Quand le lapsus en dit beaucoup…
"Attendons le conseil constitutionnel qui prendra sa démission demain", a indiqué le Premier ministre à l'Assemblée, mercredi. Ce lapsus a provoqué l'hilarité de l'opposition… et petites quelques sourires (jaunes) sur les bancs de la majorité.
Il est vrai que l’on attend beaucoup de l’avis du conseil constitutionnel jeudi dans la matinée. Car pour l’instant la situation est bloquée. Les syndicats lancent un appel à une nouvelle journée de grève et de manifestations le mardi 4 avril prochain. Pendant ce temps là, Villepin est au « palais de l’enlisé » pour reprendre le titre du Canard Enchaîné.
Autre déclaration, mais celle ci n’est pas un lapsus.
Gilles de Robien a donné une "consigne orale" aux recteurs d'académie pour que tous les lycées bloqués par le mouvement anti-CPE soient "rouverts" jeudi."Les recteurs avec les proviseurs verront comment ils peuvent faire pour rouvrir les établissements", a précisé le ministère. "Demain, il faut que les lycéens rentrent vraiment dans leur lycée, parce que sinon ils vont gâcher une partie de leur avenir, ils vont gâcher leur année scolaire", avait déclaré le matin même le ministre sur Europe 1.
Les syndicats d’enseignants ont vivement ré agi à cette déclaration qu’ils qualifient de provocation.
Encore une fois, cette revue de presse est en totalité consacrée au CPE. Mais est-ce que l’école va bien pour autant, rien n’est moins sûr…
Bonne Lecture...
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Libération du 29/03/06
Villepin seul à la table
Ni les syndicats de salariés, ni la plupart des organisations étudiantes et lycéennes n'ont répondu positivement à son invitation à venir discuter du CPE mercredi à Matignon • Jacques Chirac s'exprimera sur le sujet «dans les prochains jours» •
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Les scénarios de l'après-28 mars
Après la mobilisation d'hier, sans précédent depuis 1995, le gouvernement peine à trouver une issue à deux mois de crise.
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Les étudiants en rangs serrés
Avec les lycéens, ils entendent maintenir la mobilisation.
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Les scénarios de l'après-28 mars
Après la mobilisation d'hier, sans précédent depuis 1995, le gouvernement peine à trouver une issue à deux mois de crise.
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EDITORIAL • Pourrissement
e Gaulle quittait la France pour Baden Baden en plein 68, Chirac, lui, renonce à se rendre au Havre et s'enferme à l'Elysée. Dans les deux cas, c'est la marque d'une crise de régime.[…] S'il continue, à l'inverse, à demeurer l'otage de Villepin et à jouer le pourrissement, la putréfaction risquera alors d'entacher sa fin de mandat, et bien au-delà. Après que les électeurs se sont rebellés dans les urnes le 29 mai et que la jeunesse des villes ou des banlieues descend dans la rue depuis novembre, il prendrait une énorme responsabilité à attiser les tensions en restant solidaire de son Premier ministre et définitivement sourd aux Français.
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Une régression anti-individualiste
par François de SINGLY
ouvent, il y a confusion entre le libéralisme économique et l'individualisme. Cela est de nouveau perceptible par exemple dans les propos de Thierry Lefebvre lorsqu'il affirme que le mouvement contre le CPE est une «résistance à l'individualisme des sociétés modernes» (le Monde, 18 mars 2006). Se tromper ainsi dans le nom de l'ennemi n'est un service à rendre ni à ceux et celles qui luttent contre l'extension des contrats précaires ni à ceux et celles qui veulent comprendre le monde actuel. Si l'individualisme était à ce point un ennemi, pourquoi Jean Jaurès aurait écrit dans Socialisme et liberté en 1898 : «Rien n'est au-dessus de l'individu. Le socialisme est l'individualisme logique et complet.». La question n'est pas d'opposer le collectif et l'individu ; elle porte sur la conception de l'individu.[…]
Mais, comme Jaurès pourrait nous le rappeler, étant donné les rapports de force à l'intérieur d'une société capitaliste, les individus ne peuvent se défendre en tant qu'individus que par la médiation de luttes collectives. Les féministes n'ont obtenu que les femmes aient enfin la maîtrise de leur corps (et non pas l'Etat, et leur mari) qu'en se regroupant et en luttant ensemble. A leur tour, les jeunes défilent en réclamant : «Notre avenir nous appartient.»
.Ils demandent seulement les conditions pour pouvoir exister à titre personnel, pour ne pas rester dépendants encore et encore de leurs parents (et encore pour ceux qui peuvent avoir ce support). Ces luttes défendent une conception d'un individu qui refuse d'être sous la coupe d'un pouvoir arbitraire. L'insécurité du CPE, c'est la restauration de «la loi de certains contre presque tous», de la loi de la jungle. Cela semble être le principe du libéralisme. Ce n'est pas celui, répétons-le de nouveau tant la confusion est forte, de l'individualisme humaniste.
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Le Figaro du 29/03/06
CPE : l'intersyndicale appelle à une nouvelle grève le 4 avril
Les 12 organisations syndicales qui demandent le retrait du CPE appellent de nouveau à une journée de mobilisation. Dans la matinée, le président de la République a fait savoir qu’il s’exprimerait sur le sujet dans les jours à venir. La décision du Conseil constitutionnel, saisi par la gauche, est attendue jeudi.
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La crise du CPE vue par les médias étrangers
Critiquant le « chant du cygne » de Dominique de Villepin et comparant les manifestations parisiennes aux événements de Tiananmen, les médias étrangers soulignent mercredi l'ampleur de la révolte contre le Contrat première embauche. Ils s'interrogent sur les blocages de la société française face à un monde changeant, révélés par la crise sur l'emploi des jeunes. Morceaux choisis.
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Les casseurs exclus du cortège parisien
Services d'ordre syndicaux musclés et forces de l'ordre réactives ont permis d'éviter violences et pillages durant le défilé.
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Les «anti-CPE» mobilisent en masse
Les syndicats saluent une journée «historique», mais Dominique de Villepin, tout en renouvelant son offre de dialogue, n'entend pas reculer.
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L'Humanité du 28/03/06 (un jour de retard)
Pas en ligne
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Le Parisien du 29/03/06 ( payant)
Blocage
Entre un et trois millions de personnes ont manifesté hier en France contre le CPE. Alors que Nicolas Sarkozy critique ouvertement la méthode de Dominique de Villepin, ce dernier affiche sa fermeté. Ça secoue dans la majorité
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A Paris, les canons à eau dispersent les casseurs
15 h 30 GRENOBLE, RENNES, CAEN, ROUEN, LILLE : incidents de fin de cortège. A Grenoble, la police utilise flashballs et gaz lacrymogène contre des jeunes qui veulent investir le local de l'UMP. Une dizaine de personnes sont interpellées.
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L'Education nationale bien mobilisée
DANS LES ECOLES et les collèges, selon le ministère de l'Education, on a dénombré 42,35 % et 42,01 % de grévistes. Dans les lycées généraux et technologiques, on a compté 36,67 % des profs qui ont cessé le travail, 32,25 % dans les lycées...
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A Paris, les canons à eau dispersent les casseurs
15 h 30 GRENOBLE, RENNES, CAEN, ROUEN, LILLE : incidents de fin de cortège. A Grenoble, la police utilise flashballs et gaz lacrymogène contre des jeunes qui veulent investir le local de l'UMP. Une dizaine de personnes sont interpellées.
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La Croix du 29/03/06
Et maintenant, trouver l'issue
Entre un et trois millions de personnes ont manifesté mardi contre le contrat première embauche (CPE). Presque partout en France, la mobilisation a été plus importante que le 18 mars. Jacques Chirac s'exprimera "dans les prochains jours" sur le sujet, a fait savoir mercredi son entourage
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20 minutes du 29/03/06
CPE: Jacques Chirac sommé d'agir au lendemain de manifestations monstres
Au lendemain des manifestations monstres pour le retrait du contrat première embauche, les yeux se tournent désormais vers Jacques Chirac, sommé de peser de tout son poids institutionnel en vue de l'abandon rapide d'un dispositif massivement rejeté.
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La colère grandit, l'entêtement de Villepin aussi
Ils étaient plus de 2 millions en 1995 contre Juppé. Deux millions aussi contre Raffarin en 2003, selon les syndicats. La lame de fond contre le CPE qui a déferlé hier, dans plus de 250 villes en France était au moins aussi importante, voire plus. Villepin a pourtant répété : pas question de retirer le CPE. Ce n'est pas faute de lui avoir demandé puisqu'hier, entre 1 et 3 millions de manifestants, selon la police ou les syndicats, ont défilé. Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, parle d'une mobilisation « historique », le double de celle du 18 mars. Elle a entraîné des perturbations dans les transports et à l'école. Quant aux violences, elles ont été semble-t-il mieux contenues.
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CPE: raz-de-marée "historique", Chirac s'exprimera "dans les prochains jours"
Entre 1 et 3 million de manifestants ont défilé toutes générations confondues partout en France mardi contre le CPE, un raz-de-marée sans précédent, alors qu'une intervention de Jacques Chirac est attendue "dans les prochains jours"
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Ouest-France du 29/03/06
Démonstration de force contre le CPE dans toute la France
La journée de mobilisation contre le CPE, à l’appel de tous les syndicats de salariés et des organisations étudiantes et lycéennes, a fait descendre dans la rue une foule imposante. Au moins le double de celle qui s’était manifestée le 18 mars dernier. La plupart des observateurs font référence à 1995 et aux manifestations contre le projet Juppé pour retrouver d’aussi fortes mobilisations. La plupart des rassemblements se sont déroulés dans le calme sauf à Paris et à Rennes.
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Ségolène Royal favorable au service civil obligatoire
Ségolène Royal, président PS du conseil régional de Poitou-Charentes et députée des Deux-Sèvres a estimé, dans une interview à La Provence que "supprimer le service militaire avait été une erreur".
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'Avoir 20 ans en 2006' : vos réactions à notre enquête
Jeunes en galère, parents inquiets, papy-boomers rebelles : vous avez été très nombreux à réagir à notre enquête sur 'Avoir 20 ans en 2006'. En voici des extraits.
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Le Monde daté du 30/03/06
L'intersyndicale anti-CPE appelle à une nouvelle journée de mobilisation le 4 avril
L'intersyndicale des 12 organisations de salariés, lycéens et étudiants qui conduit la campagne pour le retrait du contrat première embauche (CPE) a décidé, mercredi 29 mars, d'appeler à une nouvelle journée de grève et de manifestations le 4 avril, a-t-on appris de sources syndicales.
"L'inflexibilité affirmée du premier ministre ne peut que renforcer la détermination des organisations syndicales à poursuivre l'action", souligne un communiqué de l'UNSA, qui appelle "ses syndicats, ses sections régionales et départementales à mettre tout en œuvre pour assurer le succès de cette mobilisation".
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Gilles de Robien a donné la "consigne orale" de rouvrir les lycées jeudi
Gilles de Robien a donné une "consigne orale" aux recteurs d'académie pour que tous les lycées bloqués par le mouvement anti-CPE soient "rouverts" jeudi, a annoncé mercredi le ministère de l'éducation, précisant que ces réouvertures devaient se faire "en fonction des situations locales" et non forcément en ayant recours aux forces de l'ordre. "Les recteurs avec les proviseurs verront comment ils peuvent faire pour rouvrir les établissements", a précisé le ministère. "Demain, il faut que les lycéens rentrent vraiment dans leur lycée, parce que sinon ils vont gâcher une partie de leur avenir, ils vont gâcher leur année scolaire", avait déclaré le matin même le ministre sur Europe 1.[…]
Le principal syndicat de proviseurs, le SNPDEN, affilié à l'UNSA, a confirmé l'existence de ces consignes orales sur le plan national. Le secrétaire général de ce syndicat, Philippe Guittet, a estimé qu'il s'agissait d'"une maladresse importante", car "la solution n'est pas dans l'ordre public, elle est politique". "Il vaut mieux que les évacuations se fassent en concertation, par le dialogue entre les équipes pédagogiques et les élèves", a estimé M. Guittet, qui s'est maintes fois prononcé pour la suspension du CPE.
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M. Chirac arbitre de la crise politique sur le CPE
La crise sociale du CPE est désormais politique. Mercredi 29 mars, pendant le conseil des ministres, Jacques Chirac a décidé de n'en souffler mot. Mais, quelques minutes plus tôt, les yeux dans les yeux avec son premier ministre, il n'a été question que de cela. Et la veille, à l'Elysée jusque 22 heures, une réunion de crise avait été convoquée pour trouver une issue au di dans lequel son premier ministre et sa majorité l'ont poussé.
D'un côté, son premier ministre, qui est déterminé à ne rien céder sur le CPE tel qu'il est défini par la loi, lui demande une promulgation immédiate de ce texte. Si possible, au lendemain même de la décision du Conseil constitutionnel, attendue pour jeudi 30 mars, voire mercredi.
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La cour d'appel de Paris déboute l'instituteur d'"Etre et avoir"
La cour d'appel de Paris a débouté, mercredi 29 mars, Georges Lopez, l'instituteur vedette du documentaire à succès de Nicolas Philibert, Etre et avoir. M. Lopez, 60 ans, demandait des indemnités, notamment pour atteinte à son droit à l'image. L'instituteur, qui a engagé cette action en justice en 2003, estimait, en effet, que le film constituait une reproduction illicite de son cours devant sa classe, et qu'il avait été diffusé sans son autorisation. M. Lopez réclamait que lui soit reconnu le statut de "coauteur de l'œuvre audiovisuelle Etre et avoir", et que des dommages et intérêts lui soient versés en raison des "actes de contrefaçon" commis à son préjudice et de la méconnaissance de ses "droits à l'image, au nom et à la voix".
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Scènes de crise à Matignon
La chose est rare à Matignon, mais Dominique de Villepin a maigri. "L'effet du stress sur un tempérament exalté", diagnostique l'un de ses ministres, faussement compatissant. La conséquence mécanique d'un petit phénomène politique aussi : depuis le 16 janvier où il a annoncé la création du contrat première embauche (CPE), quelques heures seulement après en avoir informé patronat et syndicat, le premier ministre "mange" littéralement du CPE matin, midi et soir. Il argumente en faveur de sa réforme au petit déjeuner avec les barons de sa majorité, à midi avec des chefs d'entreprise, plaide encore à l'heure de l'apéritif devant la presse après avoir tenté des goûters avec des associations de jeunes. Et manifestement, cela ne nourrit pas son homme.[…] Il y a, comme souvent chez Villepin, ce très curieux dosage d'agressivité, de trivialité de l'expression, d'élégance du geste et d'abstraction du message. Mais enfin, le premier ministre y met toute son énergie. Pourquoi avoir enchaîné le CPE, réservé aux moins de 26 ans, juste après le contrat nouvelle embauche (CNE), qui propose les mêmes conditions - une période d'essai pouvant aller jusqu'à deux ans et un licenciement sans justification obligatoire - mais seulement pour les entreprises de moins de 20 salariés ? "J'ai pensé que la Valda passerait mieux avec le CPE qu'avec le contrat unique", estimant que cette solution, prônée par le Medef et Nicolas Sarkozy, aurait été vécue comme une attaque frontale par les syndicats. Plus que jamais, il reste certain d'avoir raison.
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Le Nouvel Obs permanent du 29/03/06
Villepin dit "démission"
au lieu de "décision"
"Attendons le conseil constitutionnel qui prendra sa démission demain", a indiqué le Premier ministre à l'Assemblée, mercredi. Ce lapsus a provoqué l'hilarité de l'opposition.
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L’Express Quotidien du 29/03/06
"Mais que veulent les Français?"
Au lendemain de manifestations monstres, la mobilisation anti-CPE continue de faire parler d'elle dans les médias étrangers. Extraits
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Une sélection dans les dépêches du 29/03/06
Manifestation anti-CPE: un mois ferme pour un jeune d'un service d'ordre
Un jeune homme de 22 ans, membre du service d'ordre d'un collectif d'étudiants lors de la manifestation de mardi à Dijon, a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel à un mois de prison ferme avec mandat de dépôt pour des violences sur des forces de l'ordre.
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CPE: Chérèque (CFDT) "craint que le gouvernement joue la montre"
Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, a déclaré "craindre que le gouvernement (ne) joue la montre" en espérant que les "vacances scolaires ne noient la mobilisation", anti cpe mercredi sur France Culture. "Je crains que le gouvernement joue la montre. Il sait qu'il y a une période de vacances scolaires donc je crains qu'il se dise: encore une manifestation de plus et après les vacances noieront la mobilisation", a indiqué M. Chérèque.
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A Grasse, des slogans d'écoliers jugés politiquement incorrects
"Non à la guerre", "ne tuez pas les animaux": les slogans "pour un monde meilleur", rédigés par des élèves de Grasse dans le cadre d'un projet pédagogique, ont provoqué l'indignation de trois députés UMP des Alpes-Maritimes qui dénoncent une action destinée à sensibiliser les enfants "au thème de la revendication".
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CPE: plus d'autre choix que de retirer le texte, selon M. Rocard
L'ancien Premier ministre Michel Rocard (PS) a jugé que Dominique de Villepin n'avait plus d'autre choix que d'annoncer une rediscussion de la loi sur le CPE, "ce qui revient à la retirer pour en faire une autre", a-t-il déclaré dans une interview publiée jeudi par le quotidien La Provence. "Je m'étonne qu'il n'ait pas compris que nous sommes passés du terrain du droit du travail au terrain symbolique. Ce qu'une bonne majorité de Français refuse, c'est que la précarité du travail soit inscrite dans le droit, ce qui est le cas du CPE. Villepin n'a plus le choix. Il faut annoncer que l'on rediscutera la loi, ce qui revient à la retirer pour en faire une autre", a-t-il dit.
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Déblocage lycées: Robien "ministre de la provocation", pour le Sgen-CFDT
Le Sgen-CFDT a qualifié mercredi Gilles de Robien de "ministre de la provocation" après que le ministre de l'Education eut donné la consigne de rouvrir les lycées bloqués.
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Pour en savoir plus
L’indispensable café pédagogique
Le site de VousNousIls (Rubrique dépêches de l’éducation AFP)
La maison des enseignants
Les dépêches AFP-Éducation sur le site Voila.fr
Le site Yahoo Actualités, rubrique éducation
mercredi, mars 29, 2006
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