La loi sur l'autonomie des universités continue d'agiter les facs.
TOULOUSE-II le Mirail, Lille-III, Rennes-II, Rouen, Tours : cinq universités sont désormais bloquées par les étudiants qui demandent l'abrogation de la loi Pécresse sur l'autonomie des universités votée en août. La Sorbonne a elle été évacuée par la police . Après deux semaines de tension, la colère monte dans les amphis. Une quinzaine d'assemblées générales se sont tenues mardi, nous dit Le Parisien. Estimant que ce mouvement n'est «pas justifié » , la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a annoncé hier qu'elle recevrait aujourd'hui et demain les organisations syndicales.
Pourquoi ce mouvement ? Une petite piqure de rappel sur la loi Pécresse s’impose.
C’est 20 minutes qui nous offre cette synthèse en rappelant que “Privatisation et « système à deux vitesses » sont en ligne de mire”. La loi Pécresse prévoit en effet la réduction du nombre de personnes siégant aux conseils d'administration des universités, le renforcement du pouvoir des présidents et la possibilité d'un mécénat pour financer l'enseignement supérieur. Ce sont ces mesures qui posent problème aux étudiants. Un des leaders du Collectif contre l’autonomie affirme que « l'autonomie budgétaire entraînera la disparition des filières non rentables et instituera une privatisation de l'université ». Selon lui, cette réforme imposera aussi « une mise à la disposition de l'université auprès des entreprises ».runo Julliard, président de l'Unef, craint l'apparition d'un système d'universités à deux vitesses dans un mouvement de désengagement de l'Etat.
Par ailleurs, la réduction du conseil d'administration, qui se traduit par une diminution de la représentation des étudiants, pénalise ces derniers lors de l'élection du président de l'université. Celui-ci, en revanche, accroît ses pouvoirs avec la possibilité de nommer des personnalités extérieures dans ce conseil.
Pour l’instant, le Premier Ministre (vous savez un certain Fillon..) ne croit pas à la contagion du mouvement et déclare qu’ “il n’est pas du genre à céder”. Quant à l'entourage de Mme Pécresse, il veut faire "la distinction entre ceux qui ont pour préoccupation la réussite des étudiants et ceux qui utilisent l'université comme un prétexte pour faire de l'agitation politique".
On peut penser cela, mais si on met bout à bout (ou plutôt ensemble dans la rue) les étudiants, les fonctionnaires et parmi eux les enseignants et les cheminots, ça risque de faire un début de mois de novembre assez agité….
Bonne Lecture...
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Libération du 07/11/07
Une trentaine de facs perturbées
Le gouvernement Fillon aura-t-il sa grogne «anti-LRU» comme celui de Villepin avait dû affronter le mouvement anti-CPE ? Cantonnée la semaine dernière à une petite dizaine d’établissements, la mobilisation, qui a débuté début octobre, prend de l’ampleur. Lentement mais sûrement. En ligne de mire des étudiants grévistes : la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU), votée en août.D’assemblées générales en débrayages, la contestation aurait gagné une trentaine de facultés, selon l’Unef
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Questions de parents, du talk au talk
Famille. Radio Parenthèse dispense conseils et échanges en direct.
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«A-t-on le droit d’imposer… ?»
C’est un sujet auquel Isabelle Schmid, cofondatrice de Radio Parenthèse, tenait absolument : «A-t-on le droit d’imposer à ses enfants de se balader nus en société ?» Voilà comment, ce jour-là, les parents ont réagi à ce sujet (dé)poilant.
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Ni putes ni soumises, ni vraiment unies
Fadela Amara partie, des comités se dissolvent faute de transparence.
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Le Figaro du 07/11/07
Une minorité d'étudiants alimente la grogne des facs
"Attentive", Valérie Pécresse reçoit dès aujourd'hui l'ensemble des organisations étudiantes.
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L’Humanité du 07/11/07 (un jour de retard)
Grève à la prison pour mineur
Marseille . L’ouverture de l’établissement pour mineurs marquée par des protestations
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Le Parisien du 07/11/07 ( payant)
Assemblées générales et blocages se multiplient
La loi sur l'autonomie des universités continue d'agiter les facs. Une quinzaine d'assemblées générales se sont tenues aujourd'hui. Les étudiants de cinq universités ont voté le blocage.
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Paris VIII vote la grève, pas le blocage
Près de cinq cents personnes se sont réunies ce matin en assemblée générale pour protester contre la loi sur l'autonomie des universités.
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Dans les universités, la fièvre monte d'un cran
TOULOUSE-II le Mirail, Lille-III, Rennes-II, Rouen, Tours : cinq universités sont désormais bloquées par les étudiants qui demandent l'abrogation de la loi Pécresse sur l'autonomie des universités votée en août. Après deux semaines de tension, la fièvre monte dans les amphis où la quinzaine d'assemblées générales (AG) organisées hier ont rassemblé des centaines d'étudiants.
Estimant que ce mouvement n'est « pas justifié », la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a annoncé hier qu'elle recevrait aujourd'hui et demain les organisations syndicales. Seul hic : « L'ordre du jour sera sur les conditions de vie étudiante et le chantier réussite en licence, donc indirectement seulement en relation avec la contestation actuelle», s'étonne Thiébaut Weber, président des étudiants de la Fage.
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Universités et grandes écoles attendent vos dons
Une nouvelle loi permet aux contribuables de faire un chèque - déductible à 66 % sur la feuille d'impôt - à un établissement du supérieur. La chasse aux « généreux donateurs » est déclarée. Sciences-po ouvre le bal ce matin.
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La Croix du 07/11/07
Rien vu...
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20 minutes du 07/11/07
La Sorbonne évacuée
Ils n’ont pas pu investir les lieux. Des étudiants venus occuper les locaux de la Sorbonne, à Paris, ont été délogés par les forces de l’ordre dans la nuit de mardi à mercredi, selon Reuters. Une centaine de personnes auraient été évacuées sans incident.
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La colère des amphis s'amplifie
La vague de protestation des étudiants contre la loi Pécresse sur l'autonomie des universités prend de l'ampleur. Cinq établissements sont paralysés depuis lundi et trois autres se sont joints au mouvement hier. Les étudiants ont bloqué les salles à Tours, Toulouse-Le Mirail, Perpignan, Rennes, Lille et Rouen, tandis que Tolbiac (Paris-I) et Aix-en-Provence ont fermé leurs portes. Déjà, la semaine dernière, une dizaine d'universités avaient connu blocages, occupations de salles et barrages filtrants.
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Privatisation et « système à deux vitesses » en ligne de mire
La loi Pécresse prévoit la réduction du nombre de personnes siégant aux conseils d'administration des universités, le renforcement du pouvoir des présidents et la possibilité d'un mécénat pour financer l'enseignement supérieur. Certaines mesures de ce texte posent problème aux étudiants. Explications.
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Métro (Paris) du 07/11/07
Rien vu...
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Rue89 du 07/11/07
Rien vu...
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Ouest-France du 07/11/07
Rien vu...
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Sud-Ouest du 07/11/07
Rien vu...
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Le Journal du Dimanche du 07/11/07
Universités: La grogne monte
Pour l'heure circonscrite à quelques campus, la grogne des étudiants contre la loi sur l'autonomie des universités n'en est pas moins déterminée. Bloquée dès mardi matin, la faculté du Mirail à Toulouse a connu une journée animée. A Paris, Tours ou Rennes, des mouvements de fronde étudiants se sont organisés. Valérie Pécresse en appelle au dialogue.
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Pécresse: "Ni sélection ni hausse des frais"
La nouvelle ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, s'exprime pour la première fois depuis sa nomination. Elle précise le projet de loi sur l'autonomie des établissements. Le premier volet de la première grande réforme du quinquennat, celle des universités, sera voté dès juillet. Explications.
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Le Monde daté du 07/11/07
L'UNEF se joint au mouvement de protestation des étudiants
Lieu symbolique des luttes étudiantes, le site de la Sorbonne, dans le 5e arrondissement de Paris (Universités de Paris-I et Paris-IV), a été occupé, mardi 6novembre au soir, par une centaine d'étudiants demandant l'abrogation de la loi du 11 août 2007 sur l'autonomie des universités. Vers 23 heures, les manifestants ont été évacués dans le calme.
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Une centaine d'étudiants évacués de la Sorbonne dans le calme
Les forces de l'ordre sont intervenues, mardi 6 novembre, vers 23 heures, pour évacuer une centaine d'étudiants grévistes qui occupaient les locaux de l'université de la Sorbonne. "L'évacuation a eu lieu dans le calme, sans incident", a precisé au Monde.fr un étudiant présent sur les lieux.
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Au moins sept morts après une fusillade dans un établissement scolaire en Finlande
Une fusillade dans un établissement secondaire de Tuusula, dans le sud de la Finlande près d'Helsinki, a fait, mercredi 7 novembre, au moins sept morts et une dizaine de blessés, dont un grièvement, a-t-on appris de source hospitalière.
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"Nos revendications concernent à la fois la loi Pécresse et des questions propres à la Sorbonne" (audio)
Jean, étudiant à la Sorbonne et militant à la CNT, explique les revendications des étudiants des universités Paris-I et Paris-IV, qui ont voté, mardi 6 novembre, la grève et le blocage de la faculté. Ils ont décidé d'occuper le principal amphithéâtre de l'université dès ce soir.
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Fernand Deligny, "graine de crapule", par Francis Marmande
On ne peut vivre dans un monde où quelqu'un, à chaque instant, ne serait pas prêt à mourir pour vous. Phrase de Fernand Deligny (1913-1996). A chaque instant. Phrase d'un instituteur du Nord devenu éducateur sur le tas, partisan des méthodes actives, de l'initiative populaire, et toute sa vie concentré sur l'autre absolu, l'autre inassimilable : l'autiste, les autistes.
Pour les soigner ? Pour les corriger ? Pour les réinsérer ? Pour les aimer ? Non : pour les aider, pour vivre avec eux. Pour apprendre à vivre avec eux et finir une longue vie dans les Cévennes avec eux. Comme Jean Oury, qu'il côtoie à la Clinique de La Borde, une définition technique suffit à sa démarche : "C'est la moindre des choses." Un psychiatre qui travaille aux côtés des autistes, Gilles Roland-Manuel : "Deligny, c'est le premier à avoir fichu la paix aux autistes."
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Le Nouvel Obs Permanent du 07/11/07
Grogne des étudiants : Fillon ne croit pas à la contagion
Les blocages d'universités sont des "mouvements souvent inspirés par des considérations très politiques", qui n'auront "pas de suite", considère le Premier ministre.
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Universités : le mouvement prend de l'ampleur
Les étudiants sont de plus en plus nombreux à participer aux assemblées générales dans une quinzaine d'UFR, pour protester contre la loi Pécresse sur l'autonomie des universités. Parmi les facs bloquées : Rouen, Tours, Lille III, Perpignan, Aix-en-Provence, Nantes ou encore Rennes.
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Fillon aux députés UMP : "Il va falloir attacher vos ceintures"
Alors que Sarkozy est depuis six mois au pouvoir, le Premier ministre appelle la majorité à "une très grande solidarité" avec le gouvernement pour faire face aux turbulences sociales de novembre.
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L’Express.fr du 07/11/07
La Sorbonne évacuée par la police
Une centaine d'étudiants en grève contre la loi Pécresse sur l'autonomie des universités s'est fait évacuée cette nuit par la police de l'université de la Sorbonne, bastion symbolique de la contestation contre le CPE.
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Une sélection dans les dépêches du 07/11/07
Assemblées générales et blocages se multiplient dans les universités
Une quinzaine d'assemblées générales ont à nouveau réuni mardi de quelques dizaines à plus d'un millier d'étudiants contre la loi sur l'autonomie des universités et cinq d'entre elles ont voté le blocage, tandis que Valérie Pécresse réclamait "un peu de patience".
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Blocages d'universités aux "considérations politiques", "pas de contagion" (Fillon)
Le Premier ministre François Fillon a estimé mercredi sur Europe 1 que les blocages d'universités étaient des "mouvements souvent inspirés par des considérations très politiques", qui n'auraient "pas de suite".
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L'Afev critique la pub Acadomia: "une école comme un champ de bataille"
L'Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev), qui aide bénévolement des jeunes de quartiers défavorisés, a vivement critiqué mardi la nouvelle campagne de publicité du leader du cours particulier à domicile, Acadomia.
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Financement des écoles privées: recours des maires ruraux au Conseil d'Etat
L'Association des maires ruraux de France (AMRF) a saisi le Conseil d'Etat pour obtenir l'annulation de la circulaire qui oblige les communes à contribuer au financement de la scolarité de ses enfants inscrits dans une école privée d'une commune voisine.
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mercredi, novembre 07, 2007
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