jeudi, novembre 18, 2010

Revue de presse du jeudi 18 novembre 2010




Pour ou contre les notes ? Un débat très français - Quelques réflexions autour de l’évaluation – Philosopher dès la seconde (et même avant…) -

Pour ou contre les notes ? Un débat très français
Vingt personnalités ont publié jeudi dans le Nouvel Observateur une tribune pour la suppression des notes à l'école élémentaire. C’est à l’initiative de l'Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev) qui a également lancé une pétition sur le sujet . En tout cas, si l’Afev voulait faire du bruit avec cette pétition, c’est réussi. Car, cette proposition suscite de nombreux articles et des réactions qui font de ce sujet un débat dont la France a le secret . C’est-à-dire malheureusement souvent un débat mal posé, reposant sur des approximations et des caricatures et où les 62 millions de “spécialistes de l’école” que sont les Français expriment surtout une vision nostalgique et biaisée de l’École. Il suffit de lire les commentaires publiés sous les articles consacrés à ce sujet sur Internet.
Interrogé sur ce sujet, Luc Chatel, a écarté l’idée de supprimer les notes à l’école élémentaire, estimant que la note peut «être utile» et rappelant que les élèves sont aussi évalués en fonction de l’acquisition des «connaissances» et des «compétences». Personne ne lui a dit à M.Chatel......qu'en théorie les notes dans le primaire ont déjà été remplacées dans les textes officiels signés par ses prédécesseurs par le livret de compétences ?
Car le débat “Pour ou contre la note ?” semble en fait un peu dépassé. D’abord parce que, dans les faits, il y a aujourd’hui peu d’enseignants du primaire qui continuent à donner des notes. Et ensuite parce que derrière ce débat, il y a surtout la question (posée d’ailleurs par les signataires de l’appel) de savoir comment faire réussir tous les élèves et desserrer la pression sur les élèves. Pour sortir de la culture de la note qui imprègne tout le système scolaire français.

Quelques réflexions autour de l’évaluation
Cela dit, grâce à ce débat, il est bon de rappeler que l’évaluation ne se résume pas à la notation et qu’il y a matière à un vrai débat pédagogique (et donc politique).
Si on fait un tout petit peu d'histoire, il faut rappeler que la note chiffrée a été instituée par un arrêté du 5 juin 1890. Ce qui signifie que durant une bonne partie du 19eme siècle, il n'y avait pas de notes et notamment au baccalauréat (le jury, après un oral, décidait si vous étiez reçu avec un système de boules blanches, rouges et noires). Si on a institué cette note chiffrée, c’était essentiellement dans la perspective des concours (grandes écoles, concours administratifs, …). Car la note chiffrée permet le classement et la sélection si chère à la méritocratie et l’élitisme républicain. Et c’est cette dimension de l’évaluation fondée sur une logique de la sélection et du classement qui imprime durablement notre culture française.
Cette histoire de suppression de notes n’est pas nouvelle. Dans un colloque qui se tenait à Amiens du 15 au 17 mars 1968 (eh oui, avant Mai…), une bande de gauchistes (des inspecteurs généraux, des recteurs,…) avec à leur tête un dangereux leader pédagogiste appelé Alain Peyrefitte (ministre de l’éducation nationale à ce moment là) le proposait déjà. Dans la déclaration finale du 17 mars 1968, les membres du colloque, " profondément troublés par l’inadaptation d’un système éducatif hérité du XIX°siècle " s’accordent sur " l’urgence d’une rénovation éducative aussi bien que pédagogique qui ne saurait être différée sans risques de sérieuses tensions psychologiques, économiques et sociales ".Et cette rénovation passe notamment par l’abandon de la note. Car disent-ils « les études docimologiques [étude statistique de la notation –NDR] dont l'origine est antérieure à 1930 et qui se sont multipliés dans les 20 dernières années ne laissent aucun doute sur le caractère illusoire d'un tel raffinement dans la précision de la note et du classement obtenu»
Incidemment, mais ce n’est pas notre sujet (quoique…), ces dangereux excités recommandent tout particulièrement "l’institution, auprès de chaque Académie, d’un centre Universitaire de Formation et de Recherche en éducation, et deux années de formation professionnelle pour tous les futurs enseignants ".
La circulaire du 6 janvier 1969 signée Edgar Faure, alors Ministre de l'Education Nationale (qu’on imagine mal pourtant en pédago chevelu…) indique : « La notation chiffrée de 0 à 20 peut être abandonnée sans regret. Une échelle convenue d'appréciation, libérée d'une minutie excessive, sera moins prétentieuse. En indiquant la zone dans laquelle l'élève se situe, on cerne déjà la réalité d'assez près, on évite de multiplier systématiquement des différences qui ne seraient pas confirmées par d'autres correcteurs, ni par le même correcteur à une autre époque. [...] Il sera bien entendu utile à l'élève que cette appréciation globale s'accompagne d'annotations plus détaillées, concernant par exemple, l'orthographe, l'ordre, le vocabulaire, la syntaxe, la précision, l'habileté, les facultés de raisonnement, l'invention, le sens artistique, etc. . Malheureusement, le génie français est fait en grande partie de résistance au changement et de force d’inertie. Le 9 juillet 1971 les notes sur 20 sont à nouveau prônées dans les classes qui comportent un examen.
Depuis, la réflexion sur l’évaluation a progressé notamment avec l’instauration du socle commun qui demande de travailler par compétences (et pas seulement d’évaluer par…) et par les comparaisons internationales qui montrent que notre système très sélectif produit de l’échec scolaire et reproduit les inégalités. A côté d’une évaluation fondée sur une logique de sélection (et qui garde sa nécessité dans certains niveaux de classe) se met en place une évaluation qui soit réellement au service des apprentissages. Une évaluation destinée à permettre à l’élève de se situer avant tout par rapport à lui même et aux objectifs fixés plus que par rapport aux autres. Et cela ne passe pas forcément par une note chiffrée…
La sélection viendra bien assez tôt…

Philosopher dès la seconde (et même avant…)
«Avec le président de la République, nous avons décidé de renforcer l’enseignement de la philosophie» et d’«expérimenter un enseignement plus tôt, en seconde et en première», a déclaré Luc Chatel à la presse, à l’issue de l’ouverture de la journée mondiale de la philosophie organisée à Paris par l’Unesco.«L’enseignement de l’Éducation civique, juridique et sociale (ECJS) des classes de seconde et première sera notamment ouvert aux professeurs de philosophie, qui pourront ainsi aborder les notions au programme sous un angle spécifiquement philosophique», explique le ministère. Exemple: la citoyenneté, les droits et devoirs...
Le ministère va donc lancer une expérimentation nationale auprès d’établissements volontaires pour aborder la philosophie en seconde et en première, d’une part au travers des «enseignements d’exploration» (deux modules obligatoires au choix) et de l’accompagnement personnalisé (deux heures par semaine). Les professeurs de philosophie pourront aussi «intervenir de manière ciblée au sein des cours d’autres disciplines pour en éclairer la portée philosophique», précise un communiqué du ministère.C’est L'Inspection générale de qui a été chargée d'élaborer le cahier des charges de cette nouvelle expérimentation. Un appel à projets sera diffusé en janvier 2011 auprès des lycées français. Reste à savoir si cela aboutira sur une généralisation de l'expérimentation en 2012.
Comme le rappelle Le Figaro, l'idée d'un apprentissage dès la classe de première, voire de seconde, les associations de professeurs de philosophie la portent depuis longtemps et l'ont souvent présentée aux pouvoirs publics sans résultat. Citons par exemple notre ami Michel Tozzi qui défend cette position depuis longtemps . C’est aussi le cas de Michel Onfray "Je me bats depuis longtemps pour que la philosophie soit enseignée dès la primaire. Je trouve que l'instaurer en seconde, c'est une excellente initiative, il faudrait ensuite le faire au collège, en primaire, en maternelle", a-t-il déclaré à l'AFP. On trouve aussi quelques opposants à cette mesure comme Fabrice Guillaumie, prof de philo à Bergerac en Dordogne qui considère dans Le Monde que c’est prématuré et qu’il ne faut pas confondre “philosophie” et “éveil existentiel”. On voit bien que la question n’est pas seulement celle de l’âge mais aussi et surtout celle de la pédagogie de cet enseignement (qui a très peu évolué) "Bien sûr, il faut penser l'enseignement de la philo autrement. On ne fait pas de la philosophie en seconde comme en ter­mi­nale. Il fau­drait proposer aux enseignants de travailler de manière transver­sale avec des profs d'histoire, de sciences ou d'autres pour établir des thématiques, arrêter des oeuvres", a ainsi poursuivi Michel Onfraydans cette interview à l’AFP .
Au delà du cercle des philosophes, on trouve aussi des réactions d’autres enseignants. Certains sont très méfiants et voient surtout dans cette annonce un moyen d’occuper les profs de philo en surnombre ( ?). D’autres s’interrogent sur l’accumulation des options et des heures de classe. Ce qui est frappant, c’est de voir à quel point n’importe quelle annonce aujourd’hui est regardée d’abord sous l’angle de la méfiance et en cherchant d’abord l’entourloupe cachée derrière. Cela en dit long surtout sur la relation de confiance rompue entre les enseignants et leur ministre.

Bonne Lecture...
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Libération.fr du 18/11/10 (certains articles payants)


La philo enseignée en seconde à la rentrée prochaine
Dans le cadre de la réforme du lycée, le ministre de l'Education lance une expérimentation en ce sens auprès d’établissements volontaires.
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Luc Chatel contre la disparition des notes à l’école
Vingt personnalités, dont Boris Cyrulnik, Daniel Pennac ou Marcel Rufo, ont rejoint un appel pour réclamer la suppression des notes à l’école élémentaire.
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Le Figaro du 18/11/10


Une initiation à la philosophie envisagée en seconde
Ces cours, qui resteront expérimentaux, dépendront des projets d'établissement.
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Le Monde.fr (certains articles payants) du 18/11/10



"La mise à l'écart des élèves perturbateurs est inefficace"
Maria Ines, éducatrice à la protection judiciaire de la jeunesse, secrétaire nationale du SNPES-PJJ
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"Il est prématuré d'enseigner la philosophie dès la seconde"
Le ministre de l'éducation nationale, Luc Chatel, a annoncé jeudi l'expérimentation de l'enseignement de la philosophie dès la classe de seconde. Une proposition "surprenante" pour Fabrice Guillaumie, professeur de philosophie au lycée Maine-de-Biran à Bergerac (Dordogne). Pour lui, la philosophie enseignée aux plus jeunes peut susciter un "éveil existentiel" mais ne doit pas se faire au détriment de la discipline philosophique traditionnelle.
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"La philosophie, une formation essentielle contre la propagande et la désinformation"
Dans un chat sur lemonde.fr, Roger-Pol Droit, normalien et agrégé de philosophie, estime qu'initier à sa discipline permet "de donner à tous les citoyens la possibilité de former leur jugement".
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Au lycée, la discipline de Descartes pourrait s'inviter dès la classe de seconde
Chaque année, le faible niveau d'un grand nombre de copies de philosophie au baccalauréat repose la même question : la France peut-elle continuer à ne faire une place à cette discipline qu'en dernière année de lycée ou doit-elle s'aligner sur l'Italie qui l'aborde bien plus tôt ? A l'occasion de la Journée mondiale de la philosophie, jeudi 18 novembre, le ministre de l'éducation, Luc Chatel, devait proposer différentes expérimentations d'introduction de cette matière – au compte-gouttes, il est vrai –, en classe de 2de et de 1re, à la rentrée 2011.

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L'enseignement de la philosophie en seconde expérimenté à la rentrée 2011
L'enseignement de la philosophie va être expérimenté au niveau national dès la classe de seconde à partir de la rentrée 2011, a annoncé, jeudi 18 novembre, le ministre de l'éducation nationale, Luc Chatel.
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Réinsertion scolaire : chronique d'un échec annoncé (édition abonnés)
Les cours ont repris. Les élèves du collège Volney, à Craon (Mayenne) ont retrouvé leurs salles de classe, jeudi 18 novembre. Leurs parents, réunis la veille avec le recteur de l'académie de Nantes, ont demandé que leurs enfants "recommencent à travailler dans le calme et la sérénité". Et leurs enseignants ont mis fin au droit de retrait qu'ils observaient depuis le 9 novembre. Ce jour-là, de violentes altercations avaient opposé des élèves du collège Volney à d'autres adolescents, tout juste arrivés de Seine-Saint-Denis pour inaugurer l'établissement de réinsertion scolaire (ERS) - installé au sein du collège Volney, où un internat désaffecté était disponible.
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Luc Chatel écarte l'idée de supprimer les notes à l'école élémentaire
Le ministre de l'éducation nationale Luc Chatel a écarté l'idée de supprimer les notes à l'école élémentaire, estimant que la note peut "être utile" et rappelant que les élèves sont aussi évalués en fonction de l'acquisition des "connaissances" et des "compétences".
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L’Humanité du 18/11/10



Tableau très noir pour les jeunes profs
Des centaines de jeunes enseignants, privés de formation depuis la dernière rentrée, se sont rassemblés hier, à l’appel du collectif "Stagiaire impossible", devant le rectoral de Créteil. Témoignages.
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Un jeune s’immole dans son lycée
Sauvé in extremis par un camarade, il se trouvait hier après-midi dans un état critique.
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Le Parisien (certains articles payants) du 18/11/10



Site inaccessible…


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France Soir du 18/11/10



La philosophie entre en seconde
Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, a annoncé ce jeudi que l'enseignement de la philosophie sera expérimentée à l'échelle nationale en classe de seconde dès la rentrée 2011.
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La Croix du 18/11/10



La philosophie à petits pas
Grâce aux ateliers philo proposés dans les écoles, la philosophie pour enfants se développe, confiante dans la capacité des petits à explorer les questions qui les habitent.
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Les échos (certains articles payants) du 18/11/10



L'enseignement de la philosophie expérimenté dès la seconde à la rentrée 2011
L'enseignement de la philosophie va être expérimenté au niveau national dès la classe de seconde à partir de la rentrée 2011, a annoncé jeudi le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.
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Chatel veut étendre l'enseignement de la philosophie à la seconde et la première
Le ministre de l'Education propose d'introduire des cours de philosophie à titre expérimental dans des lycées volontaires. Une idée plutôt bien accueillie. D'autant qu'elle ne coûterait rien, les enseignants de cette matière étant en surnombre.
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Le pari difficile du doublement des effectifs de l'alternance
Les mesures d'urgence pendant la crise ont permis de stabiliser les effectifs en alternance. Leur développement est suspendu, entre autres, aux aides de l'Etat.
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20 minutes du 18/11/10



Tentative de suicide par immolation: «Du désespoir, de la révolte et le désir de la rendre visible»
Pourquoi choisir ce moyen si violent de mettre fin à ses jours?...
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Ados et jeux vidéo, des liaisons pas si dangereuses
Une étude souligne que les jeunes joueurs ont une consommation plutôt raisonnée des jeux...
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De la philo en seconde dès la rentrée prochaine
Luc Chatel a annoncé une expérimentation à partir de 2011...
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Rue89 du 18/11/10



Supprimer les notes en primaire : néfaste ou épanouissant ?
Le système scolaire français fondé sur la notation est remis en cause. En Scandinavie, c'est un vieux débat. Des riverains racontent.
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Ouest-France du 18/11/10



La philosophie expérimentée dès la seconde à la rentrée 2011
L'enseignement de la philosophie va être expérimenté au niveau national dès la classe de seconde à partir de la rentrée 2011, a annoncé jeudi le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.
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Élèves perturbateurs : une réinsertion discutée
Ils sont accueillis dans des Établissements de réinsertion scolaire. Celui de Craon a connu des difficultésqui s'apaisent. Celui de Portbail attend le retour de ses élèves. Présentation de ces internats nouveaux.
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Le Journal du Dimanche du 18/11/10



La philo dès la seconde?
L'enseignement de la philosophie sera expérimenté dès la classe de seconde à partir de la rentrée 2011, a indiqué le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, jeudi, lors de la journée mondiale de la philosophie organisée à Paris. Un appel à projets, sur la base du volontariat, sera diffusé dès janvier auprès des lycées français.
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Ecole: Les notes en débat
Vingt personnalités ont publié jeudi dans le Nouvel Observateur une tribune pour la suppression des notes à l'école élémentaire. Le système actuel de notation "stigmatise" les élèves, explique l'Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev) qui a lancé une pétition sur le sujet. Mais si les signataires sont nombreux, les détracteurs se font également entendre.
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"La philosophie enseigne la différence"
A l’occasion de la Journée mondiale organisée par l’Unesco, Souleymane Bachir Diagne, professeur à Columbia, estime que l’esprit critique aide à mieux vivre la mondialisation.
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Le malaise du novice chez les instits
Depuis les vacances de la Toussaint, des milliers d’instituteurs, tout juste lauréats du concours, sont lâchés en solo devant les élèves. Sans réelle formation…
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Le Nouvel Obs Permanent du 18/11/10


L'appel pour la suppression des notes à l'école primaire
Voici le texte de l'Appel de l'Association de la fondation étudiante pour la ville (AFEV) pour la suppression des notes à l'école élémentaire :
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Les notes à l'école, pour quoi faire ?
Le Nouvel Observateur de cette semaine se penche sur ce système d'évaluation dont la remise en question dans le primaire s'impose. Des voix s'élèvent pour demander sa suppression. Trop sélectif, décourageant les élèves les plus fragiles, il produit l'échec.
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Chatel écarte l'idée de supprimer les notes à l'école élémentaire
"Il ne faut pas voir la note comme l'échec", a estimé le ministre de l'Education nationale alors que vingt personnalités ont rejoint l'appel lancé par l'Afev pour demander leur suppression.
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L’Express.fr du 18/11/10


Luc Chatel vante le système de notation
L'association l'Afev a lancé un appel national à la suppression des notes à l'école élémentaire pour éviter une sélection des élèves par l'échec. Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, s'y oppose.
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La philo expérimentée dès la seconde
Luc Chatel, ministre de l'Education, entend renforcer l'enseignement de la philosophie via un accompagnement personnalisé.
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Le Café Pédagogique du 18/11/10


Concurrence mensongère
"Cachez cet élève que je ne saurai voir !" C'est pratiquement ce que font les chefs d'établissement anglais, si on en croit une commission parlementaire anglaise. Selon le Guardian, la commission a recueilli des témoignages qui établissent que les classes les plus difficiles sont camouflées lors des visites d'inspection
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Freinet redouble
Freinet est bien vivant et il l'a montré à Paris le 17 novembre, où l'ICEM organisait le second Salon Freinet parisien. Près de 400 enseignants ont participé à une journée d'ateliers et de débats. Parmi eux de nombreux jeunes.
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Médiapart (accès payant) du 18/11/10


Education: 40.000 postes supprimés mais pas d'économie
Depuis 2008, 40.700 postes ont été supprimés dans l'éducation nationale. 16.000 autres suppressions ont été actées lundi lors du budget 2011 adopté par l'Assemblée. Or la Cour des comptes révèle qu'en 2009, l'économie nette induite par ces suppressions n'a été que de 138 millions d'euros.
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Slate.fr du 18/11/10



Rien vu...


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ÉducPros du 18/11/10


Portraits d’universitaires dans tous leurs états
« Les universitaires, ne craignons pas de le dire d’emblée, font un métier de princes… », c’est par ces mots que débute le livre d’André Cabanis et Michel Louis Martin : l’universitaire dans tous ses états (Klincksieck, septembre 2010).
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Hélène Périvier, économiste (Sciences po - OFCE) : « Avec PRESAGE, c’est la première fois qu’une institution s’engage sur la question du genre »
Lancé en 2010 conjointement par Sciences po Paris et l’OFCE, le Programme de recherche et d’enseignement des savoirs sur le genre (PRESAGE) veut aborder cette question de manière pluridisciplinaire et toucher l’ensemble des activités de l’établissement de la rue Saint-Guillaume. Interview d’Hélène Périvier, économiste à l’OFCE, codirectrice du programme avec Françoise Milewski.
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VousNousIls du 18/11/10



La philo en seconde : "une excellente initiative" selon Michel Onfray
Le philosophe Michel Onfray a jugé jeudi "excellente" l'initiative du gouvernement d'expérimenter l'enseignement de la philosophie dès la seconde à la rentrée 2011.
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