Si on m'avait dit que je ferai une revue de presse le 18 juillet...
Mais il est vrai que, comme je l'ai déjà dit, le ministre de l'éducation a une gestion du calendrier assez subtile. Faire des annonces qui concernent la transformation du lycée le 17 juillet, c'est assez inédit...
Si on s'en tient aux déclarations de Xavier Darcos du 17 juillet qui faisait le point sur la réforme, le lycée français va changer, vite et beaucoup. La nouvelle classe de seconde, qui serait en place dès la rentrée 2009, serait découpée en semestres, avec des modules d'enseignement, du soutien, du travail interdisciplinaire, etc. Plutôt que des horaires annuels, les cours seraient dispensés en modules de trois heures hebdomadaires par semestre
«La seconde doit retrouver son rôle d'année de détermination, a indiqué Xavier Darcos. Trop souvent, les élèves prennent une option et s'aperçoivent à Noël que ça ne leur plaît pas. Du coup, ils se désinvestissent.» Les lycéens auraient quatre modules, soit «d'exploration» s'il s'agit d'une discipline qu'ils découvrent, comme le droit ou les sciences économiques et sociales (SES), soit «d'approfondissement», s'ils poursuivent les SES par exemple. Le ministère travaille sur une hypothèse de 60% du temps consacré aux enseignements généraux, 25% aux complémentaires et 15% aux activités d'accompagnement. En «cycle terminal», les lycéens commenceraient à se spécialiser vraiment et ces taux passeraient respectivement à 45%, 45% et 10%. Logiquement, si une telle organisation est retenue, les filières (S, ES et L) disparaîtront mais on garderait l'idée de “dominantes”
L'autre objectif revendiqué est de faire baisser le taux de redoublement : un élève en difficulté dans une ou deux matières passerait dans la classe supérieure tout en étant suivi de façon individuelle quelques heures dans la semaine. En conséquence, les enseignants seront amenés à passer du temps dans les établissements, pour assurer le suivi des élèves. “Il n'y aura pas moins d'heures, globalement, même si le temps disciplinaire au sens étroit devrait se réduire un peu", a expliqué M. Darcos. Dans l'entourage de M. Darcos, on rajoute également que "la manière d'organiser les enseignements aura un impact sur la manière d'enseigner". Pour Philippe Meirieu interrogé par Les Échos, en effet, «La réforme suppose une redéfinition du service enseignant». Mais ce sujet là est sensible et on a bien vu comment le rapport Pochard a été enterré.
Vers quel lycée va t'on ?
Vers un lycée à l'anglo-saxonne selon Les Échos qui voit un net rapprochement avec les standards internationaux ? Peut-être est-ce une des explications de cette réforme. Mais une autre est certainement à chercher dans la recherche d'économies même si le ministre s'en défend et assure que la réforme ne se traduira pas par des suppressions de postes d'enseignant. Mais les 13 500 non remplacements prévus limitent la crédibilité de cette affirmation. On va en tout cas vers un lycée qui coûte moins cher...
A quelles conditions, cette réforme est-elle possible ?
Éviter l'orientation trop précoce n'est pas une mauvais chose dès l'instant où les choix d'options et de modules sont bien encadrés et cohérents, ce qui suppose un suivi. C'est la même problématique pour le soutien, il est nécessaire que cela soit un véritable tutorat avec les moyens nécessaires et des enseignants formés et ayant du temps pour travailler ensemble et communiquer. Sinon, comme le dit Philippe Meirieu , “sous prétexte de préparer l'élève à ce qui se passe à l'université, on va anticiper la sélection universitaire en faisant en sorte que seuls ceux qui savent bien s'organiser parmi des offres multiples s'en sortent.”. Avec lui, on peut s'étonner aussi d'une contradiction. Si le lycée évolue vers plus d'accompagnement des élèves, du soutien, il faudra des enseignants capables de s'adapter à cette évolution du métier. Or, on réduit la formation en supprimant de fait les IUFM et en offrant une formation universitaire qui risque d'être essentiellement centrée sur les savoirs disciplinaires. Ce qui risque de conduire plutôt à l'immobilisme et à la transmission d'une vision traditionnelle du métier !
Enfin, dernier point d’inquiétude, c’est le temps laissé à la préparation et à la négociation. Lorsqu’on lit le calendrier, avec pour principale contrainte la mise en place de la nouvelle seconde à la rentrée 2009, tout devrait être bouclé en décembre 2008. Cela ressemble pas mal à un passage en force…
Il faudrait donc que cette réforme ait les moyens de ses ambitions et le temps pour sa mise en œuvre...
Le même Xavier Darcos a publié une tribune dans Le Monde daté du 18 juillet intitulée “Le sarkozysme est l'allié de l'école".
Il s'y livre une nouvelle fois à un exercice d'autojustification de sa politique. Dans ce plaidoyer, il se réjouit en outre "d'un système éducatif bien moins monolithique et rétif au changement que ne voudraient le faire croire les sempiternels pétitionnaires qui prétendent l'incarner", "d'un monde enseignant, militant, facilement réactif, mais qui conjure la fatalité sociale", et de "la maturité des lycéens" permettant "d'ouvrir, en toute franchise, un débat sur l'avenir du lycée".
Il utilise aussi à nouveau la même grosse ficelle de l'attaque du “pédagogisme” en utilisant ce terme diffamatoire destiné uniquement à disqualifier. Cela le conduit à écrire des contre-vérités telles que celle ci « [...]Les pédagogistes ont voulu le [l'élève] placer au centre du système éducatif, comme s'il fallait déduire de sa faculté d'apprendre, de comprendre et de restituer des savoirs, une forme de prescience égale au savoir du maître ». Comme le demande Lubin dans son blog, , pourrait-il nous citer un seul enseignant qui aurait prétendu que « l'élève est à l'égal du maître », formule qui, au passage, ne veut rien dire du tout... ?
Si “Pédagogisme” est un nouveau mot que M.Darcos cherche à imposer, “Démagogie” est en revanche un terme qu'il connaît bien...
Bonne Lecture et bonnes vacances...
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Libération du 18/07/08
Les années lycée seront découpées en modules et en semestres
Le lycée français va changer, vite et beaucoup. Le ministre de l’Education, Xavier Darcos, qui faisait hier un point sur cette réforme, l’a confirmé. La nouvelle classe de seconde, qui sera en place dès la rentrée 2009, n’aura pas grand-chose à voir avec l’actuelle. Elle sera découpée en semestres, proposera des modules d’enseignement, du soutien, du travail interdisciplinaire, peut-être du droit et de la technologie, etc
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Pour la FCPE, «l'école n'est pas un centre de loisirs»
Jean-Jacques Hazan, le président de la fédération des parents d'élèves FCPE, est très remonté après l'adoption par l'Assemblée du texte de loi prévoyant l'accueil des enfants les jours de grève.
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L'Assemblée rend obligatoire l'accueil à l'école en cas de grève ou d'absence des profs
La fédération de parents d'élèves FCPE accuse Xavier Darcos de vouloir transformer l'Education nationale en «garderie nationale».
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Contre la chasse à l’enfant
JEAN-LOUIS TOURENNE président du conseil général d’Ille-et-Vilaine.
Nous, présidents de conseils généraux, défendons dans nos missions quotidiennes la dignité des personnes de la naissance à la fin de vie. Nous luttons contre le déterminisme social pour donner toutes leurs chances à celles et ceux qui en ont besoin. Tel est le sens des lois de décentralisation et des charges que l’Etat nous a confiées.
Dans cette logique, il m’a paru nécessaire et urgent d’alerter mes collègues sur les méthodes inhumaines et dégradantes qui accompagnent souvent la mise en œuvre de la politique d’immigration du gouvernement français. Sans juger de sa pertinence, nous sommes pourtant tout à fait légitimes sur ce terrain puisque nous avons la responsabilité légale des mineurs privés, temporairement ou définitivement, de la protection de leur famille. Cela signifie que les présidents de conseils généraux sont détenteurs de la tutelle et de l’autorité parentale des jeunes sans-papiers : les mineurs isolés. Aussi, comment ne pas réprouver les méthodes utilisées à l’égard des enfants placés sous notre protection et des personnes qui les soutiennent ?
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«Chez les jeunes ados, le “binge drinking“ correspond à une situation de détresse»
Le Dr Georges Picherot dirige le service des urgences pédiatriques du CHU de Nantes. Depuis cinq ans, il constate une hausse inquiétante des cas d'hospitalisation de jeunes adolescents pour des problèmes liés à l'alcool.
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Le Figaro du 18/07/08
Lycée : Darcos réorganise
la classe de seconde
Enseignement découpé en semestres, autonomie plus grande des élèves : la réforme s'appliquera dès la rentrée 2009.
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Le Monde daté du 18/07/08
Xavier Darcos précise l'organisation du futur lycée "modulaire"
Officiellement, ce ne sera pas "le lycée à la carte". Mais cela commence à y ressembler. Jeudi 17 juillet, Xavier Darcos, le ministre de l'éducation, a précisé la nouvelle organisation du lycée "modulaire" qu'il veut mettre en place à partir de 2009. La réforme devrait aboutir en 2012.
M. Darcos s'appuie sur le document d'étape qui lui a été remis après plusieurs semaines de consultations par le recteur d'Aix-Marseille, Jean-Paul de Gaudemar, "chef de projet" de la réforme.
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Le sarkozysme est l'allié de l'école, par Xavier Darcos
Peut-on être sarkozyste et aimer l'école ? De pétition en cortège, de défilé rituel en occupation d'école, les détracteurs de la politique gouvernementale ont désespérément tenté d'apporter une réponse négative à cette question, avec des arguments qui m'ont souvent laissé perplexe. Veut-on apprendre aux élèves du primaire à lire, à écrire et à compter ? C'est pour les empêcher de penser, entonnent en choeur les pédagogistes, qui réclament d'urgence le statu quo. Propose-t-on, pour lutter contre les déterminismes sociaux, d'offrir aux élèves en difficulté des stages gratuits de remise à niveau pendant les vacances scolaires, autrefois réservés aux enfants des milieux les plus aisés ? C'est pour mieux les stigmatiser, affirment sans rire les élus socialistes, certains n'hésitant même pas à s'y opposer. Recueille-t-on l'adhésion massive des familles sur les réformes engagées ? Une infamie ! lit-on, dans ces pages mêmes, sous la plume de ceux qui invoquent sans modération l'esprit de Munich ou la Saint-Barthélémy. Et pourquoi pas Gilles de Rais ?
Une fois passées la protestation systématique, l'indignation de circonstance et l'outrance rituelle, quel bilan peut-on faire de cette année scolaire ? Celui d'un système éducatif bien moins monolithique et rétif au changement que ne voudraient nous le faire croire les sempiternels pétitionnaires qui prétendent l'incarner.
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Un enseignant, héraut malgré lui de la lutte "anti-Darcos"
Soupçonné d'avoir cassé le doigt d'un policier, le 11 juin, lors de l'évacuation de l'inspection académique de Nantes investie par près de 400 enseignants, parents d'élèves et enfants, Sami Benmeziane est devenu héraut malgré lui de la lutte contre les mesures du ministre de l'éducation nationale, Xavier Darcos. Convoqué devant le tribunal correctionnel, en février, pour "rébellion et résistance violente à un agent de la force publique", cet instituteur de 43 ans, militant FSU, encourt un an de prison et 15 000 euros d'amende.
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L'Assemblée adopte le texte sur le service minimum à l'école
L'Assemblée nationale a adopté, mercredi 16 juillet, le projet de loi qui impose l'accueil à l'école des enfants de maternelle et de primaire en cas de grève ou d'absence "imprévisible" d'un professeur qui n'a pu être remplacé. Cette obligation a été étendue aux élèves des écoles privées sous contrat avec l'Etat.
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L’Humanité du 18/07/08 (un jour de retard)
Le service minimum à peine corrigé
Les députés ont modifié à la marge la loi sur le service minimum d’accueil dans les écoles.
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Le Parisien du 18/07/08
L'accueil des élèves en cas de grève ou d'absence devient obligatoire
Les députés ont adopté le projet de loi qui impose l'accueil à l'école des enfants de maternelle et de primaire, en cas de grève ou d'absence d'un professeur.
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La Croix du 18/07/08
Rien vu...
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Les échos du 18/07/08
Réforme du secondaire : vers un lycée à l'anglo-saxonne
Organisation de la scolarité en semestres, modularité des programmes, autonomie des établissements... Le « nouveau lycée » esquissé hier par Xavier Darcos opère un net rapprochement avec les standards internationaux.
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PHILIPPE MEIRIEU « La réforme suppose une redéfinition du service enseignant »
Telle qu'elle est présentée, la réforme semble aller dans le bon sens. Aujourd'hui, le lycée pêche par un excès de formalisme, le manque de suivi individuel et le caractère artificiel des filières. La classe de seconde, dans ce cadre, est aujourd'hui un sas un peu aléatoire. Permettre aux élèves en seconde de découvrir un certain nombre d'hypothèses, pour se spécialiser ensuite, me paraît relever du bon sens. C'est entrer, enfin, dans une conception de l'orientation qui n'est plus celle du jeu de hasard. Pour que cette classe soit une vraie classe de détermination, il faut donner la possibilité à l'élève d'explorer des domaines nouveaux et divers, de se confronter avec les exigences disciplinaires et le contenu des savoirs et de réfléchir avec les professeurs sur ce qui lui convient le mieux. Si une telle méthode est mise en place d'une manière à la fois sérieuse et volontariste, cela me paraît une très bonne chose. Mais il ne faut pas que la réforme concerne uniquement le lycée d'enseignement général. Si on veut supprimer les effets de hiérarchisation entre les filières d'enseignement général il faut aussi faire un effort pour supprimer la hiérarchie entre les trois lycées : général, technologique et professionnel et tendre vers un lycée unique avec certains cours communs.
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Les jeunes Californiens à la dérive
La crise de l'éducation américaine prend de l'ampleur. Sur la seule Californie, les dernières statistiques consternent le « Los Angeles Times » : un élève sur quatre (24,2 %) - dont un sur trois dans la région de Los Angeles - quitte le lycée sans diplôme. Le phénomène est connu depuis plusieurs années, mais, jusqu'à très récemment, les chefs d'établissement pouvaient encore prétendre que ceux de leurs élèves qui se trouvaient en situation d'abandon prévoyaient en fait de changer d'établissement. A présent, un tout nouveau système rend possible le suivi de ces étudiants, et donc une bien meilleure évaluation de l'abandon au lycée. Comme le montre le quotidien de l'Ouest américain, ce chiffre est d'autant plus alarmant que cela concerne plus de 40 % de l'ensemble des lycéens noirs et 30 % des Hispaniques, contre seulement 15 % des Blancs. Ainsi, même en considérant que tous les restants obtiennent leur diplôme (ce qui n'est pas tout à fait exact), cela signifie que seuls un peu plus de 75 % des élèves d'une tranche d'âge obtiennent leur diplôme de fin de lycée. Un chiffre qui, selon une étude réalisée par l'OCDE l'an dernier, est bien inférieur à la moyenne des pays développés (82 %) et notamment à celle de la France (85 %).
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Darcos cherche à rassurer les maires sur le service minimum à l'école
L'Assemblée devait commencer hier soir l'examen du projet de loi qui impose aux communes d'organiser l'accueil des élèves en cas de grèves. Le PS estime que le texte « ouvre la voie » au remplacement des enseignants par d'autres personnels.
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Trois sujets de tension avec les élus locaux
Un différend scolaire peut en cacher un autre. Outre le service minimum, les maires sont très critiques sur la réforme des temps scolaires, qu'ils jugent précipitée. Et le financement des écoles privées fait toujours débat.
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Les syndicats d'enseignants veulent se mobiliser dès la rentrée
Aux yeux des syndicats, le service minimum se rajoute à d'autres sujets de mécontentement, notamment le non-renouvellement de 13.500 départs à la retraite.
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20 minutes du 18/07/08
Contre l'alcoolisation des jeunes: une campagne pour interdire et informer
Comas éthyliques, accidents, agressions: une campagne de sensibilisation particulièrement réaliste va accompagner cet été les mesures d'interdiction annoncées pour l'automne par la ministre de la Santé pour lutter contre les phénomènes d'alcoolisation massive des jeunes.
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Les élèves seront obligatoirement accueillis en cas de grève
Après le Sénat, l'Assemblée nationale a adopté mercredi le projet de loi qui impose l'accueil à l'école des enfants de maternelle et de primaire, en cas de grève ou d'absence «imprévisible» d'un professeur qui n'a pu être remplacé.
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Rue89 du 18/07/08
Affectée de force dans l'un des plus mauvais lycées de France
Porter plainte contre le rectorat? Un parent d'élèves qui vit à Paris y songe de plus en plus précisément. Après avoir alerté Rue89, il a finalement décidé de garder l'anonymat, par crainte que la médiatisation desserve sa cause. Car il espère toujours une nouvelle affectation pour sa fille, qui doit entrer en seconde à la rentrée prochaine.L'adolescente a fait, pour l'heure, toute sa scolarité secondaire dans un collège de son quartier, dans le XIIIe arrondissement de Paris. Pour septembre et l'arrivée au lycée, elle avait formulé plusieurs voeux, comme le veut la règle. Avant même l'assouplissement de la carte scolaire, toutes classes confondues, par Xavier Darcos, les modalités des affectations au niveau du lycée avaient en effet changé l'an dernier: l'inscription dans un lycée à Paris ne dépend plus du lieu d'habitation, mais désormais de choix formulés par l'élève -sous réserve que le rectorat accepte.
La fille de notre internaute, que nous appelerons Lucie, avait donc sélectionné plusieurs bahuts, dont certains étaient excentrés de son quartier de la Butte aux Cailles. Par exemple le lycée Fénelon, dans le VIe, qui offrait l'espagnol en troisième langue. C'était son premier choix... mais le rectorat en a décidé autrement.
Le 1er juillet, alors qu'elle se connecte sur internet pour découvrir son futur établissement, Lucie découvre qu'elle est inscrite à François-Villon. Situé tout à fait au sud de Paris, à proximité de la porte d'Orléans, dans le XIVe, l'établissement ne propose pas d'espagnol troisième langue. Mais, surtout, il a mauvaise réputation..
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La "base élèves" inquiète encore les parents, et à juste titre
Le ministère de l’Education nationale a beau vouloir apaiser la contestation autour du fichier "base élèves" et lever les sanctions qui pèsent sur les directrices et directeurs d’école rétifs, les parents d’élèves ne sont pas rassurés pour autant.
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Ouest-France du 18/07/08
La fête se fera sans alcool pour les mineurs
En vigueur dans quinze pays d'Europe, l'interdiction totale de la vente d'alcool aux moins de 18 ans devrait arriver, dès 2009, en France. Zoom sur le futur projet de loi.
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Le Journal du Dimanche du 18/07/08
Les colonies des forts en thème
Les colonies de vacances sont maintenant loin de l'imagerie traditionnelle. Finis les grands dortoirs. Finies les activités classiques. L'époque est à la spécialisation. Les têtes blondes réclament maintenant des sensations fortes et d'animations originales, inspirées par la télévision. Mais cela a un coût et la mixité sociale est remise en cause par cette nouvelle tendance.
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Le Nouvel Obs Permanent du 18/07/08
Vers une "semestrialisation" des cours au lycée
Xavier Darcos prévoit de réorganiser les enseignements "en trois grands blocs principaux". Il annonce également la "modularisation" et la "semestrialisation" des enseignements de seconde et de terminale, à l'image des modèles nordiques et anglo-saxons.
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L’Express.fr du 18/07/08
Le service minimum à l'école adopté par les députés
Les députés ont voté mercredi 16 juillet le projet de loi instaurant un accueil obligatoire des élèves de primaire en cas de grève ou d'absence d'un professeur. C'est l'Etat et non la commune qui assumera la responsabilité pénale de ce service d'accueil.
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Une sélection dans les dépêches du 18/07/08
Réforme des lycées : "Enseignements organisés autour de trois grands blocs"
La réforme des lycées va organiser "les enseignements et activités proposés aux élèves en trois grands blocs principaux: enseignements généraux, enseignements complémentaires et accompagnement", selon le ministère de l'Education.
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Darcos défend son bilan à l'Education et "le sarkozysme, allié de l'école"
Xavier Darcos défend son bilan à l'Education, un an après sa nomination, et vante l'action du président Nicolas Sarkozy dans ce domaine, assurant que "la France commence à comprendre que le sarkozysme est le meilleur allié de la cause de l'école".
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Accueil des élèves lors des grèves: renforcement du rôle des maires d'arrondissement
Le président du groupe UMP au conseil de Paris Jean-François Lamour et le président de la fédération UMP de Paris Philippe Goujon se sont félicités jeudi du renforcement par l'Assemblée nationale du rôle des maires d'arrondissement pour l'accueil des élèves les jours de grève.
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Dérogations à la carte scolaire: 17% de demandes en plus, 88% satisfaction
Le nombre de familles ayant demandé pour la rentrée des dérogations pour l'inscription de leur enfant au collège et au lycée est en progression de 17,17% par rapport à l'an dernier au niveau national, selon un communiqué du ministère de l'Education vendredi.
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Une campagne pour faire réfléchir les jeunes aux risques liés à l'alcool
Une campagne de sensibilisation des jeunes aux risques liés à une consommation excessive d'alcool, axée sur le passage d'un "acte festif" à un acte dangereux, a été présentée jeudi par la ministre de la Santé Roselyne Bachelot.
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L'alcool, "la défonce" la plus facile d'accès
Produit licite, facile à obtenir, mis en scène de façon positive par la publicité et ancré dans la société, l'alcool entre le plus souvent dans la vie des jeunes par la fête, mais conduit parfois à "la défonce" avec son lot de conséquences dramatiques, selon les spécialistes.
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vendredi, juillet 18, 2008
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