Revue de presse des hebdomadaires (semaine du 1er novembre au 7 novembre 2004)

Pas grand chose dans nos hebdomadaires qui se sont surtout tournés vers les Etats-Unis. Je retiens un article dans le Point sur l’absentéisme et la chronique « L’œil du psy » dans l’Express qui revient sur l’ « affaire » de la maternelle d’Altkirch avec un titre choc « Les tout-petits sont des barbares »

Bonne lecture
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Le Nouvel Observateur du jeudi 04 novembre 2004 -

La planète blog
Témoigner, dénoncer, vanter, analyser, commenter... C’est ce que font tous les jours, dans leur carnet de bord, près de 10 millions d’internautes à travers le monde. Tous les sujets sont bons, ou presque. Des élections américaines aux photos du petit dernier, de la vie en Iran aux peines de cœur adolescentes, enquête sur une nouvelle façon de communiquer Lire la suite de l’article

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Le Point du 04 novembre 2004

Absentéisme mesuré
Beaucoup de bruit pour rien ? Il y a quelques mois, Nicolas Sarkozy, encore ministre de l'Intérieur, s'inquiétait de l'absentéisme scolaire, un « fléau » en hausse, selon lui, et « première étape vers la délinquance ». Pourtant, jusqu'à présent, le phénomène n'avait jamais été mesuré au niveau national et la polémique s'était nourrie d'incertitudes : Xavier Darcos estimait que seuls 1 % des élèves étaient concernés, tandis qu'un rapport soulignait que l'absentéisme touchait « presque tous les établissements, avec assez couramment des taux de 12 à 15 % ». Une enquête récente permet de mieux cibler l'absentéisme scolaire dans le second degré.Lire la suite de l’article

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L'Express du 01 novembre 2004

Discrimination positive, mais «injuste»
Jean-François Amadieu est l'un des sociologues dont les travaux servent de base théorique à ceux qui, en particulier dans la droite libérale, militent pour la discrimination positive. Fondateur de l'Observatoire des discriminations (université Paris I), il a démontré par ses enquêtes à quel point le recrutement pouvait être biaisé par des critères non professionnels. Au moment où 35 chefs d'entreprise viennent de signer une «charte de la diversité», il déclare à L'Express que la discrimination positive n'est pas une bonne solution
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L’œil du psy : Les tout-petits sont des barbares
Quelle n'a pas été la stupéfaction de tous lorsque les médias ont annoncé qu'une petite fille de 3 ans s'était fait «tabasser» par trois costauds de 5 ans! Certes, ce fait divers semblait d'abord le fruit d'un défaut de surveillance, mais tout de même, des enfants si violents, si jeunes, n'est-ce pas effrayant?
En fait, ce n'est pas si surprenant. Jusqu'à 5 ou 6 ans, l'enfant est dans l'innocence de la cruauté, comme les grands fauves. Quand le lion mange une biche, c'est avec satisfaction et sans culpabilité. De même, les enfants de cet âge ne connaissent ni le bien ni le mal. Ils ne connaissent que le bien-être et le mal-être. Quand ils se sentent mal, ils expulsent leur tension pour aller mieux. Il n'y a pas d'élaboration psychique. Juste une décharge musculaire.
Les tout-petits ne font pas de différence. Ils donnent des coups comme ils dévideraient des insultes: l'acte et la parole, pour eux, c'est la même chose. Tout le travail de l'éducateur consiste à leur apprendre à les différencier, à leur montrer comment faire semblant. Lors de l'atelier où je reçois des enfants de 3 à 5 ans, ils s'arrachent les jouets, se bousculent, se tirent les cheveux, me donnent des coups, et il arrive que l'un d'eux me dise: «Je vais te tuer, monsieur Sédat, parce que je suis plus fort!» Je leur montre comment on peut jouer avec les mots, sans se faire mal. Comment la parole peut remplacer l'acte.
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Le Figaro-Madame/ Figaro Magazine samedi 06 novembre 2004

Et Dieu dans tout ça ?
Islamisme convulsionnaire, religiosités consuméristes, foules déplacées par le pape, OPA spirituelles des évangélistes américains, etc. : l'actualité du début de ce millénaire semble plaider pour un «retour du religieux». En même temps, on peut constater la perte d'influence des religions constituées au profit d'une «libération» toujours plus grande de l'individu.
Alors, «mort de Dieu» ou retour du religieux ? C'est de cette question - la persistance du sacré dans un monde sécularisé ou en voie de l'être - dont débattirent à la Sorbonne, en 1999, Luc Ferry, à l'époque futur ministre de l'Education nationale, et Marcel Gauchet, rédacteur en chef de Débat. Un échange serré qui vient d'être publié.
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TÉHÉRAN : La jeunesse en liberté surveillée
Depuis 1979, les gardiens de la révolution tiennent l'Iran d'une main de fer. Au pays des interdits, les jeunes défient chaque jour les autorités. Leur crime ? Opposer leur envie de vivre aux lois islamiques.
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Politis du 4 novembre 2004

Rien vu...


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Marianne du 4 novembre 2004

Rien vu...


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