mardi, janvier 05, 2010
Revue de presse du mardi 5 janvier 2010
La polémique des quotas – des mots et des maux – orthographe, anglais et mots interdits -
La polémique des quotas
La polémique du jour porte donc sur ce que révélait Le Monde hier en évoquant la déclaration de la Conférence des grandes écoles (CGE) . Les patrons des grandes écoles s’opposent à l’idée que l’on impose 30% de boursiers parmi leurs élèves. Leur crainte était que cela fasse “baisser le niveau”. Depuis la polémique enfle et après Richard Descoings, le patron de Sciences Po Paris qui qualifiait dans le même journal, cette décision d’“anti-sociale” plusieurs membres du gouvernement ont dit leur désaccord avec cette position. Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, s'est dit «profondément choqué» en rappelant qu’un enfant d’ouvrier avait cinq fois moins de chance qu’un enfant de cadre d’aller en grande école. Même indignation du côté du commissaire à la Diversité et à l’Egalité des chances, Yazid Sabeg . Pour Valérie Pécresse, «la question de l’ouverture sociale des grandes écoles mérite d’être posée». Celle-ci, selon elle, doit se faire à travers une réforme dans le contenu des concours. La ministre, qui avait lancé initialement ce chiffre de 30%, s’est adressée directement aux grandes écoles : «Soyez volontaristes. N’ayez pas peur d’essayer de changer vos méthodes de recrutement pour prendre des jeunes qui ont de la valeur». Toutefois on tempère en rappelant qu’il ne s’agit pas de quotas mais d’objectifs.
Interviewé par Libération, Pierre Tapie, le directeur de l’ESSEC et président de la CGE, explique sa position. Pour lui, “La tradition méritocratique n’est pas une tradition de quotas”. Il préconise une politique volontariste dans le recrutement des prépas mais refuse l’idée d’un accès distinct et d’un changement du concours. On trouve la même position chez le proviseur d’Henri IV interrogé par La Croix.
Selon les statistiques officielles, toutes formations confondues, 30 % des étudiants ont des parents cadres supérieurs ou exerçant une profession intellectuelle supérieure, 10,7 % sont enfants d’ouvriers. Mais si on compte 11,9% d’enfants d’ouvriers et 15,2% d’enfants d’employés en licence universitaire, ces taux tombent à 2,2% et 6% dans «les écoles de commerce, des gestion, vente et comptabilité», et à 4,3% et à 6,9% dans celles d’ingénieurs.
L’enjeu de la polémique et ce slogan ambigu de l’ “égalité des chances” est celui de l’élargissement du recrutement des élites. Mais derrière cette question s’en pose une autre plus importante mais beaucoup moins médiatisée : que fait-on des “vaincus” (comme dirait Dubet) de la compétition scolaire ? Car, nous dit Christian Baudelot dans L’Express , “La France est dotée d'un système qui élimine dès la maternelle et favorise très tôt les enfants bien nés. ”. Comment lutter contre l’échec scolaire et faire de l’école celle de la réussite de tous ?
Des mots et des maux
Natacha Polony continue son “journalisme de combat” dans Le Figaro avec un article sur “Ces mots qui disent les maux de l'école”. C’est un moyen pour elle, de parler de l’évolution de l’école et des clivages que ces mots révèlent. Elle commence par le mot “Expérimentation” pour affirmer que ce terme est, avec celui de “terrain” le signe d’une “avant-garde qui dicte sa loi”, avec une contradiction puisqu’elle admet plus haut que le milieu reste extrêmement conservateur. Elle s’en prend ensuite au mot ”accompagnement” qu’elle analyse comme le fait “que l'on entérine l'arrivée au lycée d'élèves dont le niveau ne leur permet pas de suivre sans une aide spécifique. ”. Sans vouloir caricaturer à mon tour, on peut voir plusieurs implicites derrière cette simple phrase : idéologie du don, négation de la pédagogie, école réduite à son rôle de sélection…
On retrouve ces mots qui fâchent avec l’article sur le “mérite”. Pour elle “à l'école, la transmission des savoirs et son évaluation servaient de piliers à la méritocratie traditionnelle, mais sont depuis longtemps déjà remises en cause. ”. Elle évoque cependant le philosophe Yves Michaux pour qui le mérite est une notion ambiguë qui “récuse une double injustice : «injustice des héritages et injustice du nivellement»”.
D’une certaine manière, on retrouve cette ambigüité, dans le débat sur d'éventuels «quotas» de boursiers dans les grandes écoles dont nous parlions plus haut. La caricature de la pensée réactionnaire sur ce sujet nous est fournie aujourd’hui par Éric Zemmour dans une chronique sur RTL où il traite Richard Descoings (qui s’est élevé contre cette décision de la conférence des grandes écoles) d’héritier du “penseur d’extrême gauche Bourdieu” ( !) et de “fossoyeur de l’élitisme républicain” et d’ “idiot utile”. A écouter (et même à voir) si le cœur vous en dit…
Nouvelle orthographe
En 2010, les éléves québecois qui écrivent «ognon» ou «nénufar» ne seront pas sanctionnés lors de leurs examens de fin d'année. Une acceptation de la «nouvelle orthographe» instaurée en 1990 ... en France. Où son application dépend des professeurs (et des dictionnaires) nous dit Le Figaro . Cette réforme comportait cinq points principaux. Le trait d'union n'est plus obligatoire, (on peut donc écrire portemonnaie, portefeuille), le pluriel des mots composés peut s'écrire avec un s au deuxième mot, les accents circonflexes ne sont plus obligatoires sur les i et les u, (sauf pour certaines conjugaisons, lorsque l'accent apporte une signification sur la forme du verbe, «qu'il fût»). Quant au fameux participe passé, il est devenu invariable dans le cas de «laisser» suivi d'un infinitif, (par exemple, elle s'est laissé mourir). L'accent grave est utilisé pour correspondre à la prononciation, ainsi «événement» devient «évènement». Enfin, certaines «anomalies», comme oignon, sont modifiées.
Mais cette nouvelle orthographe n’est pratiquement pas enseignée dans l’école française puisqu’elle est “tolérée” et pas obligatoire. Rien ne dit qu’un élève qui écrirait dans sa copie «elle s'est laissé maigrir » ne serait pas sanctionné par son professeur. Plus embêtant, cette réforme de l’orthographe n’est pas non plus vraiment présente dans les dictionnaires. «La France est très frileuse sur la question de l'orthographe, c'est une question presque taboue dans notre pays» explique Michel Alessio, responsable de mission à la Délégation générale à la langue française (DGLF). Alors que d’autres pays francophones évoluent bien plus vite et sans polémique sur ce sujet.
Toujours sur ce sujet de la langue, on lira aussi l’appel de plusieurs associations dans L’Humanité contre “l’anglais langue unique”. Reprenant une phrase de Michel Serres, ils affirment « Il y a plus de mots anglais sur les murs de Paris qu’il n’y avait de mots allemands sous l’Occupation». Ils exigent “une politique claire en faveur de notre langue maternelle et nationale, et plus généralement en faveur du multilinguisme : au collège et au lycée, renforcer l’enseignement du français, apprendre les bases communes des langues européennes, puis apprendre deux langues étrangères, dont la première serait autre que l’anglais ; défendre l’usage de la langue française dans les institutions internationales et européennes, réaffirmer clairement le français comme langue de l’enseignement et de la Recherche, mettre fin à l’invasion des enseignes et des publicités en anglais. ”
Pour finir de manière plaisante sur ce sujet, je conseille aussi la lecture d’un article interactif dans Libération où on a demandé aux internautes d’indiquer les “ mots que vous ne souhaitez plus voir en 2010”. De “solutionner” à “expliciter” en passant par “buzz” (tiens un mot anglais) et aussi quelques expressions telles que “Border line” (ça c’est pour Zemmour) ou “que du bonheur”, c’est finalement une manière assez drôle de faire le bilan de 2009…
Bonne Lecture...
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Libération.fr du 05/01/10 (certains articles payants)
Grandes écoles: la polémique monte, pas le nombre de boursiers
La ministre de l'Enseignement supérieur essaie de tempérer le débat sur le pourcentage d'élèves boursiers dans les grandes écoles, alors que depuis lundi, la question suscite de nombreuses réactions.
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Science-Po, modèle d’ouverture réservé aux élites
Décidément le directeur de Sciences-Po, Richard Descoings, a la cote. En annonçant sa vision du futur lycée, Nicolas Sarkozy a salué son travail «remarquable». Luc Chatel, le ministre de l’Education, avoue s’en inspirer largement pour finaliser la réforme. Mardi, c’était au tour de Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de louer ce «cher Richard», chantre de la diversité sociale. Depuis 2000, le directeur de Sciences-Po a fait passer le taux de boursiers dans son école de 6% à 20% en 2009, et il s’engage à en accueillir 30% d’ici 2012. «Si Sciences-Po en est capable, alors pourquoi pas les autres grandes écoles ? Chiche !» a dit la ministre.
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«La tradition méritocratique n’est pas une tradition de quotas»
Alors que l'objectif évoqué par le gouvernement d'atteindre 30% d'élèves boursiers dans les grandes écoles fait débat, Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE) explique sa position.
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Un programme classé X
Dans le cadre de l’opération «Une grande école pourquoi pas moi», Polytechnique accueille des lycéens de banlieue. Un après-midi sur le campus, entre ateliers sur les codes sociaux et séances de tutorat.
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Ascenseurs pour les prépas
Ena, Sciences Po, grandes écoles… Les formations d’élite tentent d’intégrer des élèves venus des milieux défavorisés. Un petit pas encore timide.
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Le Figaro du 05/01/10
Ces mots qui disent les maux de l'école
«Accompagnement», «sanctuarisation» : les expressions à la mode révèlent les clivages idéologiques. Abécédaire de l'enseignement en 2010.
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Les grossesses précoces non désirées préoccupent Chatel
Le ministre de l'Education réfléchit à un système permettant aux jeunes filles de se procurer un contraceptif auprès d'un médecin, gratuitement et anonymement.
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La réforme de l'orthographe mieux appliquée à l'étranger
En 2010, les éléves québecois qui écrivent «ognon» ou «nénufar» ne seront pas sanctionnés lors de leurs examens de fin d'année. Une acceptation de la «nouvelle orthographe» instaurée en 1990 ... en France. Où son application dépend des professeurs (et des dictionnaires).
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Boursiers : Pécresse plaide pour le volontarisme
La ministre a encouragé mardi les grandes écoles à vaincre leur résistance à introduire progressivement 30% de boursiers.
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Le Monde.fr du 05/01/10
Rien vu...
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L’Humanité du 05/01/10 (un jour de retard)
L'anglais, langue unique
«Il y a plus de mots anglais sur les murs de Paris qu’il n’y avait de mots allemands sous l’Occupation» a dit Michel Serres : contre un anglais, langue unique, des associations s’insurgent et lancent un appel.
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Le Parisien (certains articles payants) du 05/01/10
Des médiateurs contre l’absentéisme scolaire
Depuis la rentrée, 103 médiateurs de la réussite scolaire aident les élèves qui décrochent. Bilan positif au lycée professionnel d’Etampes.
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Education : ils vont désamorcer les conflits
Le rectorat d’Amiens crée des unités mobiles d’intervention dans les collèges et les lycées. Dans l’Oise, six agents interviendront en cas de crise imminente pour prévenir toute violence.
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Les Ulis : Contre l’obésité infantile, une diététicienne gratuite
L’expérience est originale. Le centre municipal de santé des Ulis propose des consultations pour apprendre à mieux manger.
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La Croix du 05/01/10
Démocratisation en trompe-l’œil des études supérieures
Si elles sont plus ouvertes aux étudiants d’origine modeste, les grandes écoles refusent les quotas. Quant à l’université, elle n’échappe pas à la reproduction sociale
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De fortes disparités sociales au sein des étudiants
Toutes formations confondues, 30 % des étudiants ont des parents cadres supérieurs ou exerçant une profession intellectuelle supérieure, 10,7 % sont enfants d’ouvriers.
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Patrice Corre : « Oui à l’objectif de 30 % de boursiers, mais non aux quotas ! »
ENTRETIEN avec Patrice Corre,proviseur du lycée Henri-IV
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Un fardeau financier pour les étudiants
Entre logement, nourriture, transports et droits d’inscription, les étudiants doivent faire face à de nombreuses dépenses. Surtout dans les écoles de commerce, où les frais de scolarité peuvent dépasser 8 000 €
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François Fondard : « Des coûts difficiles à assumer pour les familles »
François Fondard, président de l’Union nationale des associations familiales (Unaf)
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Vu de grande-bretagne. Le système reste inégalitaire
Seul un jeune sur 40 issu de milieu défavorisé entre dans les meilleures universités britanniques
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Les papas poules en mal de reconnaissance
Entre le papa surprotecteur et le père moderne soucieux de laisser parler sa part féminine, la frontière est parfois floue. Les intéressés eux-mêmes ont du mal à s’y retrouver
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Les échos (certains articles payants) du 05/01/10
Des cantines plus vertes
Depuis novembre dernier, huit écoles privées de région parisienne ont converti leur cantine à l'alimentation biologique.
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Les grandes écoles opposées à des "quotas" de boursiers
La Conférence des grandes écoles (CGE) a écrit fin décembre qu'elle "désapprouvait la notion de +quotas+", alors qu'un objectif de 30% de boursiers dans les grandes écoles a été fixé par le gouvernement, une réaction que Richard Descoings a qualifiée dans Le Monde d'"antisociale".
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20 minutes du 05/01/10
Les grandes écoles contre les quotas de boursiers
La Conférence des grandes écoles s'est prononcée contre l'objectif de 30% de boursiers dans ses établissements. Richard Descoings et Yazid Sabeg sont indignés...
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Grandes écoles: L'ouverture sociale est-elle en panne?
Le refus des grandes écoles d'accueillir des quotas de boursiers a relancé le débat sur la formation des élites et la démographie sociale. 20minutes.fr fait le point...
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Les grandes écoles contre les quotas de boursiers
La Conférence des grandes écoles s'est prononcée contre l'objectif de 30% de boursiers dans ses établissements. Richard Descoings et Yazid Sabeg sont indignés...
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Rue89 du 05/01/10
Rien vu...
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Ouest-France du 05/01/10
Rien vu...
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Le Journal du Dimanche du 05/01/10
Grandes écoles: Quotas en débat
Le refus des grandes écoles d'introduire des quotas de boursiers dans leurs effectifs crée la polémique. Le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, s'est dit mardi "profondément choqué". Mais sa collègue de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, préfère, elle, ne pas froisser les prestigieux établissements.
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Pécresse contre les quotas de boursiers
Valérie Pécresse est "contre les quotas" dans les Grandes Ecoles, a-t-elle expliqué mardi sur Europe 1.
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Le Nouvel Obs Permanent du 05/01/10
Boursiers dans les grandes écoles : Sabeg s'insurge
Le commissaire à la Diversité et à l'Egalité des chances juge "scandaleux" l'avis récent de la Conférence des grandes écoles, qui a estimé que les quotas d'étudiants boursiers menaient à "la baisse du niveau moyen".
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Pierre Aliphat (CGE): "Etre boursier n'est pas un critère de compétence"
Dans une lettre publiée le 23 décembre dernier, la Conférence des Grandes Ecoles rappelait son opposition à l'instauration de quotas de 30% d'élèves boursiers par école suscitant de vives critiques. Nouvelobs.com donne la parole à Pierre Aliphat, son délégué général.
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"C'est la réaction d'une élite sociale qui refuse de s'ouvrir"
par Jean-Baptiste Prévost, président du syndicat étudiant UNEF (Union nationale des étudiants de France
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Les grandes écoles vont devoir bouger
La polémique qui éclate autour de l'ouverture sociale des Grandes écoles n'est pas étonnante. Elle couvait depuis que Valérie Pécresse avait fait connaître, en novembre, le souhait du gouvernement de voir le nombre de boursiers d'Etat ( donc de jeunes issus de milieux modestes) dans les grandes écoles monter à 30 %. En cela, elle ne faisait que relayer l'appel lancé sur le campus de Polytechnique par Nicolas Sarkozy, aux cotés de Yazid Sabeg, Commissaire à la diversité et à l'égalité des chances, en novembre 2008 pour une meilleure ouverture sociale des écoles .
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L’Express.fr du 05/01/10
"Les élites françaises sont monochromes"
Le gouvernement veut imposer des quotas de boursiers dans les grandes écoles pour promouvoir la diversité. Une idée "excellente" d'après Christian Baudelot, sociologue, co-auteur de L'Elitisme républicain (Seuil).
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Le Café Pédagogique du 05/01/10
Formation : Faire place aux résultats des recherches
"Quelles sont les formes pédagogiques les plus appropriées à la formation d’adultes déjà longuement scolarisés et formés à l’université ?" Pour Roland Goigoux, professeur à l'université Blaise Pascal, il est "paradoxal de constater que les débats conduits à l’université sur l’avenir de la formation des enseignants ne font pas état des recherches universitaires réalisées sur ce sujet".
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Les grandes écoles sont-elles réservées aux riches ?
Selon Le Monde, la Conférence des Grandes Ecoles (CGE), un organisme qui fédère les grandes écoles françaises, est parti en guerre contre une demande du gouvernement de porter à 30% la proportion de boursiers dans ses établissements. La CGE "désapprouve la notion de "quotas" et réaffirme que les niveaux des concours doivent être les mêmes pour tous". Pour elle cette politique "amènerait inévitablement la baisse du niveau moyen".
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Les Tice à l’heure des vœux
Éditorial de Monique Royer
Le XXIème siècle est né dans la crainte d’une apocalypse technologique. Vous vous souvenez du fameux bug de l’an 2000, celui qui devait nous faire regretter notre dépendance à des machines. Rien ne s’est passé ou du moins pas cette catastrophe là. Mais les nouvelles technologies ont-elles pour autant tenu leurs promesses ou du moins avons-nous su en exploiter toutes les potentialités.
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Médiapart (accès payant) du 05/01/10
Rien vu...
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ÉducPros du 05/01/10
Rien vu...
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Une sélection dans les dépêches du 05/01/10
Gérard Aschieri va quitter la tête de la FSU au congrès de février
Le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, va quitter son poste après neuf ans à la tête de la fédération syndicale, à l'occasion du 6e congrès de la FSU prévu du 1er au 5 février à Lille, a annoncé l'organisation dans un communiqué.
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L'Unef veut faire "voler en éclat" la sélection des grandes écoles
L'Unef, la première organisation étudiante, veut faire "voler en éclat" la sélection à l'entrée des grandes écoles, a dit mardi sur France Info son président, Jean-Baptiste Prévost, en estimant que les objectifs gouvernementaux de taux de boursiers étaient insuffisants.
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Quotas/grandes écoles: la preuve que "l'école ne remplit pas son rôle"
La porte-parole de Lutte ouvrière (LO), Nathalie Arthaud, a estimé mardi que le projet du gouvernement d'imposer des quotas de boursiers dans les grandes écoles montre "combien l'école ne remplit pas son rôle".
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Ouverture des grandes écoles: le proviseur de Henri-IV réclame du temps
La polémique sur l'ouverture sociale des grandes écoles est "malhonnête" car la situation est en train d'évoluer, mais il faut se donner le temps et ne pas imposer de quotas, a affirmé dans le quotidien La Croix, à paraître mercredi, le proviseur du lycée Henri-IV, Patrice Corre.
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