mardi, décembre 08, 2009
Revue de presse du mardi 8 décembre 2009
Histoire : chronique d’un emballement médiatique - Le fisc, l’UMP et le marché du soutien scolaire privé… -
Histoire : chronique d’un emballement médiatique
Quand on tape “Histoire Terminale” sur Google actualités , on obtient près de 300 occurrences… et le rythme des articles ne faiblit pas. Tout cela ressemble à un emballement qu’il nous faut continuer à chroniquer…
C’est le titre “L’Histoire en phase terminale” qui fait la Une du journal Libération et le dossier de trois pages donne même lieu à un éditorial de Laurent Joffrin. Celui-ci montre, bien malgré lui, ce que peut donner un éditorial qui donne un avis sur un sujet mal maîtrisé. Il considère qu’ “écartée de la terminale pour les sections les plus prestigieuses, l’histoire, par la force des choses, s’en trouvera déclassée. On comprendra qu’elle est seconde dans la formation des futurs responsables.”. Au passage, il fait la preuve que le rééquilibrage des séries et l’égale dignité des parcours s’ils peuvent être des éléments de discours généreux ne résistent pas longtemps au poids des stéréotypes. Et il prédit ensuite qu’avec cette décision “l’histoire s’estompera au profit de la mémoire, fragile et orientée, ou pis, au profit des catéchismes idéologiques qui réécrivent la genèse de nos sociétés pour le plus grand bénéfice des fanatiques et des hurluberlus sectaires.”. Une interview de Benjamin Stora dans le même journal va dans la même emphase prophétique en considérant que “ L’histoire va rejoindre les langues mortes ”.
Les politiques ne sont pas en reste puisque on apprend que plusieurs députés UMP se sont émus de cette “menace” sur l’histoire. Dominique de Villepin, lyrique comme à son habitude se dit prêt “à mener un combat pour l’histoire”. François Bayrou n’est pas en reste, pour lui “c'est une décision qui va à l'encontre des principes que nous devrions défendre dans l'Education nationale française ”. Comme le dit sous forme ironique le Café Pédagogique “Qu'est-ce qu'être français ? La réponse est simple : c'est être pour l'enseignement de l'histoire-géo en terminale S”. Et dans ces situations d’unanimisme, il est toujours difficile d’avoir un avis nuancé et à contre-courant. Tout le contraire d’un débat…
En dehors de Luc Chatel, lui même, on trouve cependant quelques personnalités pour soutenir ce projet. Soutien de Martin Hirsch dans une chronique sur le site de Libération “En réalité, la terminale S était devenue, au fil des ans, une sorte de première année de classe préparatoire, au détriment des autres filières. Il est donc nécessaire de favoriser le passage d’une filière à une autre : c’est ce que vise une autre répartition des disciplines entre la seconde, la première et la terminale. Cela implique aussi de pouvoir donner aux élèves la possibilité de construire leur parcours, avec des options qu’ils choisissent, à un âge où ils sont capables de décider ce qui correspond à leurs aspirations. ” On peut lire aussi une interview de Richard Descoings, directeur de Sciences-Po toujours dans Libération où il continue à défendre ce qui est au final la conséquence de son rapport et de la volonté de rééquilibrer les séries : « La questiondit-il est de savoir si on se paie de mots et si on est sur des grands principes où si on s'intéresse à la formation qui est réellement reçue par les jeunes et si on tient compte des constats qui ont été faits par tout le monde sur le malaise au lycée en cherchant à en tirer les conséquences »
On notera quand même que du côté des différents acteurs du débat sur l’école, on arrive à avoir un avis plus nuancé. Le SE-UNSA et le SGEN-CFDT, les fédérations de parents d’élèves FCPE et PEEP considèrent que cette question n’est pas centrale et mettent l’accent sur la compensation en Première. Antoine Evennou de l’UNL invite quant à lui à dépasser la question de l’histoire. "Si les inquiétudes sont légitimes, dit-il il faut regarder la politique éducative dans son ensemble: sur la réforme de la formation des enseignants et sur les moyens alloués à l'éducation, le gouvernement va à contre-sens des attentes de la société, et la réussite de la réforme du lycée est aussi déterminée par ces politiques.
Mais porter ce débat là et aller au delà des excès et des approximations des emballements médiatiques, c’est une autre histoire…
Le fisc, l’UMP et le marché du soutien scolaire privé…
Le “marché de l’angoisse” a eu chaud…
Le Sénat a rétabli lundi l'avantage fiscal dont bénéficient les personnes recourant à une entreprise de soutien scolaire pour des cours à domicile et qui avait été supprimé par l'Assemblée nationale en première lecture du projet de loi de finances pour 2010.
Le député Lionnel Tardy (UMP) avait en effet fait voter un amendement supprimant cet avantage fiscal, sauf lorsque le soutien scolaire est assuré par une association ou un organisme à but non lucratif. Un amendement du groupe UMP du Sénat rétablissant l'avantage fiscal a été voté avec l'avis favorable du gouvernement.
Et cette information, pêchée dans une dépêche d’agence fait beaucoup moins de bruit que l’Histoire en Terminale S…
Bonne Lecture...
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Libération.fr du 08/12/09 (certains articles payants)
Réforme du lycée : vers la fin de l’histoire ?
Des enseignants et une cinquantaine de personnalités dénoncent la disparition de l’histoire-géo de la liste des disciplines obligatoires en terminale scientifique.
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Faux pas
Par LAURENT JOFFRIN
’est entendu : l’histoire ne sert à rien de tangible. Savoir sans utilité pratique, roman national encombrant, expérience dont on peine à tirer les leçons, collections de belles légendes trompeuses ou fastidieux inventaire de réalités révolues, elle n’aidera personne à prendre sa place dans le monde compétitif, technologique et policé qui nous est promis. Aussi bien, personne dans cette affaire de réduction des horaires n’est malintentionné, à commencer par le gouvernement. Il faut bien faire des économies, il faut bien alléger des agendas surchargés, il faut bien équilibrer un bac où les sections scientifiques ont pris une importance démesurée, jusqu’à servir de simples filtres pour les élites gestionnaires. Mais justement : l’histoire montre aussi que les bonnes intentions ne suffisent pas. Ecartée de la terminale pour les sections les plus prestigieuses, l’histoire, par la force des choses, s’en trouvera déclassée. On comprendra qu’elle est seconde dans la formation des futurs responsables. Ainsi, la connaissance du passé passera-t-elle au second plan, alors même que ce savoir est essentiel au citoyen qui veut exercer sa liberté de penser. L’histoire s’estompera au profit de la mémoire, fragile et orientée, ou pis, au profit des catéchismes idéologiques qui réécrivent la genèse de nos sociétés pour le plus grand bénéfice des fanatiques et des hurluberlus sectaires. Ainsi, une réforme anodine peut-elle se changer en erreur majeure. Etrange faux pas pour un gouvernement attaché au débat sur l’identité nationale…
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Repères. Histoire en terminale S
«Les lycéens en S ne feront pas d’histoire en terminale, mais actuellement ils ne font pas non plus de français et je n’ai pas le sentiment qu’ils soient illettrés.»
Luc Chatel ministre de l’Education nationale, dimanche à l’AFP
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«Cela va rendre la filière S moins élitiste»
Richard Descoings, directeur de Sciences-Po, a inspiré la réforme menée par Luc Chatel
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L’Espagne à géographie variable
Sept manuels et sept versions de l’histoire ont cours au collège.
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«L’histoire va rejoindre les langues mortes»
Benjamin Stora, historien, a signé l’appel contre la suppression de l’histoire-géo en terminale
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Chatel casse la loi des séries
Le choix d’un rééquilibrage des filières au lycée, qui faisait l’unanimité sur le principe, lèse certaines disciplines comme l’histoire ou les SES.
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Manifestation contre la réforme du lycée prévue jeudi
Huit syndicats de l’Education nationale appellent à une mobilisation contre la réforme du lycée qui prévoit notamment de rendre optionnelle l’histoire-géographie en terminale S.
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Hirsch défend la suppression de l'histoire-géo en terminale S
Pour le haut commissaire à la Jeunesse, la réforme qui fera de l'histoire-géo une option en terminale scientifique se justifie parce qu'elle vise à rééquilibrer les filières.
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Le Figaro du 08/12/09
Histoire: le programme actuel maintenu
Le programme d'histoire-géographie étudié actuellement en terminale scientifique ne sera pas supprimé, mais reporté en première, a souligné aujourd'hui le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, lors de la séance des questions à l'Assemblée nationale.
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L'histoire en danger
Par Yves Thréard
L'Association des professeurs d'histoire et de géographie a raison d'être en colère. Le projet du gouvernement de sacrifier l'enseignement obligatoire de ces deux disciplines en terminale S est inopportun et maladroit.
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Le Monde.fr du 08/12/09
Rien vu...
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L’Humanité du 08/12/09
La bataille de l’intelligence
Éditorial de Jean-Paul Piérot
Dans quel cerveau a germé l’idée de supprimer une année d’enseignement de l’histoire et, dans le même mouvement de la géographie, du cursus scolaire ? Était-ce dans une préfecture où quelques notables de droite sont invités à discourir sur « l’identité nationale » ? Il semble que, dans ces réunions, ces beaux esprits philosophent, prennent de la hauteur, dans le style de ce député UMP exprimant ces interrogations métaphysiques dans un style ô combien relevé : « Ils vont nous envahir si on ne réagit pas. » Peut-être s’est-il trouvé un autre théoricien pour s’interroger gravement sur la contradiction entre la vision l’immigration qui serait facteur de troubles dans la société – telle que le posait une note préparatoire à ces débats – et quelques pages d’histoire qui rappellent le rôle des immigrés dans le développement du pays et la liberté… « Ces étrangers et nos frères pourtant » célébrés par Aragon. Il n’est pas exagéré de voir dans cette mesure annoncée par Luc Chatel un nouvel épisode, un impromptu de cette bataille idéologique visant à discréditer la pensée. La même note évoquait ces intellectuels rétifs à jouer le rôle que le pouvoir attend d’eux.
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Education : la fronde des IUFM se durcit
Signe d’une profonde inquiétude, les directeurs des instituts universitaires ont organisé, hier, une journée nationale de mobilisation contre le projet de réforme de la formation des maîtres. Inédit.
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Avec Luc Chatel, l’histoire-géo ne passe pas en terminale
La décision de rendre optionnelle l’histoire-géographie en terminale scientifique provoque une levée de boucliers chez les profs, chercheurs et universitaires. Présentée dans quatre jours, la réforme du lycée est de plus en plus contestée…
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Quand Sarko fait son beurre des violences scolaires
Cité en exemple par l’Élysée, un lycée du Val-de-Marne dénonce une exploitation politique de sa situation.
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Manifestation des professeurs d’économie
Quelques centaines d’enseignants ont manifesté mercredi dernier à Paris contre la réforme du lycée à l’appel de l’Association des professeurs de sciences économiques et sociales (Apses). D’après les textes, les élèves de seconde auront le choix entre des sciences économiques et sociales ou des « principes fondamentaux de l’économie et de la gestion », d’une heure trente chacun. Jusqu’à présent, 43 % des élèves de seconde suivaient un enseignement de sciences économiques et sociales (SES) de trois heures hebdomadaires. L’Apses craint « une dénaturation de l’enseignement des sciences sociales au lycée avec une marginalisation des sciences sociales autres que l’économie : la sociologie, la science politique, l’anthropologie ».
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ANNE JOLLET, DES CAHIERS D’HISTOIRE.
HISTORIENNE, RÉDACTRICE EN CHEF DES CAHIERS D HISTOIRE
Comment réagissez-vous à la suppression des cours d’histoire-géographie en terminale scientifique ?
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Le Parisien (certains articles payants) du 08/12/09
Suppression de l'histoire-géo : Descoings défend «sa» réforme
Le directeur de Sciences Po Richard Descoings, qui a inspiré la réforme du lycée, a estimé mardi sur France Info que les nombreuses personnes critiquant la suppression de l'histoire-géographie en classe de terminale S faisaient un «mauvais procès au gouvernement».
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La Croix du 08/12/09
Rien vu...
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Les échos (certains articles payants) du 08/12/09
Rien vu...
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20 minutes du 08/12/09
Les IUFM opposés à la réforme de la formation des maîtres
Les chefs eux-mêmes montent au créneau. Les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) se sont mobilisés hier, avec l'organisation de tables rondes et de conférences de presse, contre l'actuel projet gouvernemental de réforme de la formation des enseignants. Seulement, et c'est une première, ce sont les directeurs de ces établissements qui ont mené la bataille dans la quasi-totalité des trente-deux instituts. Cela révèle « une vraie coupure entre les directeurs et les ministères » de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur, selon leur instance représentative.
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Mobilisation contre la réforme du lycée jeudi
C'est ce jour-là qu'elle doit être validée par le Conseil supérieur de l'éducation (CSE)...
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Rue89 du 08/12/09
Prof et séropo, j'ai appris à pratiquer mon métier autrement
Trente ans après le début de l'épidémie, le VIH/sida reste en France une pathologie taboue, on est considéré comme le pestiféré, le lépreux d'autrefois. Ce qui m'oblige à témoigner sous un faux prénom pour me protéger (et protéger ma famille).
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Ouest-France du 08/12/09
Sa discipline en option ? Un historien s'indigne
«Priver des lycéens d'Histoire serait une grave erreur», estime Pierre Milza, l'un des initiateurs de la pétition contre le projet de Luc Chatel. Le ministre veut rendre la matière optionnelle en terminale scientifique.
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Le Journal du Dimanche du 08/12/09
Chatel: L'UMP fait des histoires
A la suite d'une tribune publiée dans le Journal du Dimanche, la suppression de l'Histoire pour la section scientifique des terminales, projetée dans le cadre de la réforme du Lycée, remue la classe politique. Plusieurs figures de la majorité expriment leur malaise dans les médias mardi.
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Histoire-Géo: Descoings défend la réforme
Alors que les voix se multiplient contre la suppression de l'enseignement obligatoire de l'histoire et la géographie en terminale scientifique, le directeur de Sciences-Po, Richard Descoings a estimé sur France Info que l'on faisait "un mauvais procès au gouvernement".
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Le Nouvel Obs Permanent du 08/12/09
Villepin combat pour l'histoire et la géographie en terminale S
Le directeur de Sciences-Po estime lui que ces attaques contre la réforme du lycée sont un "mauvais procès" fait au gouvernement. Pour Richard Descoings, "on n'arrive plus à former de scientifiques" en France.
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Moins d'histoire-géo au lycée : des critiques au sein de l'UMP
Alors que le ministre Luc Chatel estime que la disparition de l'histoire-géo des programmes de terminale S est "un bon compromis", des députés UMP demandent l'"annulation de la décision" qu'ils qualifient de "faute".
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L’Express.fr du 08/12/09
"Nous devons défendre ensemble la place de l'histoire au lycée"
Deux pétitions circulent sur Internet pour obtenir le maintien des cours d'histoire-géo en terminale S. Hubert Tison, co-secrétaire général de l'Association des professeurs d'histoire-géographie, est à l'origine de l'une d'entre elles. Entretien.
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Le Café Pédagogique du 08/12/09
L'histoire-géo monopolise le débat sur la réforme du lycée
Qu'est-ce qu'être français ? La réponse est simple : c'est être pour l'enseignement de l'histoire-géo en terminale S. Voilà la grande croisade qui réunit les Français. Du Front National au PCF, en passant par le PS, le Modem et des députés UMP, c'est à qui défend cet enseignement "pour transmettre les valeurs" (J Myard, Ump) ou "pour donner sens à la vie" (PRG). Comme en 14, cette Union Sacrée a sa traduction syndicale. Le Snes, FO, le SNCL, la CGT, le Snalc, Sud appellent à une journée de mobilisation le 10 décembre, jour de la réunion du CSE, contre la réforme du lycée.
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Qui sommes-nous ?
Le débat a été lancé dans un quasi silence, un énième épisode d’une politique gouvernementale évènementielle qui frôle une fois encore les limites de certaines valeurs, nos valeurs assurément communes, celles de la démocratie. Puis, progressivement des voix se sont élevées, des universitaires, des artistes, des politiques, de gauche et maintenant de droite, pour protester contre ce questionnement archaïque autour d’un thème que l’on pensait enterré avec les dernières traces inavouables d’un passé assombri de cadavres.
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Médiapart (accès payant) du 08/12/09
Rien vu...
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Une sélection dans les dépêches du 08/12/09
Réforme du lycée: l'UNL appelle à dépasser la question de l'histoire
L'UNL, première organisation lycéenne, a jugé mardi que le débat sur l'histoire dans le cadre de la réforme du lycée n'était "pas utile", tout en comprenant "l'inquiétude des historiens" liée selon elle à la politique "libérale" menée par le gouvernement depuis 2007 dans l'éducation.
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L'histoire en option en terminale S: "pas une catastrophe", selon la FCPE
La disposition de la réforme du lycée rendant optionnelle l'histoire en terminale S "n'est pas une catastrophe", car elle est "compensée" en classe de 1ère, a déclaré mardi à l'AFP Christiane Allain, secrétaire générale de la FCPE, première fédération de parents d'élèves.
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Réforme du lycée: FCPE, UNL et Fidl demandent des "précisions" à Chatel
La première fédération des parents d'élèves FCPE et les organisations lycéennes UNL et Fidl ont adressé une lettre au ministre de l'Education nationale Luc Chatel pour lui demander des "précisions" sur la réforme du lycée, qui "conditionneront leur appréciation" du texte.
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Histoire-géographie au lycée: Chatel tacle le PS et ses "petites histoires"
Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, a balayé mardi les critiques du Parti socialiste qui dénonce la disparition de l'histoire-géographie des disciplines obligatoires en terminale scientifique (S), lors de la séance des questions à l'Assemblée nationale.
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Le Sénat rétablit le crédit d'impôt pour le soutien scolaire à domicile
Le Sénat a rétabli lundi l'avantage fiscal dont bénéficient les personnes recourant à une entreprise de soutien scolaire pour des cours à domicile et qui avait été supprimé par l'Assemblée nationale en première lecture du projet de loi de finances pour 2010.
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La Peep n'est "pas gênée" que l'histoire devienne une option en terminale S
La fédération des parents d'élèves Peep a déclaré mardi que la réforme du lycée rendant optionnelle l'histoire en terminale S ne "menace pas l'enseignement des humanités", dénonçant le "corporatisme" des enseignants au détriment de "l'intérêt des élèves".
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