Malgré la semaine chargée, les hedomadaires s’intéressent peu à l’éducation et à l’école. Parions qu’il n’en sera pas de même la semaine prochaine. On peut déjà voir les titres sur la « bonne surprise des lycéens » version Nouvel Obs ou l’ « école qui ne peut pas se réformer » et les « lycéens manipulés »version Figaro Magazine… On parie ?
Bonne lecture
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Le Nouvel Observateur du jeudi 10 Fevrier 2005 -
Raffarin : La négative attitude
Raffarin a beau répéter qu’il est à l’écoute, c’est une fin de non-recevoir qu’il a infligée aux manifestants du 5 février. Au risque de pousser les électeurs de gauche à dire non au référendum pour dire non à sa politique
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Le Point du 10 février 2005
Rien vu...
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L'Express du 7 février 2005
Les pilules du malheur
Gavés d'antidépresseurs et d'anxiolytiques, les jeunes Français sont de plus en plus nombreux à tenter de se suicider. Des voix s'élèvent pour dénoncer les tragiques effets secondaires de médicaments mal prescrits
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Gare aux déçus!
Dans la course pour attirer des étudiants étrangers, l'Université a décidé d'accélérer la cadence. Exemple: depuis le 17 janvier, les facs de droit sont accessibles sur Edudroit.net. Un portail qui permet au futur diplômé, grec, chilien ou danois, de s'inscrire, de son pays d'origine, sans passer par les files d'attente. Pour les universités, il s'agit aussi de rattraper les grandes écoles, parties avec une longueur d'avance. Telle Polytechnique, qui a créé, en 1995, un second concours d'entrée, destiné aux étrangers. Ceux-ci peuvent désormais passer les épreuves de l' «X» de Pékin, Téhéran ou Moscou. Résultat: un quart des lauréats sont étrangers. D'autres établissements, plus petits, ont rassemblé leurs forces pour organiser, à leur tour, des concours hors de nos frontières. C'est le cas du réseau «n + i», rassemblant 60 écoles d'ingénieurs.Cette mobilisation générale a payé.[…] Mais cette politique est paradoxale. Encouragés à venir, les étudiants étrangers ne sont pas incités à rester.
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Le Figaro-Madame/ Figaro Magazine samedi 12 janvier 2005
Le mal d'école
Son dernier livret scolaire n’était pas “ top ” ? Il rechigne à se lever le matin ? Son indolence devient inquiétante ? Il n’est pas trop tard pour reprendre les rênes. Avec les conseils de Corinne Goodman, psychologue spécialisée en coaching scolaire.[…] FAITES-LEUR LIRE…“ Pas envie d’aller à l’école ”, de Gilbert Longhi (éditions de La Martinière, collection “ Oxygène ”). Un livre “ punchy ”, où Gilbert Longhi, proviseur dans un lycée parisien, s’adresse aux adolescents (dès onze ans) et analyse les raisons des blocages : la peur de rater, la crainte exacerbée du regard de l’autre, l’ennui, le stress… Et il propose des solutions : ne jamais garder le “ mal d’école ” pour soi, prendre du recul par rapport aux copains anxieux ou sous pression, retrouver l’estime de soi dans un tout autre domaine (amoureux, sportif, musical…), développer une attitude positive en tout point. Bref, il y a des solutions pour sortir de la panne…
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Les jeunes Français accros au cannabis !
“ On estime à 850 000 le nombre de consommateurs de cannabis en France, soit un chiffre qui a doublé en dix ans ”, annonce Didier Jayle, président de la Mildt (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie). Et c’est surtout chez les fumeurs réguliers (au moins dix joints par mois) que l’augmentation est importante.
À dix-huit ans, un garçon sur cinq en fait l’usage, pour moitié moins de filles. Une enquête menée auprès de 100 000 jeunes de seize ans dans 35 pays européens donne à notre pays une place d’honneur peu enviable. Ses résultats nous font monter sur la deuxième marche du podium des consommateurs de cannabis, juste derrière la République tchèque et devant le Royaume-Uni et la Suisse.[…]
La campagne de lutte contre le cannabis bat son plein ce mois-ci avec, au programme, des spots télé et radio, des encarts dans la presse, des brochures pour les parents et les enfants, un guide pour arrêter, des tests d’autoévaluation de sa consommation... Mais elle est surtout l’occasion d’installer dans le temps une ligne téléphonique (Écoute Cannabis, au 0.811.91.20.20) et un réseau de 220 consultations anonymes et gratuites, réparties sur le territoire. Le but : permettre aux familles de trouver un terrain d’entente avec l’aide d’un médiateur (médecin, infirmière, éducateur...).
“ On s’engage à se voir deux ou trois fois, car il ne s’agit pas de plonger l’adolescent dans une psychothérapie mais de faire simplement un bilan, explique Jean-Claude Couteron. Cela suffit souvent à lui faire prendre conscience qu’il ne gère plus la situation alors qu’il le croit et que sa consommation est excessive. ” Du côté des parents, c’est également une manière de pacifier le débat pour renouer avec le dialogue et aussi parfois de rappeler le b.a.-ba. “ Car parler avec ses enfants, les interroger pour garder le contact et ne pas les autoriser à fumer à la maison est déjà un bon début ”, estime le Dr Serge Hefez.
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Politis du 10 février 2005
Rien vu...
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Marianne du 7 février 2005
Au Japon, on ne badine pas avec les examens
Au Japon, les examens sont une question de vie ou de mort. Pour les réussir, les étudiants sont prêts à tout, y compris à faire appel aux forces de l’ordre ! Un jeune homme de 18 ans devait passer une épreuve d’entrée à l’université de Kyoto. Retardé par un accident de circulation, il est allé voir des policiers et leur a demandé de l’aide. Estimant qu’un test d’entrée « affecte la vie d’un individu », ces derniers ont accepté de l’escorter en voiture jusqu’au centre d’examen. Ni une, ni deux, ils ont déclenché les sirènes et se sont lancés dans une course poursuite contre le temps, déposant finalement le jeune étudiant juste avant le début des épreuves fatidiques. On comprend mieux l’empressement des policiers lorsque l’on sait que la société japonaise accorde une importance extrême à l’éducation.
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dimanche, février 13, 2005
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