé, qui lui conseille de passer le code-barres devant la borne indiquant les prix. Verdict : 75 euros. Les yeux suppliants de Roberto l’emportent sur la grimace maternell
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L a nouvelle loi sur le patronyme (24/12/04)
Expliquez-vous, Valérie Feschet, anthropologue à l’institut d’ethnologie méditerranéenne et comparative d’Aix-en-Provence
[le double nom] introduit une parité dans la transmission du nom et redonne un peu d’honneur à celui de la mère dans la généalogie familiale. C’est aussi l’expression d’un système bilatéral, dans lequel l’enfant est reconnu comme le fruit de deux personnes. Enfin, à l’heure des fratries recomposées, il permet de distinguer plus finement les divers groupes de la famille. Quand le seul patronyme ramène à une globalité, le double nom permet de différencier les frères et les demi-frères... Cela affine les propriétés distinctives - généalogiques. Le seul matronyme, en revanche, peut être violent pour le père, qui perd la trace de sa paternité. Souvent, d’ailleurs, les mères elles-mêmes s’attachent à ce que leur enfant porte aussi le nom de son père.
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« Le jeu ne se limite pas au jouet » (24/12/04)
Jean Epstein est psychosociologue. Il décrypte le rôle du jouet et celui du jeu dans le développement de l’enfant. Entretien
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Le Parisien
Pas d’accès aux archives
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La Croix
L'érosion de la pratique catholique
Une enquête de l'institut CSA montre que la lente érosion de la pratique des catholiques en France se poursuit. Cette étude de fond permet, pour la première fois, de dresser un portrait des pratiquants.
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Comment Dieu se révèle aux enfants
Pour reconnaître Dieu dans leur vie, les enfants du XXIe siècle ont besoin comme leurs aînés d'être respectés et guidés dans leur quête spirituelle
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20 minutes
Profs et fonctionnaires dans la rue le 20 janvier (23/12/04)
Le Grand Soir est pour le 20 janvier. Hier, fonctionnaires et enseignants ont appelé à la grève et à la manifestation partout en France, ce même jour. Les syndicats enseignants, qui reforment pour l’occasion l’intersyndicale des grandes grèves de 2002, exigent l’abandon du projet de loi Fillon sur l’école.
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Le Monde
La réforme du nom de famille s'attaque à la forteresse paternelle (23/12/04)
A partir du 1er janvier 2005, les parents pourront transmettre à leurs enfants le nom du père, celui de la mère ou les deux accolés. Cette modification, réclamée dès 1978 par le Conseil de l'Europe, bouleverse le modèle existant et s'adapte aux nouvelles réalités de la famille.
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"Le nom de la mère n'est plus la marque d'un défaut de filiation"
Entretien avec Valérie Feschet, anthropologue à l'Institut d'ethnologie méditerranéenne et comparative
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"Laïcité" et mémoire collective, par Guilhem Labouret
enseignant à l'université Paris-Sorbone
Saint Nicolas avait un tort : il était chrétien, et qui plus est évêque. Sa crosse et sa mitre dérangent. Des écoles du Pas-de-Calais l'ont montré en interdisant des figurines en chocolat du saint en question, non sans avoir essayé de gratter la croix qui ornait son chapeau. Anecdote plaisante, qui rappelle la suppression des crèches et santons de Noël dans plusieurs écoles, y compris dans les Bouches-du-Rhône, terre de tradition s'il en est dans la fabrication des santons, où le petit Jésus est plus un sujet en terre cuite que la représentation sacrée du fils de Dieu. Dans les deux cas, la presse a souligné les conséquences économiques de cette stricte application de la loi sur la laïcité : manque à gagner des chocolatiers dans le Nord, déception des santonniers dans le Midi.
Mais n'y a-t-il pas plus grave derrière ces actions, réclamées par des membres de fédérations de parents d'élèves et admises par les rectorats, et même les évêchés concernés ?
La loi sur la laïcité a eu pour effet, dans ces écoles, de nier une partie de notre patrimoine culturel.[…] On peut toujours gratter la croix présente sur la mitre de saint Nicolas : un dessinateur américain l'a fait, et a donné naissance au Père Noël. Mais on ne pourra pas biffer les références à Dieu et à la religion dans les grands textes littéraires.
Les censeurs de la Saint-Nicolas et du temps de l'Avent se trompent d'objet : à vouloir être laïques, ils interdisent l'unique rapport que les écoliers de l'école laïque, publique, gratuite et obligatoire ont avec le fait religieux : un rapport culturel, véhiculé par les traditions les plus anciennes.
Qu'y a-t-il donc de "laïque" dans ce geste ?
Pas grand-chose, en vérité. Etre laïque, c'est être indépendant de toute confession religieuse : indépendant, et non intolérant. Le piège de la loi sur la laïcité est finalement d'avoir ouvert un boulevard à des protestations en tous genres, la plupart du temps infondées, comme l'illustre l'exemple du sapin problématique du lycée Van-Dongen de Lagny-sur-Marne (Le Monde du 17 décembre).
On se prend à rêver d'une école laïque utopique où les musulmans porteraient le voile, les chrétiens la croix et les juifs la kippa. Où Noël serait férié, tout comme les grandes fêtes juives et musulmanes. Où l'on respecterait les traditions des uns et des autres pour que les élèves se connaissent et apprennent l'altérité. Où tous se sentiraient bien.
Pour finir, que reste-t-il alors à nos écoliers du Pas-de-Calais si on les prive de leur saint Nicolas ? Le Père Fouettard ou, plus comique, l'âne, dont on sait que le bonnet du même nom a eu jadis entièrement sa place dans l'école laïque ? Peut-être les deux
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Les hebdomadaires
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Le Nouvel Observateur du jeudi 23 décembre 2004 -
Très chers enfants
Un ordinateur, un téléphone portable, un abonnement internet sans oublier bien sûr les études, les vêtements ou les cadeaux de Noël... Le coût d’un enfant devient de plus en plus prohibitif. Résultat, les parents se saignent ou culpabilisent. Analyse Lire la suite de l’article
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Le Point du 23 décembre 2004
L'offensivedes jeux intelligents
Le ludo-éducatif, c'est le secteur qui monte dans les CD-ROM. A telle enseigne que, pour nous y retrouver, nous avons dû tester les 130 titres du marché.Lire la suite de l’article
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L'Express du 20 décembre 2004
Education Pas de vagues!
La chronique de Claude Allègre
«A l'Education nationale, tout change, pour que tout reste comme avant», aurait dit Lampedusa. Les rapports s'accumulent. Rapport Bourdieu-Gros, rapport Fauroux, et maintenant rapport Thélot. Comme les précédents, ce document a mobilisé beaucoup de monde, permis d'agiter beaucoup d'idées, mais, soucieux de ne pas faire trop de vagues, le ministre a décidé de n'en retenir que quelques-unes, et, de compromis en consensus, de négociations en capitulations, il débouche sur des propositions a minima. Certes, rien n'est négligeable ni insignifiant, mais n'étant pas à la mesure des espoirs suscités, elles paraîtront d'autant plus insuffisantes. Au vrai, pour réformer l'Education nationale, ne manquent ni les idées ni les moyens financiers. Mais le courage. Le courage de briser le corporatisme conservateur des enseignants et la frilosité des parents d'élèves. Alors qu'ils ont la marge de manœuvre pour faire bouger les choses et imposer les réformes nécessaires, ils choisissent trop vite le statu quo.
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Sacrés noms de famille
Les enfants nés à partir du 1er janvier prochain pourront porter, au choix, le nom du père, de la mère ou les deux. Une révolution, après des siècles de suprématie du patronyme. Car, avec la naissance de ce nouveau droit, c'est tout un symbole de l'identité et de la filiation qui est en jeu
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Le Figaro-Madame/ Figaro Magazine samedi 25 décembre 2004
Violence et télévision
par Alain-Gérard Slama
Le double meurtre dont une infirmière et une aide soignante viennent d'être victimes dans un hôpital psychiatrique de Pau est suffisamment atroce et singulier pour qu'on évite de se livrer, à son propos, à des généralisations abusives. Les abominations de grands pervers et leur relation sensationnelle dans la grande presse ne sont une spécialité ni de notre société ni de notre temps. Ce n'est pas la première fois non plus qu'un massacre de cette nature prend la forme spectaculaire d'un geste rituel, avec égorgement et décapitation. […] Ce qui frappe, en revanche, dans ce crime, qui rappelle le meurtre récent par un adolescent de toute sa famille, est le rapport qu'il entretient avec les images violentes diffusées sur les écrans. L'assassin reproduisant le geste du samouraï, la profusion du sang versé, la tête de l'infirmière posée sur un téléviseur : ces séquences de cauchemar manifestent une confusion flagrante entre le réel et le virtuel, entre le passage à l'acte et la représentation visuelle. Le rapport d'une commission présidée par Blandine Kriegel en 2002 rappelait, sur la base d'une enquête de l'Unesco, que les enfants et les adolescents consacrent en moyenne trois heures par jour à regarder la télévision, soit 50% de temps supérieur à n'importe quelle autre activité.[...]
Il faut avoir le courage de regarder cette réalité en face, comme l'a fait le rapport Kriegel il y a deux ans : il existe une corrélation entre la montée de l'agressivité physique et le développement de la présence dans nos vies des écrans de télévision. Un crime comme celui de Pau est la pointe émergente d'une réalité de masse qui, depuis deux décennies, se traduit par une montée régulière de la violence. La modernité ne se prête guère à ce que la société interdise. Elle doit, en revanche, signaler de façon plus nette, notamment par l'éducation et par le report aux heures de diffusion tardive, les agressions visuelles qu'elle réprouve. Sinon, les citoyens des pays développés continueront, plus que jamais, à se gaver d'anxiolytiques, le soma prédit par Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes.
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Politis du 23 décembre 2004
Rien vu...
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Marianne du 23 décembre 2004
Rien vu...
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dimanche, décembre 26, 2004
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1 commentaire:
Vous avez un blog très agréable et je l'aime, je vais placer un lien de retour à lui dans un de mon blogs qui égale votre contenu. Il peut prendre quelques jours mais je ferai besure pour poster un nouveau commentaire avec le lien arrière.
Merci pour est un bon blogger.
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