Ca n’a rien à voir avec l’éducation, mais ça nous intéresse en tant que lecteurs. La presse quotidienne va mal et le Monde se demande même s’il ne va pas devenir un journal du matin.
Sur notre sujet, lisez le dossier de l’Humanité sur la précarité dans l’Éducation Nationale, lisez aussi l’article (oublié hier dans ma chronique) sur les enseignements artistiques dans le Monde
Bonne Lecture...
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Libération du 09/09/04
Paraître au petit matin...un casse-tête industriel
Devenir un quotidien du matin. Etre en kiosque à Paris à l'heure du laitier. Arriver en province sans retard, comme les autres quotidiens nationaux. Le Monde y a songé plus d'une fois depuis sa création en 1944. Mais, cette fois, c'est du sérieux. C'est même le principal chantier sur lequel le quotidien planche depuis le printemps dernier. Un chantier qui éclipse tous les autres, notamment la nouvelle formule un temps envisagée pour le début de l'année prochaine et officiellement «suspendue» jusqu'à nouvel ordre.
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Le Figaro du 10/09/04
Rien vu...
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L'Humanité du 10/09/04
A l’école des précaires
Ce n’est pas la misère. Mais ce n’est pas non plus l’assurance tous risques antiprécarité. Les uns après les autres, enseignants et chercheurs alertent quant à la dégradation des conditions de leur profession. En septembre, les syndicats des personnels du secondaire dénonçaient le recours abusif à des non-titulaires. La rentrée universitaire approchant, c’est au tour des profs et des chercheurs de l’enseignement supérieur de faire parler d’eux, lesquels tiennent, aujourd’hui et demain, des assises contre la précarité dans la recherche et le supérieur (lire interview ci-après). L’éducation nationale ne serait-elle plus synonyme d’emplois stables ? Ce n’est en tout cas plus systématique, surtout si l’on est jeune.
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« Contrat France 2005 » L’école, l’un des trois objectifs de Raffarin
Parmi les trois objectifs du « contrat 2005 » proposé aux Français dimanche soir par le premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, figure « la réforme pour la réussite à l’école ». Vaste chantier s’il en est, mais un chantier qui commence mal. Après le grand débat de terrain lancé en novembre 2003 par le ministre philosophe Luc Ferry, les syndicats n’attendent déjà plus grand-chose de la synthèse des propositions que doit rendre à la mi-octobre la commission Thélot. Pis, ceux-ci s’inquiètent de l’abandon évoqué de l’objectif des 80 % d’une classe d’âge au baccalauréat, signe précurseur, selon eux, de ce qu’il faudra bien appeler une école à deux vitesses : ceux qui suivent... et les autres.
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« 30 % du personnel est précaire »
Michel Fortuné, secrétaire national du SNESup-FSU, met en garde contre l’ouverture de la fonction publique aux contractuels. Les premiers touchés sont les doctorants-chercheurs. Entretien.
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« Certains font les vendanges pour avoir de quoi survivre »
Maria Aouraghi, trente-trois ans, professeur d’espagnol et contractuelle dans l’académie d’Aix-Marseille.
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« Je n’ai aucune perspective »
Brahil est professeur par intermittence, il jongle avec l’enseignement et le secteur privé pour ne pas rester inactif.
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Le Parisien du 10/09/04
Rien vu...
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La Croix du 10/09/04
La presse dans la tourmente
«Le Monde», «Le Figaro» et «France Soir» connaissent actuellement de sérieuses difficultés. La presse quotidienne en France ne se porte pas bien, même si certains titres, notamment «La Croix» et «Le Parisien/Aujourd’hui» font exception
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20 minutes du 10/09/04
Rien vu...
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Le Monde daté du 11/09/04
A l'école, les arts au piquet
Après avoir amputé les crédits du plan "Arts et culture", lancé par Jack Lang, le gouvernement s'apprête à annoncer des mesures en faveur de l'enseignement artistique. De son côté, la gauche défend une autre conception sur la place de la culture en milieu scolaire.
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Le développement de Sciences-Po, entre l'ambition et la démesure
L'Institut d'études politiques de Paris a besoin de 40 millions d'euros pour racheter les locaux de l'ENA, alors que la Cour des comptes souligne la fragilité de ses finances. Son directeur, Richard Descoings, qui veut créer un "Harvard européen", est, pour les uns, un visionnaire, pour les autres, un mégalomane.
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L'intégration réussie des élèves de ZEP
Ça marche. Quarante-cinq nouveaux candidats issus de lycées classés en zone d'éducation prioritaire (ZEP) vont être admis en première année à l'Institut d'études politiques de Paris - "Sciences-Po" - à la prochaine rentrée, le 4 octobre. Ces étudiants ont été sélectionnés sans concours, à l'issue d'une procédure spécifique qui a eu lieu dans vingt lycées bénéficiant de conventions éducation prioritaire (CEP).
Lancé à la rentrée 2001 par Richard Descoings, le directeur de Sciences-Po, ce dispositif a permis l'admission de 132 étudiants au total. Parmi eux, les enfants d'employés et d'ouvriers représentaient 50 % des admis en 2001, 57 % en 2002 et 68 % en 2003. Les étudiants ayant au moins un parent né hors de France représentaient les deux tiers des admis en 2003. A l'opposé, les étudiants qui passent le concours d'admission sont issus, pour 82,5 % d'entre eux, de milieux favorisés et très favorisés.
Les étudiants recrutés grâce aux conventions éducation prioritaire témoignent de parcours scolaires positifs.[…]
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Les grandes écoles réclament un "effort national"
Elles souhaitent un financement accru et une hausse des droits d'inscription.
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mardi, septembre 21, 2004
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