samedi, novembre 13, 2004

Revue de presse du samedi 13 novembre 2004

Finalement tous les quotidiens en auront parlé. La fin annoncée des TPE ne passe pas aussi bien que le Ministre pouvait l’espérer. A noter une prise de position très nette d’un responsable du SNES en faveur des TPE dans le Figaro.


Bonne Lecture...
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Libération du 13/11/04


La violence du quartier a rattrapé les Noirettes
Les profs d'un collège de Vaulx-en-Velin qui veulent des effectifs ont posé un préavis de grève reconductible.
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Le Figaro du 13/11/04


Les étudiants se ruent sur l'ordinateur à un euro
Un ordinateur portable au prix d'un café par jour ? Les étudiants semblent avoir été séduits par l'idée. Un mois et demi après son lancement, l'opération est même, à en croire le ministère de l'Éducation nationale, «un véritable succès».
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Les travaux personnels encadrés supprimés du bac
Nouvel émoi dans la communauté éducative. Le ministère de l'Education nationale vient en effet d'annoncer, dans un document de travail adressé aux membres du Conseil supérieur de l'éducation (CSE), son intention de mettre un terme à l'épreuve facultative de travaux personnels encadrés (TPE) au bac général à compter de la session 2006 de l'examen. Une mesure qui découle de leur suppression en classe de terminale dès l'année scolaire 2005-2006. Un projet d'arrêt ministériel allant dans ce sens sera présenté dès le prochain CSE.
Le dispositif des TPE, lancé par Claude Allègre en 1998, a été mis en place dans les classes de première, dès la rentrée 1999-2000, puis introduit en terminale en septembre 2001, à raison de deux heures hebdomadaires. Il consiste à faire réaliser aux élèves, sur des thèmes nationaux comme par exemple cette année «l'Europe» ou encore «les transformations du travail», une production sur le sujet sous forme de dossier, de débat ou de tout autre support. Le TPE est donc un point d'appui aux cours traditionnels et une occasion donnée aux élèves d'apprendre à travailler de façon plus autonome.
Pour Roland Hubert professeur de mathématiques à Clermont-Ferrand, et secrétaire national, responsable du lycée au Snes (Syndicat national des enseignements du second degré), «les TPE encouragent l'investissement personnel des élèves et les préparent aux méthodes de travail du supérieur. Dans certaines académies, 80% des élèves présentent les TPE au baccalauréat». Toutefois, ce qui semble plus incompréhensible à Roland Hubert, c'est que «depuis trois ans, nous demandons une évaluation de ce dispositif, qui n'a jamais été réalisée. Jusqu'alors, on nous a toujours répondu qu'il fonctionnait très bien, qu'il était d'un grand intérêt pour les élèves, et tout d'un coup il faut le supprimer».
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L'Humanité du 13/11/04


Éducation. Les « TPE » en sursis
Pourquoi veut-on la peau des travaux personnels encadrés, plus communément appelés TPE ? Obligatoire en classe de première, optionnel à partir de la terminale, cet enseignement façon pédagogie nouvelle exige des élèves qu’ils construisent un projet à partir de recherches personnelles mixant les disciplines (histoires et maths, par exemple) et portant sur des sujets de société (l’illettrisme ou encore l’exclusion). Principale originalité de la réforme des lycées de 1998, testés dès 1999, ils s’étaient répandus l’année suivante et semblaient recueillir des avis favorables, sinon clairement enthousiastes, de la part des profs comme des élèves. Lors du prochain Conseil supérieur de l’éducation, le 24 novembre, François Fillon va pourtant proposer de les liquider.
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Sauver la fac Pasqua
Treize ans après la décision du conseil général de construire une grande université privée à la Défense, huit ans après son inauguration, le bilan est net : la fac Pasqua est un échec. Le président du conseil général des Hauts-de-Seine qui a décidé en urgence de mettre à l’ordre du jour de l’assemblée lundi 8 novembre l’avenir du pôle Léonard-de-Vinci a dû, pour assurer la survie d’une université privée sous perfusion, révéler son véritable état de santé. Les conseillers généraux ont ainsi découvert le coût toujours caché du pôle : 30 millions d’euros alors qu’ils votent chaque année une subvention de 15,7 millions d’euros !
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Le Parisien du 13/11/04


Rien vu...


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La Croix du 13/11/04


Rien vu...



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20 minutes du 13/11/04


pas de 20 minutes le week-end...


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Le Monde daté du 14-15/11/04


Rien vu...


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