Ils sont 22 600 étudiants en situation de « pauvreté réelle ». C’est l’Humanité qui révèle ce chiffre et qui consacre tout un dossier en cette semaine de rentrée universitaire au sujet des conditions de vie des étudiants confrontés à la pauvreté.
La Croix s’intéresse aux… pensionnats pour en montrer l’intérêt pédagogique loin de l’image du pensionnat télévisuel dont nous reparle Le Figaro.
A ce propos, c’est la dernière ce soir, suspense autour du certificat d’études…
Bonne Lecture...
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Libération du 30/09/04
Rien vu….
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Le Figaro du 30/09/04
M6/ Bonne moyenne pour les élèves de Chavagnes .
Le «suspense» prendra fin ce soir avec la remise des prix au «pensionnat de Chavagnes». Après avoir réalisé une remarquable entrée en matière lors du premier numéro (6,2 millions de téléspectateurs, soit 28,9% de parts d'audience), l'émission de téléréalité de M 6 s'est quelque peu essoufflée. Le manque d'enjeu dans le programme est-il à l'origine de la légère désaffection des téléspectateurs qui, durant les trois épisodes suivants, n'étaient plus «que» 5 millions en moyenne à suivre la préparation au certificat d'études de vingt-quatre élèves plongés dans l'univers de l'enseignement des années 50 ?
[…]Au début de l'émission, les «élèves modèles» du «Pensionnat de Chavagnes» ont ainsi créé l'événement en faisant irruption, bien malgré eux, dans le débat sur l'école. Certains observateurs comparèrent même le divertissement de M 6… au programme du ministre de l'Education nationale. Une agitation médiatique qui a surpris les dirigeants de la chaîne. «Nous n'avons jamais voulu faire l'apologie de l'autorité avec «Le Pensionnat de Chavagnes». Notre but était simplement d'observer, dans le cadre d'un divertissement, le comportement d'adolescents dans un environnement différent de celui qu'ils connaissent habituellement», souligne François de Brugada. Et d'ajouter : «On nous a même reproché de faire la propagande de François Fillon au moment où celui-ci dévoilait sa politique. Or ce n'était qu'un hasard, puisque notre projet est né à la fin de l'année 2003.»Lire la suite de l’article
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L'Humanité du 30/09/04
Des étudiants pauvres comme Job .
Le chiffre est discuté. Certains le jugent exagéré, d’autres pensent qu’il est minimisé. N’empêche. C’est un indicateur qui fait tache, et, à l’heure de la rentrée universitaire, aucun officiel ne s’est hasardé à le rappeler : selon la dernière enquête de l’Observatoire de la vie étudiante (OVE), 22 600 étudiants sont confrontés, en France, à une situation de « réelle pauvreté ».
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Urgent/Étudiant cherche lgt/ possibilité coloc/loyer mini .
Cités universitaires en nombre insuffisant, appartements privés hors de prix. Se loger est toujours une véritable galère pour des milliers d’étudiants.
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resto u La note salée du ticket repas .
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« Je dois me serrer la ceinture ».
McDo, ouvrier, chocolatier, croque-mort, agent de sécurité... Touche-à-tout, Cédric, vingt-quatre ans, jongle avec les petits boulots. Malgré ses 300 euros de bourse, boucler les fins de mois relève du tour de force. Il ne ménage pas sa peine, parvenant à « mettre des sous de côté ». Mais sur le front des études, le bât blesse. DEUG de psychologie en quatre ans, licence avortée, cernes sous les yeux, il est contraint de mettre ses études entre parenthèses : « Si je n’avais pas eu besoin de bosser, j’aurais sans doute décroché mes examens. »
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« Mes études risquent d’en pâtir » .
Du nid douillet parental aux 9 mètres carrés de la cité universitaire de Villeneuve-d’Acsq (59), la transition ne coule pas de source pour François, dix-huit ans. Première année d’histoire et premières angoisses désamorcées, pour lui qui avait peur d’atterrir dans une des nombreuses chambres qui ne sont toujours pas rénovées : « Avec mon évier et mes plaques chauffantes, j’ai le sentiment d’être privilégié. Les autres étudiants se servent toujours des vieux lavabos que nos parents utilisaient ! » Fraîchement débarqué, il a découvert les joies de la vie en communauté, « une promiscuité permanente » et « les bruits parasites » qui compliquent singulièrement la tâche de l’étudiant studieux qu’il veut être.
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Question de seuil.
Ils sont 22 600 étudiants en situation de « pauvreté réelle ». Le chiffre comme la notion elle-même sont sujets à débat chez les observateurs et acteurs de la vie étudiante. « Ce chiffre donne une indication, mais traduit mal la réalité à laquelle se frotte une majorité de jeunes », note Michael Delafosse, président de La mutuelle des étudiants (LMDE). Et de poser la question qui fait mouche : à partir de quand est-on pauvre quand on est étudiant ?
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Le Parisien du 30/09/04
Rien vu….
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La Croix du 30/09/04
«Sois sage, sinon pas de pension».
Du pensionnat d’hier à l’internat d’aujourd’hui, il est des scènes de bonheur fugace qui se répètent, année après année. Comme «ces fous rires entre copines de chambres» que l’on tente d’étouffer, à la nuit tombée, quand on n’est autorisé qu’à chuchoter. Des moments gravés dans la mémoire de Pauline, 17 ans, interne depuis trois ans au lycée Notre-Dame, à Fontenay-le-Comte (Vendée) et qui n’en partirait «pour rien au monde». Mais la comparaison s’arrête ici. Car si l’internat séduit encore les élèves, c’est précisément parce qu’il a changé. «Ce n’est ni la maison de correction ni la prison, martèle Danièle Moronval, principale du collège Jacques-Brel à Fruges (Pas-de-Calais). Aujourd’hui, l’enfant est pleinement associé à la démarche.»
En 2003, plus de 242 000 élèves étaient hébergés dans les internats publics ou privés. Au sein du secteur privé, près de la moitié des lycéens avaient choisi ce mode d’hébergement (49,2 %). Du côté de l’éducation nationale, 4,57 millions d’euros ont été débloqués en 2002 pour relancer les internats publics. «Mais les effets ne seront pas visibles avant 2006», prévoit-on rue de Grenelle. Si les chiffres, tous secteurs confondus, sont relativement stables depuis quelques années, le nombre d’internes a sensiblement augmenté par rapport à la décennie 1990. «On sent une demande de la part des familles, note Christian Philibert, membre de l’Observatoire national de pédagogie de l’enseignement catholique. Et le profil des élèves a changé.» Si la rareté des filières spécialisées et l’éloignement géographique demeurent des explications valables, les raisons d’opter pour l’internat ont évolué au gré des bouleversements familiaux.
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20 minutes du 30/09/04
«Tout est fait pour que nous partions de nous-mêmes».
12 h 10 : la sonnerie retentit au lycée Jean-Rostand à Strasbourg. Elles sont cinq à sortir un peu avant les autres. Elles sont cinq à porter le foulard islamique, malgré la loi sur les signes religieux à l’école. Aicha et Radia, toutes deux en classe de 1re sciences médico-sociales, témoignent de leur rentrée. Et de raconter leur mise à l’écart aujourd’hui avant leur exclusion probable demain.[…]
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En Alsace, un voile sur la rentrée.
C’est le premier recours contre la loi laïcité. Une lycéenne qui continue de porter le voile à l’école a saisi, la semaine dernière, le tribunal administratif de Strasbourg. Avec l’Ile-de-France – dans une moindre mesure –, l’Alsace est la région la plus touchée par le non-respect de la loi sur le port des signes religieux à l’école. On dénombre officiellement une vingtaine de cas pour la seule ville de Strasbourg, mais le chiffre réel pourrait être plus important. Pourquoi cette région concentre-t-elle les difficultés ? Et pourquoi les jeunes filles réunies au sein du collectif Une école pour toutes et tous sont-elles les plus inflexibles ?
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Le Monde daté du 01/10/04
Pose de la première pierre de l'université Paris-VII dans la ZAC rive gauche.
La première université construite à Paris depuis plus de quarante ans. L'opération de déménagement de l'université Paris-VII (Denis-Diderot) du campus de Jussieu vers la ZAC rive gauche (zone d'aménagement concerté dans le 13e arrondissement) franchit une étape importante avec la pose officielle, jeudi 30 septembre, de la première pierre des bâtiments devant abriter 25 000 étudiants et 4 000 personnels.
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jeudi, septembre 30, 2004
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