Entre les murs
Le film (qui sort en salles ce mercredi 24) fait l'actualité. Libération fait sa Une avec Laurent Cantet qui est l'invité d'honneur du journal. Ayant moi-même vu le film en avant-première et émis quelques critiques, j'ai trouvé la lecture du débat entre le réalisateur et deux profs de français particulièrement intéressante . Cet échange permet à Cantet de revenir sur plusieurs critiques récurrentes et d'essayer de les dépasser. Il rappelle qu'il s'agit avant tout de cinéma . “Je conçois que le film donne une impression de réalité. C'est ce que l'on a cherché. Néanmoins, jamais je n'ai pu imaginer qu'un spectateur puisse penser qu'une telle densité d'événements arrive dans les cinq minutes que dure une séquence. Pour moi, il y avait forcément intervention d'un scénariste. Cette confusion m'a beaucoup surpris.”. Il semble plus gêné sur la question du langage quand une des enseignantes lui fait remarquer qu'on pouvait aller plus loin sur la question de la norme langagière. Pour lui, son héros “essaie de ménager des plages où le dialogue peut avoir lieu. Et il accepte un niveau de langage qui va l'autoriser.”.
Autre débat, celui sur le réalisme du film et la question de la “récupération” du film. Quand on lui fait remarquer que certaines scènes sont irréalistes, il répond “C'est un problème de formation du spectateur. Peut-être n'avez-vous pas vu le film comme j'espère, on le voit, et comme beaucoup le voient. Comme un film, pas comme un documentaire.”. Enfin, sur la récupération, s'il admet le risque, il pense que le film montre la complexité d'un système, “donc on ne sait plus par quel bout le prendre pour le récupérer. On peut dire que cette classe donne un portrait dévalorisant de l'école, mais on peut aussi dire que ces gamins sont vachement intelligents. On peut dire, c'est un lieu génial parce que l'on échange énormément. Et on peut également dire : «Attention, l'école est un lieu d'exclusion.»”.
Plus que le film, lui même c'est en effet l'usage qui peut en être fait qui est problématique. C'est ce qui a conduit Philippe Meirieu à adopter une position très tranchée considérant même que ce film pouvait être dangereux si on faisait du professeur héros le modèle d'une "pédagogie de la réussite des élèves difficiles". Dans 20 minutes, une prof de Français, fait entendre une critique encore plus radicale. Selon elle, le film n'est pas réaliste et surtout elle critique François Bégaudeau qui “se fait le porte-parole de l'Education nationale et veut donner des leçons aux autres enseignants alors que lui-même n'enseigne plus.”. En tout cas, un film qui ne laisse pas indifférent...
Laissons le dernier mot à Laurent Cantet dans une interview donnée à l'AFP“Quand on fait un film aussi en prise avec l'une des questions les plus débattues de notre société, on s'attend forcément à ce qu'il soit suivi de beaucoup de discussions, voire de polémiques", dit-il."Mais on ne peut pas l'éviter", poursuit Cantet, ajoutant : "Et c'est tant mieux...”
En tout cas le débat se poursuit sur le site des Cahiers Pédagogiques qui consacre un dossier thématique aux réactions que suscite ce film
”Xavier Darcos, une rentrée zélée avec une mention bourdes”
C'est le titre d'un article paru dans Libération samedi 20 septembre. On y revient sur le fait que le ministre a été pris à son propre jeu : “, il enchaîne les annonces et occupe les médias au point de commettre des bourdes ”. La journaliste dresse la longue liste des annonces (impressionnante !) faites depuis la fin août. Combien resteront dans quelques mois ? Combien ont été prises dans la concertation et sans précipitation ?
Le problème c'est que tout cela se fait sans grande réaction de l'opposition.
“La gauche a-t-elle lâché l'école ?”, c'est la question que pose Christine Garin, journaliste du Monde dans l'édition de samedi. Face au pilonnage médiatique de Xavier Darcos, l'opposition est inaudible. Seul Jack Lang semble se préoccuper de l'école et reproche d'ailleurs à la gauche de s'être “endormie”. Christine Garin relève que parmi les “21 contributions publiées en vue du congrès de Reims, on ne voit pas se dessiner le projet susceptible de remobiliser les enseignants autour d'un parti dont ils se sont éloignés.”.
"Comment poursuivre le mouvement de démocratisation de l'enseignement tout en maintenant un système de fabrication des élites ? Voilà le défi que les socialistes auront à relever et sur lequel ils devraient travailler aujourd'hui", résume Olivier Ferrand, directeur de la fondation Terra Nova.
On a déjà parlé ici même de Tokio Hotel et du succès de ce groupe allemand qui influe sur l'enseignement de la langue.
Ouest France nous apprend qu'une professeure nantaise vient de publier un dictionnaire pour les fans..“Notre matière bat toujours de l'aile en France, répond-t-elle au journal régional, alors on mise sur cette motivation incroyable des jeunes français. Avant Tokio Hotel, les seuls mots, véhiculés par le cinéma, la télé, que nos élèves pouvaient dire au premier cours étaient guerriers. C'était Achtung (attention), Papier bitte (papiers, s'il-vous-plaît), Hitler. Maintenant, la jeune génération sait dire Zimmer (pièce ou chambre, grâce au 2e album de Tokio Hotel, Zimmer 483) ou Ich bin da (je suis là, extrait de la chanson An deiner Seite, à tes côtés).”
Auf Wiedersehen und...Bonne Lecture...
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Libération du 22/09/08
«On a l’impression que l’école est une boîte noire»
Laurent Cantet, le réalisateur d’Entre les murs, était le rédacteur en chef invité de Libération dimanche. Il est confronté à Valérie Sultan (professeur de français au collège Rosa-Parks de Gentilly) et Nicolas Morvan (professeur de français au collège Jean-Lurçat de Ris-Orangis). Un débat animé par Gérard Lefort et Véronique Soulé.
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Le film qui secoue l’école
On reproche suffisamment au cinéma français de ne s’intéresser qu’aux tourments existentiels de jeunes bourgeois du VIIe arrondissement taraudés par le vide pour ne pas louer Entre les murs
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«J’ai fait un film, pas un documentaire»
Laurent Cantet et deux professeurs de français confrontent leurs expériences et leur vision de l’école.
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Captation d’énergie scolaire
Le film de Cantet aurait pu être ennuyeux. Il est puissant et hypnotique.
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L’éducation nationale sans caricature
Mixité sociale, réforme des programmes… «Entre les murs» est très proche des débats actuels.
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Éditorial
Collectif
LAURENT JOFFRIN
D’abord rendre hommage aux profs : ils sont les hussards frêles de la République, héros incertains mais d’un crâne courage. Entre les murs divisera l’opinion. Mais il la réunira d’abord autour de cette gratitude. Dans cette société de l’inégalité, les enseignants montent en ligne tous les matins pour affronter la fracture sociale en échange d’un salaire que n’importe quel financier tiendrait pour un simple pourboire. Certains touchent des millions pour abîmer le monde, d’autres à peine plus que le Smic pour le réparer…
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Iconoclasse
François Bégaudeau. L’écrivain de 37 ans, ex-prof de français popularisé par «Entre les murs», se profile en franc-tireur stylé, quitte à énerver.
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Laurent Cantet à Libé: le making of
Le réalisateur Laurent Cantet était dans les locaux de Libération dimanche pour participer à la conférence de rédaction et à la confection du journal. Une journée en images.
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Accusé de violence envers un élève, un prof se suicide
Il a été retrouvé vendredi, pendu à son domicile. Après avoir été gardé à vue quelques heures, la veille. Un syndicat enseignant dénonce la «disproportion» des moyens mis en œuvre par la police.
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Xavier Darcos, une rentrée zélée avec une mention bourdes
Depuis fin août, le ministre de l'Education a enchaîné à l’excès les annonces.
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Tensions autour du lycée
La réforme du lycée, qui s’annonçait comme un sujet largement consensuel, suscite des tensions
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Un livre pour enfants très «marqué» (blog)
Nous sommes libraires. Notre métier est donc, par définition, de vendre des livres. Une fois cela posé, il est bon quand même de se poser quelques questions sur notre démarche. Il y a, en effet, certains livres qui demandent un temps de réflexion avant de les mettre en vente. […]Jeux d’image paru dernièrement aux éditions Circonflexe fait incontestablement partie de ces ouvrages qui nécessitent une réflexion. Avant de le mettre en rayon, avant de le proposer à mes clients et de le vendre tout simplement, j’ai cru bon d’en discuter avec mes collègues pour voir quelles étaient leurs réactions. Celles-ci sont variées et montrent toute l’ambiguïté de certaines décisions.Pour résumer, en quelques mots, le principe de ce livre, Jeux d’image est un livre à spirale avec quatre entrées possibles que l’enfant peut tourner à son gré (type de méli mélo). Chaque partie correspond à un style de représentation différente : la photo, le dessin au trait, l’illustration jeunesse, et le logo.[…] Le problème survient quand on arrive aux logos. En effet, les images utilisées sont celles de grandes marques françaises et internationales. Cela pourrait encore aller si on n’utilisait que les logos mais pour la plupart d’entre elles le nom de la marque fait partie du logo lui-même. Voilà donc que s’affichent dans un livre pour la jeunesse les marques Peugeot, Sheba, Lacoste, Petit Bateau ou autres Nestlé !
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Le Figaro du 22/09/08
Un prof accusé de violences se suicide
Un professeur d'un collège de l'Aisne, placé quelques heures jeudi en garde à vue à la suite d'une plainte d'un de ses élèves qui l'accusait de lui avoir donné un coup de poing, a été retrouvé pendu à son domicile hier.
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Le Monde daté du 22/09/08
Le PS et les enseignants, la désillusion, par Christine Garin
La gauche a-t-elle lâché l'école ? Obnubilés par leur prochain congrès, à Reims en novembre, les socialistes n'ont pas vu passer la rentrée scolaire traditionnellement propice aux retrouvailles entre leur parti et le monde enseignant. A l'inverse, dans le camp d'en face, on fait preuve d'un bel appétit sur le sujet. Pour s'en tenir aux questions de fond, la suppression des cours du samedi et la refonte des programmes du primaire se sont ajoutées, à cette rentrée, à une avalanche de réformes annoncées ou mises en oeuvre depuis un an. Parmi les principales, l'instauration d'un "service minimum" dans les écoles les jours de grève, la suppression des instituts de formation des maîtres (IUFM) et celle, progressive, de la carte scolaire.[…]
Face à ce pilonnage en règle, les socialistes sont à la peine. Inaudibles lorsqu'ils répliquent - souvent avec un temps de retard -, ils semblent avoir déserté une de leurs terres de mission. Cela n'a pas échappé à l'ancien ministre de l'éducation nationale, le socialiste Jack Lang, en délicatesse avec le PS, qui s'est dépêché d'adresser une "lettre ouverte" à M. Darcos (L'Ecole abandonnée, Calmann-Lévy, 134 p., 8 €). Il y accuse la gauche "de s'être endormie" et d'avoir "oublié que l'école était au coeur de ses engagements".
Les socialistes n'ont pas sérieusement réfléchi à la question scolaire depuis la loi d'orientation de 1989 votée sous le gouvernement de Michel Rocard et sous l'égide de Lionel Jospin, alors ministre de l'éducation nationale, après un dur bras de fer avec les syndicats d'enseignants. La loi de 1989 ambitionnait de faire de l'école un outil majeur de réduction des inégalités sociales. "La gauche, pour la première fois, a été forcée de reconnaître qu'à elle seule l'école ne pouvait pas grand-chose. Du coup, elle a cessé d'assumer ses propres réformes et n'a plus rien proposé", analyse aujourd'hui Luc Bérille, secrétaire général du Syndicat des enseignants (SE), minoritaire et proche du PS.
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Suicide d'un enseignant après avoir été placé en garde à vue
Un professeur d'un collège de l'Aisne s'est suicidé chez lui, vendredi 19 septembre, quelques heures après avoir été placé brièvement en garde à vue jeudi à la suite d'une plainte d'un élève qui l'accusait de lui avoir donné un coup de poing, ce que l'enseignant avait toujours nié.
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L’Humanité du 22/09/08 (un jour de retard)
La délinquance des mineurs a bon dos
Michèle Alliot-Marie agite le péril jeune pour sauver l’essentiel du décret instaurant le fichier de police controversé. Au prix d’un argumentaire parfaitement mensonger.
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Le Parisien du 22/09/08
Aisne : suicide d'un professeur accusé de violences
Un professeur d'un collège de l'Aisne, placé quelques heures jeudi en garde à vue à la suite d'une plainte d'un de ses élèves qui l'accusait de lui avoir donné un coup de poing, a été retrouvé pendu à son domicile vendredi, a-t-on appris samedi de source proche de l'enquête.
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Darcos défend l'Europe dans une école de Villiers-le-Bel
Un an après les émeutes de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos a saisi l'occasion de la journée «l'Europe à l'école», pour se rendre dans deux écoles de la commune aujourd'hui vendredi. L'une d'elles, la maternelle Louis-Jouvet, avait été incendiée le 27 novembre, après les violences qui ont suivi une collision entre une voiture de police et une mini-moto, provoquant la mort de deux jeunes à Villiers-le-Bel.
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La Croix du 22/09/08
Rien vu...
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Les échos du 22/09/08
Rien vu...
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20 minutes du 22/09/08
«François Bégaudeau se fait le porte-parole de l'Education nationale alors qu'il n'enseigne plus»
«Entre les murs», le film de Laurent Cantet sur l’école en ZEP (Zone d’Education Prioritaire), ne sort que mercredi dans les salles de cinéma et bénéficie depuis plusieurs mois d’un buzz plutôt porteur. C’était compter sans l’agacement que le film suscite auprès de certains enseignants. Véronique Bouzou, professeure de français en ZEP, comme le personnage de François Bégaudeau dans le film, compte parmi ceux qui se sont hérissés à la vue de cette réalisation, palmée d’or à Cannes et sélectionné pour les Oscars 2009. Pour se faire entendre, elle publie «L’Ecole dans les griffes du septième art» (éd. de Paris), un essai dans lequel elle s’attelle à montrer que le cinéma tord les valeurs de l’Education nationale. Interview
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Etre trop heureux peut rendre les enfants neuneus
Faire plaisir aux petits n’est pas le meilleur moyen de stimuler leurs performances intellectuelles. C’est du moins la conclusion d’une équipe anglo-américaine de psychologues qui a comparé les résultats de plusieurs groupes d’enfants plus ou moins joyeux.
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Suicide d'un enseignant dans un collège de l'Aisne
Un professeur d'un collège de l'Aisne a été brièvement placé en garde à vue jeudi après une plainte d'un de ses élèves qui l'a accusé de lui avoir donné «un coup de poing», a indiqué ce vendredi auprès du parquet de Laon à l'AFP.
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Rue89 du 22/09/08
La blogosphère en remet une couche sur Darcos
Les enseignants de maternelle ? Des titulaires de bac +5 dont la fonction est « essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches ». Prononcées le 3 juillet devant la commission des Finances du Sénat, ces paroles du ministre de l’Education nationale n’ont d’abord fait réagir que les intéressés. Depuis la mise en ligne de la vidéo sur Rue89, la blogosphère s’enflamme.
Et au-delà des jeux de mots (« Darcos en tient une couche »), un débat de fond s’ouvre sur la politique de la petite enfance. Pour le ministre, en effet, la petite section de maternelle ne doit pas devenir « la variable d’ajustement des communes en fonction de leur capacité ou pas d’accueillir des enfants, ou d’éviter de fermer une classe, parce que c’est souvent pour ne pas fermer une classe qu’on pré-scolarise tout petit ».
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Ficher les mineurs dès treize ans : nécessité ou stratégie ?
Dans la nouvelle mouture du fichier Edvige, les jeunes seront toujours fichés dès treize ans. Leur délinquance baisse pourtant.
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La Catalogne intègre les enfants immigrés… en les séparant
Leur nom fleure si bon la convivialité qu’on pourrait se croire dans un centre de vacances. Mais les « espaces de bienvenue éducative » (EBE) mis en place par la Catalogne pour accueillir les enfants étrangers hors du système scolaire ne sont pas du goût de tous.
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Ouest-France du 22/09/08
« Le jeu vidéo rassemble les familles »
Le Festival du jeu vidéo se tient le week-end prochain, à Paris. L'occasion d'analyser l'actualité vidéo-ludique avec Jonathan Dumont, son président.
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Tokio Hotel rend les cours d'allemand sympa
Le succès du groupe allemand influe sur l'enseignement de la langue. Une professeure nantaise publie un dictionnaire pour les fans.
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Bilinguisme à Lorient : les écoliers adressent une vidéo à Carla Bruni
Cette vidéo a été transmise à Carla Bruni-Sarkozy, épouse du Président de la République, hier en début de soirée par le Collectif pour le bilinguisme à l’école publique de Lorient-Merville. Elle est en ligne sur le portail « oui au breton - Ya d’ar brezhoneg » qui soutient les parents demandeurs d’une nouvelle classe en breton.
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« Certaines mères sont obligées d'arrêter de travailler »
Alain Rossignol.
Maire - sensibilité de gauche - de Coudray (Mayenne), il est aussi directeur d'école et vice-président de la communauté de communes de Château-Gontier.
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La « prépa » maternelle dès 2 ans fait école
Le ministre Darcos a relancé, cette semaine, le débat sur la scolarisation des tout-petits. Des parents s'inquiètent. Des maires innovent. Exemples dans le Morbihan et la Mayenne.
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Le Journal du Dimanche du 22/09/08
Université: La prime au mérite
La méritocratie est en marche. Après les médailles, relancées par Xavier Darcos, ce sont maintenant les bacheliers ayant frôlé l'excellence et dont les parents ne sont pas imposables, qui se verront accompagnés à hauteur de 200 euros par mois lors de leur licence. Valérie Pécresse, la ministre de l'Enseignement supérieur, l'a annoncé jeudi sur les ondes de France-Info.
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Le Nouvel Obs Permanent du 22/09/08
Le Syndicat des enseignants dénonce des gardes à vue "systématiques"
"Nous souhaitons qu'on cesse ces pratiques systématiques qui placent les enseignants dans une situation de fragilité" s'indigne le Syndicat des enseignants Unsa, après qu'un enseignant, placé en garde à vue à la suite d'une plainte déposée par un élève de 15 ans, se soit pendu.
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L’Express.fr du 22/09/08
Entre les murs bien parti pour les Oscars
Le film de Laurent Cantet, palme d'or à Cannes, en salles mercredi 24 septembre, est proposé à l'Académie des Oscars pour figurer dans la sélection du meilleur film étranger.
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Le Snes dénonce la "disproportion" des moyens policiers
Le Syndicat des enseignants Unsa a dénoncé dimanche le recours "systématique" à la garde à vue pour les professeurs mis en cause par des élèves, après le suicide d'un enseignant dans l'Aisne.
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Un professeur accusé de violences se suicide au lendemain de sa garde à vue
Un professeur d'un collège de l'Aisne, placé quelques heures jeudi en garde à vue à la suite d'une plainte d'un de ses élèves qui l'accusait de lui avoir donné un coup de poing, a été retrouvé pendu à son domicile vendredi, a-t-on appris samedi de source proche de l'enquête.
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Une sélection dans les dépêches du 22/09/08
M. Meirieu met en garde contre la pédagogie du professeur d'"Entre les murs"
Le pédagogue Philippe Meirieu, professeur à l'université Lyon II, défend "l'oeuvre d'art" que constitue "Entre les murs" mais prévient qu'il ne faut pas voir dans le professeur héros le modèle d'une "pédagogie de la réussite des élèves difficiles", dans un entretien à l'AFP.
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"Entre les murs", exubérance des échanges en milieu scolaire
Festival de joutes oratoires, "Entre les murs", Palme d'or et peut-être bientôt en lice pour l'Oscar du meilleur film étranger, restitue avec un naturel saisissant et une irrésistible drôlerie, le quotidien d'une classe de français dans un collège d'un quartier populaire de Paris.
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"Entre les murs", "humain" ou "caricatural", fait débattre les enseignants
"Humain", "intéressant", trop "caricatural", quatre enseignants et un proviseur, qui ont déjà pu voir "Entre les murs", la Palme d'Or de Cannes 2008, livrent à l'AFP leurs réactions sur un film qui devrait de toute façon "susciter" des débats sur l'Ecole.
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Laurent Cantet : "le collège est l'un des derniers lieux de mixité"
"Le collège est l'un des derniers lieux où la mixité peut trouver sa place, et j'avais envie de la filmer", affirme dans un entretien à l'AFP le cinéaste Laurent Cantet, auteur d'"Entre les murs", la Palme d'or 2008, qui sort mercredi dans quelque 360 salles en France.
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François Bégaudeau: "tchatche" ton bac d'abord !
Ecrivain, enseignant, journaliste et ex-chanteur du groupe punk Zabriskie Point, le Vendéen François Bégaudeau, 37 ans, redoute le débat polémique sur l'école que ne manquera pas de provoquer son personnage de prof "tchatcheur" dans "Entre les murs", inspiré de son roman.
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"Entre les murs": après le livre et le film, la pièce de théâtre
Le livre "Entre les murs" poursuit son fabuleux destin, car après avoir été un succès de librairie, transposé à l'écran dans le film éponyme de Laurent Cantet sacré à Cannes et vendu dans le monde entier, il sera bientôt adapté au théâtre.
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La démocratie a besoin de la presse.
La presse a besoin de lecteurs pour vivre…
Lisez et achetez des journaux !
lundi, septembre 22, 2008
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1 commentaire:
Et vivement les médailles au baccalauréat... blogaldoo.blogspot.com
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