vendredi, novembre 19, 2010

Revue de presse du vendredi 19 novembre 2010




Évaluer sans fausses notes…- L’évaluation, une question très politique…-


Évaluer sans fausses notes…
La presse s’est emparée de ce débat et pas un journal (écrit, radio, télévisé,…) qui ne propose un reportage et des confrontations sur ce sujet. Malheureusement, c’est la loi de l’actualité, dans quelques jours, on sera passé à autre chose. Et aura t-on véritablement avancé sur le sujet ? Et on peut même craindre a contrario qu’il l’ait fait régresser…
Cela fait maintenant plus de sept ans que j’observe et tente d’analyser ce que dit la Presse (et l’opinion) sur l’École. Je ne prétends pas être un expert (je dis souvent que je suis “spécialiste en tout et expert en rien” ou l’inverse) mais le recul permet de constater quelques invariants. Et d’abord, noter ( !) la méconnaissance assez grande que l’on a de l’actualité et du fonctionnement de l’école dans l’opinion en général et dans la presse en particulier. Peu de journalistes spécialisés dans le domaine de l’éducation (il y en a cependant de très bons, ils se reconnaitront) et un turn over important chez les détenteurs de cette rubrique. De plus, l’éducation est (comme beaucoup d’autres sujets) traitée sur le principe de l’agenda ou du marronnier : on s’y intéresse à certaines périodes de l’année (rentrée, bac,…) et on approfondit peu ensuite en dehors de ces rendez vous. Sauf si on voit surgir un débat médiatique.
Mais le problème de ce type de débat est qu’il est souvent biaisé. La question des notes à l’école fait aujourd’hui sourire (ou frémir, c’est selon) de nombreux professeurs des écoles. Car ce débat est largement dépassé, comme je le soulignais hier et témoigne surtout d’une grande méconnaissance des textes qui encadrent cette question (socle commun, livret de compétences,…) . Et dont peu de journaux ont pris la peine de rappeler les enjeux. Du coup, on tombe bien souvent dans une sorte de faux débat où toutes les opinions se valent et les arguments échangés sont très pauvres.
Car, c’est une autre constante des débats sur l’école, il y a en France, 62 millions de spécialistes de l’École. Car on est, on a tous été concerné par l’École. Mais cela ne fait pas pour autant des usagers (qui ont bien sûr le droit de donner leur avis) des experts. Or, tout se passe comme si toutes les paroles se valaient et si les questions pédagogiques et éducatives n’étaient que des questions de “bon sens” teintées de nostalgie et d’une vison mythifiée de l’école d’antan, en déniant l’existence même d’une parole experte. On voit cela assez bien avec toute la raillerie autour de ce qui est qualifié de “jargon pédagogique”. Comme si les enseignants étaient les seuls professionnels à qui on retirait le droit d’avoir un vocabulaire technique et spécialisé. Mais il est vrai que par ailleurs on a validé le fait qu’ils n’avaient pas besoin de formation pour enseigner puisqu’il suffit d’avoir la “vocation”. Mais je m’égare…

L’évaluation, un problème très politique…
Comme tout débat, le débat actuel sur la note au primaire cristallise un grand nombre de valeurs et de représentations de l’École. Et si on opère un petit pas de côté, et qu’on s’éloigne du débat proprement, dit qui est bien mal engagé je le répète, on peut mettre à jour plusieurs angles morts intéressants.
A commencer par la question de la liberté pédagogique des enseignants«La France est l’un des rares pays où les enseignants sont libres dans leur façon de noter, explique Nathalie Mons, spécialiste des politiques éducativesdans une interview à Libération Ailleurs, dans les années 70 et 80, les pays ont encadré les notations, imposé des principes de notation et souvent interdit les notes dans le primaire au profit d’évaluations littéraires. Avec le retour de la droite, certains sont revenus aux notes. Nous, nous avons gardé des notations de travaux écrits individuels. On est resté à un certain conservatisme, les enseignants manquant de formation pour faire autre chose.». Alors qu’initialement cette liberté pédagogique a été celle qui a permis à des innovateurs de faire bouger l’École, elle est aujourd’hui de plus en plus “la liberté de ne rien changer”.
Soulignons aussi que cette question de la note et la virulence du débat sont aussi le révélateur des angoisses des parents (et donc aussi de leurs enfants) par rapport à la réussite scolaire et la crainte du chômage
Car il y a aussi un autre impensé de la notation : la question de l’échec scolaire. Dans beaucoup de commentaires, la question de l’évaluation est posée sans celle de sa finalité. Ou plutôt la note est souvent présentée comme une fatalité et une fin en soi : on note parce qu’il faut noter, que ça permet de classer et c’est tout. Alors que si on considère l’évaluation comme un diagnostic, il faut ensuite, comme chez le médecin, se préoccuper des remèdes ! En d’autres termes, l’évaluation (notée ou non) doit être le moyen de repérer les difficultés des élèves et d’y trouver des solutions, d’y apporter des aides. C’est le sens d’une évaluation au service des apprentissages. Encore faut-il être convaincu qu’on peut agir.
Car, c’est là le point le plus important, le débat sur la notation nous révèle aussi que pour beaucoup, il est normal que l’école sélectionne et dès le plus jeune âge. Il y a des “bons”, des “moyens” et des “mauvais”, c’est ainsi… On entend même dans un certain nombre de réactions que ces différences sont innées (on est “doué” ou on ne l’est pas) ou au mieux le résultat d’un manque de travail (“quand on veut on peut”). Il y a une sorte de naturalisation de l’échec qui oublie les inégalités et les déterminismes sociaux. L’idée qu’une des missions de l’école soit de faire réussir tout le monde apparaît alors comme complètement incongrue pour une bonne partie de l’opinion. Et ceux qui prônent cela sont taxés alors d’utopistes et de doux rêveurs. Alors qu’il ne s’agit pas de tout révolutionner mais simplement de remettre à sa place l’une des fonctions de l’école qui est de sélectionner mais de ne pas lui donner tout l’espace. Comme nous le disions hier, la sélection arrivera bien assez tôt. Avant cela, préoccupons nous de l’efficacité des apprentissages et dotons nous d’une évaluation qui permette à chacun de progresser et d’apprendre. Et sans considérer que le seul facteur de motivation (ou même de coercition) et de l’envie d’apprendre est l’obtention d’une note. Et cela passe aussi par une évolution de la pédagogie. Mais y est-on prêt ? C’est d’ailleurs peut-être le blocage inconscient le plus fort dans le débat.
Le système d’évaluation est finalement à l’image de la société française (lire à ce sujet le très bon éditorial de Joffrin dans Libération). Une société, dure avec ses membres, profondément inégalitaire et élitiste et sans véritable réflexion sur les moyens de réduire ces inégalités. Avec une conception très libérale d’un individu calculateur et une vision individualiste de la réussite et de l’échec. Finalement, rien de plus politique que la pédagogie….

Bonne Lecture...
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Libération.fr du 19/11/10 (certains articles payants)


Appel pour la suppression des notes
L’appel est signé par 20 personnalités : Marcel Rufo, Axel Kahn, François Dubet, Eric Debarbieux, Jacques Donzelot, Eric Maurin, Pascal Bavoux, Patrice (et pas Pascal ! NDR) Bride, Nicole Catheline, Boris Cyrulnik, Agnès Florin, Aziz Jellab, Pierre Merle, Louis Maurin, Jean-Marie Petitclerc, Paul Robert, Thomas Sauvadet, Richard Descoings, Michel Rocard, Daniel Pennac.
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Les notes n’ont plus la cote
Vingt personnalités ont signé un appel pour la suppression du système de notation à l’école primaire, qui angoisse les élèves en difficulté.
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«Un système qui décourage, exclut»
Axel Kahn. généticien, président de l’université Paris-Descartes
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«Une proposition dérisoire»
Alain Bentolila. linguiste, professeur à l’université Paris-Descartes
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En Suède, le débat sur l’âge du bulletin est rouvert
Un projet de loi polémique propose d’avancer, de 15 à 13 ans, le moment des premières notes.
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Système élitiste
Inutile de faire un sondage. On entend d’ici la réaction d’une grande majorité de l’opinion à l’idée de supprimer la notation à l’école primaire. Quoi ? Encore une invention des laxistes conjurés, une proposition farfelue de la gauche pédagogique la plus niveleuse, un faux-semblant qui voudrait supprimer toute compétition à l’école alors même que la concurrence est l’aiguillon du travail et que le carnet de notes reste le messager fragile qui relie les parents à la vie scolaire de leur progéniture. Fort bien. Mais tentons d’aller au-delà de cette réaction instinctive et compréhensible. Premier indice : les pays les moins élitistes à l’école ne sont pas ceux qui obtiennent les plus mauvais résultats, au contraire ; les mauvaises notes précoces - c’est un fait - découragent plus qu’elles ne motivent une grande partie des élèves, jusqu’à inculquer un sentiment d’humiliation dès le plus jeune âge, qui se change vite en retrait de la vie scolaire ou en révolte violente ; l’élitisme républicain, dont le principe est excellent mais l’application contestable, n’a pas empêché que l’inégalité des chances entre les classes sociales s’aggrave en France au lieu de se résorber. Ce sont là constatations vérifiables, plus solides que les préjugés croisés qui font trop souvent la trame du débat entre «pédagos» et «conservateurs». L’appel à la suppression des notes - qui restera dans l’immédiat lettre morte - a donc cette vertu : obliger la France à réfléchir sur un système scolaire ultrasélectif et qui garde la triste habitude de préférer la sanction de l’échec à la valorisation du succès, serait-il partiel ou insuffisant.
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Quand Facebook est utilisé contre des lycéens
On connaissait les employés virés pour avoir critiqué leur patron ou dénigré leur entreprise sur leurs messageries ou sur les réseaux sociaux. Maintenant, voilà les lycéens exclus pour avoir fait des déclarations incendiaires sur Facebook ou pour avoir appelé puis participé à des blocages. Les 8 et 9 novembre, dix élèves du lycée Galilée de Combs-la-Ville (Seine-et-Marne), théâtre d’incidents durant le mouvement contre la réforme des retraites, ont été renvoyés deux jours, accusés d’avoir été des «meneurs» sur la foi, notamment, de leurs écrits sur Facebook. La proviseure les avait imprimés et a constitué un dossier prouvant qu’ils étaient de dangereux agitateurs, l’un d’eux ayant même proposé de «mettre un bus devant le lycée» (pour le bloquer). Ajoutées à cela, les photos des élèves bloqueurs, debout sur des poubelles, prises par le personnel de l’établissement. Cette histoire, où Facebook fournit des preuves à charge, est loin d’être un cas isolé. Des lycéens, et même des collégiens, ont été menacés de sanctions, voire ont été exclus, pour s’être lâchés sur le réseau.
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Notre histoire a besoin d’un lieu Par JEAN-PIERRE RIOUX Inspecteur général honoraire de l’Education nationale
L’histoire de la France ne relève pas d’un déterminisme naturel, matériel ou spirituel, d’une vision téléologique, idéologique ou officielle du temps passé et à venir. Elle n’est pas la propriété exclusive des historiens de métier, seulement leur champ opératoire. Qu’on la tienne pour un héritage, une promesse, un affrontement ou une mise en commun, cette histoire mérite surtout, en ce début si troublé du XXIe siècle, d’être connue par tous ceux, Français et étrangers, qui peuplent, habitent et visitent aujourd’hui notre finistère du continent européen et son Outre-Mer ; par tous ceux aussi qui, en Europe et dans le monde, veulent approcher ses héritages et ses promesses civiques, culturelles et linguistiques.
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Le musée de l’Histoire de France existe déjà Par GUY PUTFIN Ancien secrétaire général du Syndicat national des affaires culturelles (Fédération de l’Éducation nationale devenue Unsa-Éducation)
Le président Sarkozy a annoncé, le 18 janvier 2009, à Nîmes, qu’il allait créer un musée de l’Histoire de France. Sans doute ignorait-il qu’il y en avait déjà un, aux Archives nationales !
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Le Figaro du 19/11/10


Une initiation à la philosophie envisagée en seconde
Ces cours, qui resteront expérimentaux, dépendront des projets d'établissement.
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Le Monde.fr (certains articles payants) du 19/11/10



"La Maison de l'histoire de France n'est pas un brûlot de propagande"
DANS UN CHAT SUR LEMONDE.FR, FRÉDÉRIC MITTERRAND, MINISTRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION, ASSURE QUE LA MAISON DE L'HISTOIRE DE FRANCE "NE RELÈVE PAS DU DÉFUNT DÉBAT SUR L'IDENTITÉ NATIONALE"
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"Les notes conservent toujours un caractère approximatif"
Dans un chat sur LeMonde.fr, Philippe Meirieu, pédagogue et professeur des universités à Lyon-II, explique pourquoi il plaide pour "une pédagogie de la réussite" plutôt que pour "une pédagogie de la sanction".
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L’Humanité du 19/11/10



Les notes, symbole des inégalités ?
Dix-huit personnalités réclament la suppression de la notation à l’école.
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Le Parisien (certains articles payants) du 19/11/10



Chatel défend les notes à l'école primaire
Pas question de supprimer les bulletins de notes à l'école primaire. Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, a écarté jeudi cette idée lancée par l'Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev)
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Ils appellent à supprimer les notes à l'école élémentaire
La question n'est pas nouvelle, mais refait régulièrement surface : faut-il continuer à noter les élèves ? La réponse est clairement non pour vingt personnalités, parmi lesquelles Boris Cyrulnik, Daniel Pennac ou encore Michel Rocard, qui se sont jointes à l'appel lancé par l'Afev réclamant la suppression des notes à l'école élémentaire.
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Encore un élève en réinsertion exclu
Après les incidents survenus à Craon et Porbail, un nouvel établissement de réinsertion scolaire qui a ouvert le 4 novembre à Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne) connaît des déboires: un collégien de 14 ans a été renvoyé pour insultes dès le deuxième jour.
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Etes-vous favorable à la suppression des notes à l'école primaire ?
Vingt personnalités, dont Boris Cyrulnik, Daniel Pennac, Marcel Rufo, se sont jointes à l'appel solennel lancé pour la suppression des notes à l'école primaire. L'Afev, une association d'étudiants faisant du soutien scolaire, y dénonce une obsession du classement qui stigmatise des élèves, les enferme «dans une spirale d'échec» et «n'apporte en rien les clés d'une possible progression», «alors que la confiance en soi est indispensable à la réussite scolaire».
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France Soir du 19/11/10



A partir de quel âge faut-il commencer la philo ?
France-Soir a demandé a Raphaël Enthoven, Jean-Pierre Bellon et Pascaline Dogliani leur avis sur l'enseignement de la philosophie dès la seconde.
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La Croix du 19/11/10



Comment évaluer les élèves ?
Une pétition signée par plusieurs personnalités réclame la fin de la notation en primaire. Certains enseignants y ont déjà renoncé
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Carole Wiart : « Derrière la note, la pression de la réussite »
La notation a un poids « énorme » pour les enfants, estime Carole Wiart, qui reçoit plusieurs appels de parents à ce sujet dans le cadre d’Inter Service Parents
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La philosophie à petits pas
Grâce aux ateliers philo proposés dans les écoles, la philosophie pour enfants se développe, confiante dans la capacité des petits à explorer les questions qui les habitent
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Les échos (certains articles payants) du 19/11/10



L'enseignement de la philosophie expérimenté dès la seconde à la rentrée 2011
L'enseignement de la philosophie va être expérimenté au niveau national dès la classe de seconde à partir de la rentrée 2011, a annoncé jeudi le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.
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20 minutes du 19/11/10



Une seconde vie pour la philosophie
« Cogito ergo sum. » (« Je pense, donc je suis. ») Les élèves de seconde pourront bientôt s'initier à la pensée de Descartes. Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, a annoncé hier son souhait d'expérimenter la philosophie en amont de la classe de terminale dès l'an prochain, afin de laisser plus de temps aux élèves pour « aborder sereinement » cette matière. Cette initiation pourra s'effectuer dans le cadre des enseignements d'exploration, proposés depuis septembre en classe de seconde dans le cadre de la réforme du lycée. Les profs de philo pourront aussi intervenir de manière ciblée « dans les cours d'autres disciplines, en seconde comme en première », a précisé Luc Chatel. En cours de sciences de la vie et de la terre par exemple, les élèves pourront appréhender « l'étude de la nature et du vivant et sa dimension bioéthique », selon le ministre. Un appel à projets sera diffusé en janvier auprès des lycées. Ceux qui seront retenus seront mis en œuvre dès la rentrée 2011.
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Pas besoin de consoler les parents d'ados
Selon une étude parue hier, les jeunes de 12 à 17 ans auraient une pratique raisonnable
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Rue89 du 19/11/10



Supprimer les notes en primaire : néfaste ou épanouissant ?
Le système scolaire français fondé sur la notation est remis en cause. En Scandinavie, c'est un vieux débat. Des riverains racontent.
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Ouest-France du 19/11/10



Au lycée, bientôt philo pour tout le monde ?
Luc Chatel a proposé, hier, que les cours de philo réservés aux élèves de terminale s'ouvrent à ceux de seconde et de première. Ainsi, la France rattraperait son retard européen.
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Le Journal du Dimanche du 19/11/10



Ecole: Les notes en débat
Vingt personnalités ont publié jeudi dans le Nouvel Observateur une tribune pour la suppression des notes à l'école élémentaire. Le système actuel de notation "stigmatise" les élèves, explique l'Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev) qui a lancé une pétition sur le sujet. Mais si les signataires sont nombreux, les détracteurs se font également entendre. Le ministre de l'Education, lui, est plutôt contre.
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Le Nouvel Obs Permanent du 19/11/10


Les notes à l'école, pour quoi faire ?
Le Nouvel Observateur de cette semaine se penche sur ce système d'évaluation dont la remise en question dans le primaire s'impose. Des voix s'élèvent pour demander sa suppression. Trop sélectif, décourageant les élèves les plus fragiles, il produit l'échec.
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L’Express.fr du 19/11/10


Rien vu...


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Le Café Pédagogique du 19/11/10


Notes au primaire : Qu'en est-il chez nos voisins ?
Faut-il supprimer les notes dans l'enseignement primaire ? La question posée par l'AFEV lors des Journées du refus de l'échec scolaire, relayée par une vingtaine de personnalités, mérite analyse. Nathalie Mons Maître de conférences en sociologie à l’Université de Paris-Est-Marne-la-Vallée et chercheur au LATTS, est spécialisée dans l’analyse internationale des politiques éducatives. Elle a notamment participé en 2008 à un rapport « Responsabilités et autonomie des enseignants », pour la Commission européenne (réseau Eurydice) sur analysait les pratiques d’évaluation des enseignants. Suite à la pétition de l’AFEV, elle analyse, pour les lecteurs du Café, les pratiques françaises d’évaluation continue à la lumière des expériences étrangères et le débat à l’étranger sur l’évaluation numérique.
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Notes au primaire, un projet politique
Est-ce le bon moment pour lancer un débat sur la notation au primaire ?
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Médiapart (accès payant) du 19/11/10


Rien vu...


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Slate.fr du 19/11/10



Le tabou de l'illettrisme par Jean-François Copé
Il est impératif de refonder l'école pour revenir aux fondamentaux: qu'un élève entrant en sixième sache lire, écrire et compter.
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ÉducPros du 19/11/10


A quoi servent les sciences humaines et sociales ? Le billet de Michel Lussault
Michel Lussault poursuit sur son blog sa série de billets autour de la place des humanités dans la formation supérieure.
"On voit bien que tenter de répondre à l’interrogation sur l’employabilité des étudiants en SHS, c’est immédiatement, compte tenu de ce que sont les sciences humaines et sociales et de leur contribution à la constitution des cadres de références intellectuels des sociétés contemporaines, se projeter à un autre niveau de problèmes, celui de la finalité du système d’enseignement", écrit le président du PRES lyonnais, qui envisage quatre positions sur les SHS et leurs finalités, de l'érudition à l'utilitarisme.
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VousNousIls du 19/11/10



Des élèves et un principal à la plonge par manque de crédits dans un collège
Le principal d'un collège et des élèves volontaires ont dû se mettre à la plonge de leur établissement à Granville (Manche), l'enveloppe budgétaire consacrée au financement du personnel remplaçant étant épuisée, a-t-on appris vendredi auprès du principal.
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La médaille Fields des mathématiques rencontre des lycéens du 93 à Paris XIII
Ngo Bao Chau, un des deux Français ayant obtenu en août la médaille Fields, le "Nobel des mathématiques", est retourné vendredi à l'université Paris XIII à Villetaneuse, où il a fait une partie de ses recherches, pour échanger avec lycéens et étudiants.
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