mercredi, décembre 09, 2009
Revue de presse du mercredi 9 décembre 2009
Concurrence et surenchère des disciplines – Une réforme peu lisible - Crucifix-
Concurrence et surenchère des disciplines
Luc Chatel, ministre de l'éducation, doit présenter les textes réglementaires de la réforme du lycée jeudi 10 décembre devant le Conseil supérieur de l'éducation, instance consultative. Dans cette dernière ligne droite, les disciplines montent au créneau pour défendre leurs horaires et leur apport spécifique. Comme le dit Louise Fessard, journaliste de Médiapart“ A ce jeu du «C'est qui qui criera le plus fort?», les professeurs d'histoire-géographie s'en tirent bien.”. Mais après l’ emballement médiatique, on parvient à entendre des paroles différentes.
Richard Descoings assure le service après-vente de son rapport qui a grandement inspiré la réforme du lycée. Dans une tribune du journal Le Monde il argumente en faveur de l’épreuve anticipée d’histoire-géographie en classe de Première S. Pour lui cela “présente trois avantages décisifs pour l'amélioration de notre lycée général”. D’abord parce que souvent les élèves de Terminale S concentrent leurs efforts sur les matières scientifiques au détriment de l’H-G, “Si, au contraire, une épreuve d'histoire-géographie est instituée à la fin de la classe de première, les lycéens auront la liberté d'esprit de s'intéresser à cette matière. Et ils y auront intérêt : celui de réussir particulièrement bien pour, dès la fin de la classe de première, se constituer des "points d'avance" avant les épreuves de fin de terminale. ”. Ensuite, cela permettra une spécialisation en Terminale au profit des études scientifiques. Enfin, dit-il parce que cela permet de revaloriser la série L . “A trop vouloir défendre l'histoire-géographie en terminale scientifique, ne risque-t-on pas de porter un coup fatal à la série littéraire ? ” conclut-il.
Décidemment, cette polémique sur l’histoire en Tle S inspire de nombreux auteurs. Dans Le Monde, il n’y a pas que la tribune de R.Descoings, il y a aussi celle de Jean-Baptiste Andre. Ce chercheur inverse la proposition et considère que “la priorité est la défense des matières scientifiques pour le public littéraire. ” Constatant la faiblesse des sciences dans les études littéraires, il affirme que “pour se situer dans le monde d'aujourd'hui, il est tout aussi important de comprendre les enjeux des sciences contemporaines que d'avoir une bonne culture historique, littéraire et artistique. ”.Rappelons que dans le même journal, il y a une semaine, on pouvait lire aussi un appel de représentants des sciences sociales où on pouvait lire ceci “si la culture scientifique et la culture des humanités sont bien indispensables aux lycéens de demain, ce qu'on appelle la "troisième culture", portée par les sciences sociales, l'est au moins tout autant, aussi bien dans la perspective de la préparation des élèves à l'orientation dans l'enseignement supérieur que dans une optique de culture générale. ”
Pour continuer la liste, on apprend que la Société française de Physique (SFP) et la Société chimique de France (SCF) ont regretté mercredi dans un communiqué "l'affaiblissement de la formation scientifique pour tous" que va entraîner, selon elles, la réforme du lycée, et demandent à être consultées sur ce projet. Elles ajoutent que "les sciences expérimentales comme la physique et la chimie nécessitent des travaux pratiques de qualité avec des groupes d'élèves aux effectifs réduits"
Une réforme peu lisible.
Le Monde qui constitue, ce mercredi, l’essentiel de la revue de presse propose aussi un “chat” avec Claude Lelièvre. L’historien de l’éducation (blogueur et chroniqueur à France Culture ) est interrogé par les internautes sur la réforme du lycée. Même s’il évoque beaucoup la question de l’histoire en Tle S, ses propos permettent de prendre de la hauteur et de voir la réforme de manière plus globale et dans une perspective historique.En réponse à une question, il admet que la filière ES est la grande perdante du rééquilibrage
Plus globalement, Il considère que “la réforme qui est envisagée, […] n'est pas suffisamment lisible pour que l'on en comprenne le sens, qui ne s'inscrit que dans un ensemble plus vaste : la liaison de la fin du secondaire et du début du supérieur, pour maximiser les chances et les réussites. ”. Il explique que “ nous sommes dans un pays où les passages d'un degré à un autre se font avec une grande brutalité, préjudiciable à des cursus plus continus et plus faciles. Exemple : on passe d'un seul coup d'un seul maître omnipotent dans le primaire à une multiplicité de professeurs de disciplines différentes dans le secondaire.[…] d'une certaine manière, la réforme proposée peut aller dans le sens d'une moins grande dispersion disciplinaire pour des filières plus spécifiques. On pourrait aller beaucoup plus dans ce sens de façon qu'on ménage une transition moins brutale entre la fin du secondaire et le début du supérieur, en agissant d'ailleurs des deux côtés, mais de façon opposée : moins de disciplines à la fin du secondaire, et un peu plus au début du supérieur ”. Mais répète t-il, cet objectif n’apparaît pas assez lisiblement dans la réforme actuelle.
Crucifix
Après l’Italie, c’est maintenant l’Espagne qui débat de la place du crucifix à l’école. Cette information est, évidemment à lire dans La Croix ( !) . C’est d’ailleurs une “réplique” (au sens qu’on lui donne pour les séismes) de l’affaire italienne. La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), saisie par une mère de famille finlandaise vivant en Italie, avait condamné début novembre l’Italie pour la présence de crucifix dans les salles de classe. Peu après, les députés du petit parti de gauche indépendantiste catalan ERC lancent une initiative parlementaire demandant au gouvernement Zapatero d’appliquer la jurisprudence de la CEDH sur le crucifix. Elle a été approuvée le 3 décembre dernier, en commission parlementaire, avec le soutien, entre autres, des députés du Parti socialiste.
Même si ce n’est pas dans les mêmes proportions qu’en Italie, les débats sont vifs. Certains se réfèrent à la tradition, les autres avancent que le pays est “aconfessionnel” et que l’école doit être un lieu neutre.
On le voit pour créer de la polémique en matière d’éducation, il n’y a pas que l’histoire… Chacun sa croix !
Bonne Lecture...
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Libération.fr du 09/12/09 (certains articles payants)
Comportements enfantins face aux dangers de la rue
Si tout va bien, un parent normalement constitué, après lecture de ce qui suit, n’enverra plus jamais son enfant chercher le pain au coin de la rue. Même en cas de grosse flemme. Car ce parent normalement constitué (donc un brin stressé) saura que sa progéniture, à qui il pense pourtant avoir inculqué les règles de base de la sécurité du piéton en ville, n’en a en réalité que faire. Et qu’il a même une tendance naturelle à se comporter de façon totalement irrationnelle face aux dangers - multiples - qui se présentent à lui dans la rue. Voilà ce que nous apprennent des études présentées lors d’un colloque sur le piéton organisé récemment à Lyon par l’Inrets (Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité)...
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Manifestation contre la réforme du lycée prévue jeudi
Huit syndicats de l’Education nationale appellent à une mobilisation contre la réforme du lycée qui prévoit notamment de rendre optionnelle l’histoire-géographie en terminale S.
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Le Figaro du 09/12/09
«Une terminale S qui forme les ingénieurs dont on a besoin»
La réforme du lycée voulue par Luc Chatel prévoit de réduire l'enseignement de l'histoire-géographie en terminale S à une option facultative. Inquiétudes, incompréhensions ou soutien, des internautes du figaro.fr s'interrogent : les filières doivent-elles se spécialiser ou se généraliser ?
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Le Monde.fr du 09/12/09
Pour l'épreuve d'histoire dès la classe de première, par Richard Descoings
Instituer une épreuve anticipée du baccalauréat d'histoire et géographie à la fin de la classe de première présente trois avantages décisifs pour l'amélioration de notre lycée général.
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La priorité est la défense des matières scientifiques pour le public littéraire, par Jean-Baptiste André
Dans un appel publié dans le Journal du dimanche, des historiens, soutenus par des artistes, des intellectuels et des hommes politiques, s'élèvent contre la suppression des cours d'histoire-géographie pour les élèves de terminale scientifique. Ne perdant, bien entendu, jamais une occasion de s'engager avec clairvoyance sur des sujets vitaux, le Parti socialiste s'est empressé de les soutenir.
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L'étrange silence des géographes, par Laurent Cailly
Vingt universitaires prestigieux ont lancé, dans Le Journal du dimanche du 6 décembre, un appel contre la suppression de l'histoire-géographie en classe de terminale scientifique prévue par la réforme du ministre de l'éducation nationale, Luc Chatel. Dans la liste figurent principalement des historiens, rejoints par des philosophes, des artistes, un démographe et même un psychiatre, mais aucun géographe : ce silence est pour le moins troublant.
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Appel pour le maintien de l'enseignement historique en terminale scientifique
Le projet de suppression de l'histoire et de la géographie des terminales scientifiques aboutit à décapiter ce qui a fait la force de l'enseignement secondaire. L'objectif de l'enseignement secondaire étalé sur sept ans était de préparer des adolescents à exercer plus tard des fonctions pivots dans la société grâce à une formation générale, c'est-à-dire ni rudimentaire ni enfermée dans une spécialisation décrochée de l'enseignement secondaire.
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Les IUFM mobilisés contre la réforme de leurs cursus
La réforme de la formation des enseignants, voulu par la ministre de la recherche, Valérie Pécresse, et par le ministre de l'éducation nationale, Luc Chatel, n'en finit pas de semer le trouble dans les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM). La quasi-totalité des 32 IUFM de France étaient mobilisés contre le projet, lundi 7 décembre, à l'initiative de leurs directeurs.
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Lycée : "la réforme est peu lisible"
L'histoire-géographie sera supprimée en terminale S afin que les élèves se concentrent plus sur les matières scientifiques. "Renforcer les coefficients des matières scientifiques au baccalauréat aurait été sûrement mieux compris", explique, dans un chat au Monde.fr, Claude Lelièvre, historien de l'éducation, professeur à Paris-V.
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L’Humanité du 09/12/09
Avec Luc Chatel, l’histoire-géo ne passe pas en terminale
La décision de rendre optionnelle l’histoire-géographie en terminale scientifique provoque une levée de boucliers chez les profs, chercheurs et universitaires. Présentée dans quatre jours, la réforme du lycée est de plus en plus contestée…
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La fronde des IUFM se durcit
Signe d’une profonde inquiétude, les directeurs des instituts universitaires ont organisé, hier, une journée nationale de mobilisation contre le projet de réforme de la formation des maîtres. Inédit.
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Le Parisien (certains articles payants) du 09/12/09
Les futurs maîtres emménagent à reculons
Hier, 250 étudiants de l’Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) d’Antony ont rejoint leurs nouveaux locaux de Gennevilliers. Un déménagement contesté.
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Beauvais : violente altercation entre lycéens
Le ton est sérieusement monté, mardi à la mi-journée, entre plusieurs jeunes du lycée Corot de Beauvais (Oise). Selon plusieurs témoignages, une bagarre a éclaté entre deux bandes rivales, devant la grille de l'établissement, au moment de la sortie du midi.
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La Croix du 09/12/09
L’Espagne débat de la place du crucifix à l’école
Une initiative parlementaire demande que le gouvernement espagnol prenne des mesures pour faire retirer les croix des écoles publiques, ce qui soulève une nouvelle querelle dans ce pays de tradition catholique
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Partout dans le monde, la place des grands-parents évolue
Universelle, la grand-parentalité reste fondamentale alors même qu’elle se transforme en profondeur
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Les échos (certains articles payants) du 09/12/09
Histoire supprimée en terminale S : Chatel défend sa réforme
Luc Chatel contre-attaque. Le ministre de l'Education nationale a défendu hier à l'Assemblée nationale sa réforme du lycée, dont l'un des éléments, la suppression de l'enseignement de l'histoire-géographie en terminale S, suscite une violente polémique depuis la publication ce week-end d'une pétition signée par vingt universitaires de renom opposés à la mesure.
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20 minutes du 09/12/09
l'option histoire-géo en S gagne quelques soutiens
Dans le concert de critiques, trois voix s'élèvent. Hier, le directeur de Sciences -Po Richard Descoings, qui a inspiré la réforme du lycée, a commenté sur France Info le projet de transformer l'histoire-géographie en option pour les élèves de terminale S. Il a jugé que les nombreuses critiques adressées à ce projet étaient « un mauvais procès au gouvernement ». Plus étonnant, la FCPE, première fédération de parents d'élèves (à gauche) a rejoint sa comparse de droite, la Peep, estimant que cette réforme n'était pas une « catastrophe ».
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Rue89 du 09/12/09
L'économie aussi a besoin de l'histoire et la géographie !
L'appel d'une vingtaine d'universitaires contre le projet de suppression des enseignements d'histoire et géographie en Terminale S a animé l'actualité de ce week-end. Il n'est pas inutile de souligner en contrepoint combien une bonne compréhension des facteurs historiques et géographiques est indispensable à toute réflexion économique sérieuse.
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Ouest-France du 09/12/09
Rien vu...
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Le Journal du Dimanche du 09/12/09
Chatel: L'UMP fait des histoires
A la suite d'une tribune publiée dans le Journal du Dimanche, la suppression de l'Histoire pour la section scientifique des terminales, projetée dans le cadre de la réforme du Lycée, remue la classe politique. Plusieurs figures de la majorité expriment leur malaise dans les médias mardi.
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Le Nouvel Obs Permanent du 09/12/09
Mauvais procès (Educobs)
C'est fou ce qu'on aime la polémique chez nous...Tout est prétexte à manifester son humeur. Depuis quelques jours, l'annonce de la suppression de l'histoire-géo en terminale S au lycée fait l'objet de débats enflammés. "La connaissance du passé passera au second plan", écrit Laurent Joffrin dans Libé. "L'histoire va rejoindre les langues mortes", déclare l'historien Benjamin Stora. Stéphane Guillon ricane des futurs pilotes de ligne passés par la terminale S, qui confondront Barcelone et Bangkok. Forcément, ils n'auront pas fait de géographie en terminale...La charge confine au ridicule!
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L’Express.fr du 09/12/09
Rien vu...
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Le Café Pédagogique du 09/12/09
Parents et lycéens en soutien critique à la réforme du lycée
"Les lycéens ne sont pas intéressés par les débats purement disciplinaires". Ces propos de l'UNL illustrent la position prise par les deux mouvements lycéens à un moment particulièrement critique pour la réforme de Luc Chatel.
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Quel avenir pour Caroline ?
Chacun jugera si cela a à voir avec la réforme du lycée. Ce matin je vous parle d'une élève de seconde, Caroline. C'est de loin la meilleure élève de "ma" classe. Une jeune file travailleuse, qui comprend vite, sait repérer ce qu'on attend d'elle, participe de façon pertinente et efficace. D'ailleurs il faut bien dire qu'elle est dans mon lycée par hasard. Elle tranche sur le niveau moyen de l'établissement. Un bel avenir scolaire semble l'attendre et c'est ce que j'ai voulu expliquer à sa mère quand je l'ai reçue en fin de trimestre.
Mais patatras ! Quand je parle à sa mère études longues et classe prépa, elle rétorque qu'elle n'a pas les moyens de les payer. Parce que les études supérieures ne sont gratuites que sur le papier.
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Médiapart (accès payant) du 09/12/09
Histoire-géo en terminale S, une revendication «élitiste»
Histoire-géographie: disparition d'un enseignement obligatoire en terminale S
Depuis la publication dans le Journal du dimanche du 6 décembre d'une pétition d'universitaires qui «s'insurgent» contre la disparition prévue des cours d'histoire-géographie obligatoires en terminale S, la matière monopolise le débat sur la réforme du lycée. Certes, l'enseignement d'histoire-géographie n'est plus obligatoire en terminale mais «ce programme sera désormais vu en classe de première, où le nombre d'heures d'enseignement de la matière va passer de 2h30 à 4 heures», répond dans Le Figaro le ministre de l'éducation, Luc Chatel.
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Réforme du lycée: les disciplines montent au créneau
Luc Chatel, ministre de l'éducation, doit présenter les textes réglementaires de la réforme du lycée jeudi 10 décembre devant le Conseil supérieur de l'éducation, instance consultative. Dans cette dernière ligne droite, les divers lobbies disciplinaires montent au créneau pour défendre leurs horaires, sérieusement rabotés par la réforme. Les délégations se succèdent au cabinet du ministre de l'éducation. A ce jeu du «C'est qui qui criera le plus fort?», les professeurs d'histoire-géographie s'en tirent bien. La pétition, dans laquelle vingt universitaires de renom s'insurgent contre la disparition prévue des cours obligatoires d'histoire-géographie en terminale S, a monopolisé depuis sa publication le 6 décembre tout le débat sur la réforme du lycée.
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Une sélection dans les dépêches du 09/12/09
Critiques des physiciens et chimistes sur la réforme du lycée
La Société française de Physique (SFP) et la Société chimique de France (SCF) ont regretté mercredi dans un communiqué "l'affaiblissement de la formation scientifique pour tous" que va entraîner, selon elles, la réforme du lycée, et demandent à être consultées sur ce projet.
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Fin de l'histoire en Terminale S: Juppé "très réservé", il faut "rediscuter"
L'ancien Premier ministre Alain Juppé (UMP) s'est dit mercredi "très réservé" sur la réforme visant à supprimer l'enseignement de l'histoire en Terminale S jugeant qu'il faut en "rediscuter".
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Nouvelle vague de plaintes de parents d'élèves contre le fichier Base élèves
Plusieurs centaines de parents d'élèves devaient mercredi à travers toute la France déposer des plaintes contre X concernant le fichier "Base élèves", qui porte selon eux atteinte aux droits de l'Homme et de l'enfant, selon le Collectif national de résistance à cette base de données.
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M. Soubie : la polémique sur l'histoire-géo "n'est pas une bonne querelle"
Raymond Soubie, conseiller social de Nicolas Sarkozy, a estimé que la vive polémique sur les deux heures et demie d'histoire-géographie que le gouvernement projette de supprimer en terminale S tout en rajoutant des cours en 1ère, n'était "pas une bonne querelle".
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Paillé (UMP) défend la réforme du lycée, ne comprend pas la polémique
Dominique Paillé, porte-parole adjoint de l'UMP, a défendu mardi la réforme du lycée portée par le ministre de l'Education, Luc Chatel, la qualifiant d'"extrêmement équilibrée", et dit ne pas comprendre la vive polémique sur l'enseignement de l'histoire-géographie.
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Histoire-géographie au lycée: "l'humanisme ne peut pas être une option"
Les députés PRG ont dénoncé mardi la disparition de l'histoire-géographie des disciplines obligatoires en terminale scientifique (S) en estimant que "l'humanisme ne peut pas être une option".
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Principal agressé à Strasbourg: six mois ferme pour un parent d'élève
Un père de famille a été condamné à six mois de prison ferme, mais laissé en liberté, pour avoir frappé le principal d'un collège strasbourgeois, à la suite de l'exclusion temporaire de son fils, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
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